Courbe des taux

L’ÉVALUATION DES OBLIGATIONS ........................................................................................3 3 LES RISQUES D’UNE OBLIGATION ..........................................................................................3 3.1 Le risque de taux...........................................................................................................4 3.2 Le risque de change......................................................................................................4 3.3 Le risque

le prix du travail est le taux de salaire réel: W/P W est le salaire nominal P est le niveau général des prix La flexibilité du taux de salaire réel provoque l'équilibre automatique du marché du travail Le prix d'équilibre est la conséquence entre l'offre et la demande de travail La demande de travail Les entreprises ont besoin de travail pour produire des marchandises, elles demandent donc des quantités de travail en fonction de ce que coûte le travail (le taux de salaire réel) et en fonction

caractéristiques on peut citer : la densité, c’est à dire un certain nombre d’individus par unité de surface (135 tilapias / ha) ; le taux de mortalité, c’est à dire le nombre d’individus morts sur 100 individus par an ; le taux de natalité, c’est à dire le nombre de naissance sur 1000 individus de femelles par an ; les émigrants sont considérés comme morts ; taux de croissance, c’est à dire la proportion de nombre d’individus issus des naissances et des immigrations ; le sexe ratio, c’est à

objectif la détermination du niveau de revenu global Y et du taux d’intérêt r de telle façon que les marchés des biens et services (IS) et le marché de la monnaie (LM) soit en équilibre simultanément. La courbe IS représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux d’intérêt et du niveau de revenu compatible avec l’équilibre sur le marché des biens et services. La courbe LM représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux d’intérêt et du niveau de revenu compatible avec l’équilibre

construction, médias…  taux d’intérêts faibles, taux ascendants (= confiance retrouvée en l’avenir), permettent de dynamiser investissement en injectant massivement liquidités dans le circuit financier. Expansion : prospérité. Hausse production, salaires, bénéfices, consommation, investissements privés très forts car acteurs économiques veulent accroître leurs capacités de production pour répondre à la demande croissante.  services supports, hygiène, produits ménagers  taux intérêts augmentent

Gestion de Portefeuille Année universitaire: 2011-2012 Dr, ELKABBOURI Mounime Plan du cours 1 • Introduction • La notion d’utilité et les courbes d’indifférence • La rentabilité et le risque • La diversification • Le Modèle de Markowitz • Le Modèle de marché • Le MEDAF 2 3 4 5 6 7 Le métier de gestionnaire de portfeuille  Gestion d’actifs d’un investisseur ou d’un investisseur  Choix de la bonne combinaison de titres en vue de maximiser le rendement de l’investisseur

la fonction f (x)=− x2 2 –2 x+3 . On appellera Cf sa courbe représentative. I TAUX DE VARIATION au point d’abscisse - 4 → Placer A, le point de la courbe Cf d’abscisse -4. → Placer également un autre point M sur la courbe, assez proche de A → Tracer la droite (AM) → Faire afficher la pente (= coefficient directeur) de la droite (AM) (dans le menu « Angle ») → Observer la pente tout en déplaçant le point M sur la courbe Définition : Taux de variation de la fonction f au point d’abscisse a

La relation inflation – chômage et l’élaboration d’une théorie de l’offre globale 1. LA COURBE DE PHILLIPS ET LA SYNTHESE NEOCLASSIQUE Le paradigme keynésien qui prévaut jusqu'à la seconde moitié des année 60 et qui est connu sous le vocable de “ synthèse néoclassique ” reprend les éléments d'analyse suivants: a) Le modèle IS-LM conduit à construire une fonction de demande agrégée qui lie P et le revenu réel y. b)Les prix et les salaires rigides et les imperfections de marché un changement de

augmentée des impôts moins les subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches d'activité). Afin de pouvoir effectuer des comparaisons internationales, on convertit le PIB le plus souvent en dollars PPA réels taux de change fictif déflaté). Le PIB a donc une dimension essentiellement quantitative, et il ne permet par exemple pas de rendre compte de l’utilisation qui peut être faite de ces richesses pour améliorer la qualité de vie de la population. Ainsi par

comparaison de la croissance américaine ou britannique voire de l’Asie. En effet depuis 2001, le taux de croissance de la zone euro a toujours été inférieure à celle des Etats Unis (jusqu’à 2007 où ces derniers ont été touchés de plein fouet par la crise des dite des « subprimes ») rendant en moyenne près de 1,5 points de croissance tous les ans. De plus, l’autre critique également faite est le fort taux de chômage de la zone Euro comparé à son voisin britannique (9% pour la zone euro contre 5% en