Courbe plane

augmenter puisque le consommateur fait des choix qui le rendent plus heureux. Le long de la courbe d'indifférence : • Le gain d'utilité associé à l'augmentation de la consommation d'un bien (aliments) doit compenser la perte d'utilité due à la baisse de la consommation de l'autre bien (vêtements) Formellement, on a : 0 = Um A (Δ A)+UmV (Δ V ) 12 Il n'y a pas de changement d'utilité totale le long d'une courbe d'indifférence. La substitution d'un bien à l'autre ne change pas le niveau de satisfaction

alors même que le prix reste inchangé. C. La représentation des goûts et des courbes d’indifférence Le consommateur fait des choix de consommation en fonction de ses préférences. Il est en effet capable de classer les combinaisons de biens par ordre de préférence. Une courbe d'indifférence mesure toutes les combinaisons de deux biens (X,Y) qui procurent au consommateur un niveau d'utilité identique. Les courbes d'indifférence sont décroissantes. Le consommateur doit renoncer à une certaine

(wage-setting, price-setting) introduit par Layard-Nickell-Jackman (1991) constitue une référence pour fonder un taux de chômage d’équilibre. Celui-ci résulte de la confrontation entre une courbe W S (wage setting), représentant la fixation des salaires comme résultat d’une négociation entre employeurs et syndicats, et une courbe P S (price setting) résumant le côté demande de travail et le processus de détermination des prix . Le modèle WS-PS constitue aussi un outil précieux pour l’étude des politiques

Modèles à équilibres multiples et politiques hétérodoxes ; d. Le problème du taux de change. 2. Hypothèse de PPA (parité du pouvoir d’achat) ; 3. Modèle de BP (balance de paiement) ; 4. Théorie quantitative de la monnaie ; 5. La courbe de Phillips el l’intervention de M. Friedman. III. Critiques adressées au monétarisme ; Conclusion. * Introduction Courant de pensée théorique, le monétarisme accorde à la monnaie un rôle important dans les mouvements économiques.

ici d’un budget limité pour acquérir tous les biens souhaités. Il ne peut donc acheter tout ce qu’il désire et doit opérer des choix entre les biens désirés. Pour effectuer ces choix, le consommateur établit une hiérarchie dans ses préférences. Les courbes d’indifférences construites par l’économiste Vilfredo Pareto, sont un procédé de représentation graphique des préférences des consommateurs. Pour simplifier, le choix du consommateur est limité à deux produits X et Y. Le choix du consommateur va

ce qui fait la vie en société. Etre libre c'est être "quitte de tous les autres" ( Léon WALRAS ) [9 bis].      Selon l'école néoclassique qui va au fil du temps s'appuyer sur la notion de "courbe d'indifférence"[10], c'est au point dit de "l'équilibre du consommateur"( point d'intersection entre la courbe d'indifférence la plus élevée et la droite de contrainte budgétaire ) que le consommateur va maximiser son utilité ( choix optimal ). Cet équilibre est subordonné à l'évolution des prix des biens et au revenu du consommateur

apprendre à distinguer les variables quantitatives et qualitatives, discrètes et continues apprendre à calculer des fréquences apprendre à calculer différentes tendances centrales apprendre à calculer la variance et l’écart-type apprendre à construire une courbe de Lorenz et calculer le coefficient de Gini apprendre à interpréter un coefficient de corrélation Remarque : Chacun de ces objectifs devra être maîtrisé pour le CC2 3 S4 2011/ Licence 2 Les différentes populations statistiques Avant de

variation du coefficient c1. Notre approche sera d'abord géométrique. Pour une valeur fixée de k, les courbes de niveau de la fonction-objectif modifiée z' sont des droites de pente1  k / 1200, parallèles entre elles. Lorsque k augmente, ces droites adoptent des pentes qui sont, en valeur absolue, de plus en plus grandes. Si k dépasse 1000 légèrement (voir figure 1, graphique de gauche), la courbe de niveau d ' de z ' passant par le point B = (15; 10) se situe dans l'angle formé par la droite d associée

salariés ne sont pas victimes d'illusion nominale à long terme ; c'est donc plus sur la base de leur pouvoir d'achat que sur leur salaire nominal qu'ils forment leurs revendications salariales. C'est la raison pour laquelle on spécifie généralement une courbe de Phillips augmentée des anticipations de prix, en mesurant l'impact de l'évolution des prix sur l'évolution des salaires. Les travaux de Phillips en 1958 ont mis en évidence une liaison entre le taux de croissance des salaires et le niveau du chômage

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ` TABLE DES MATIERES 4.3.1 4.3.2 4.3.3 4.3.4 4.3.5 4.3.6 4.3.7 Introduction . . . . . . . . . Courbe de Lorenz . . . . . . Indice de Gini . . . . . . . . . Indice de Hoover . . . . . . . Quintile et Decile share ratio Indice de pauvret´ . . . . . . e Indices selon les pays . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .