Courbet Bonjour

entrée à la Criminelle. C‘était tout simplement parce qu‘elle était cubaine, frayait avec les politiques et savait très bien faire de la lèche. À Miami, cette combinaison marchait beaucoup mieux que le sexe. LaGuerta s‘y connaissait très bien en courbettes : une lèchecul de première. Elle avait fait de la lèche à toutes les étapes de son ascension dans la hiérarchie, jusqu‘à l‘éminent grade d‘inspecteur à la Criminelle. Malheureusement, c‘était un poste pour lequel ses grands talents de lécheuse n‘avaient

importants pour exprimer la nécessité, son point de vue à l'aide des constructions impersonnelles, on revient à l'essentiel : la production en situation d'interaction orale. 5 6 TERRITOIRES SOCIÉTÉ Proposition de corrigé 13 JOURNALISTE. – Bonjour, monsieur/madame. Vous vivez dans notre ville depuis longtemps ? VOUS. – Non, je suis en France depuis quatre mois. Je fais un stage chez EDF. JOURNALISTE. – Vous venez de faire des courses. Trouvez-vous que les prix sont chers ? VOUS. – Par rapport

Attention, on nous applaudit. ÉVA éclate de rire. Mais non, c'est l'orchestre ! Décidément vous me plaisez beaucoup. HECTOR, qui touche malgré lui ses moustaches et sa perruque. Qu'est-ce qui vous plaît en moi ? ÉVA Tout. Elle lui fait un petit bonjour. Ne restons pas là, c'est dangereux. A ce soir, huit heures, au bar du Phcenix. Et surtout si vous me rencontrez avec ma tante, vous ne me reconnaissez pas. 120 Tableau I Le bal des voleurs HECTOR, langoureux. Votre main encore. ÉVA Attention

mon pire ennemi. Si je voulais poursuivre ma vie d’Adam bis, il fallait, non pas que je me débarrasse d’un complot, mais que je me guérisse de mes craintes. Lorsque Zeus-Peter Lama vint me voir, je l’accueillis donc avec affabilité. — Bonjour, mon Bienfaiteur. — Bonjour, Adam, comment te sens-tu ? — Très en forme. — C’est bien. Il le faut. Je te veux en pleine santé pour l’exposition de Tokyo. — Tokyo ? — Je t’expliquerai. Le nom japonais roula avec affolement dans mon crâne : n’était-ce pas ce dont

couleur par-dessus laquelle sa longue barbe blanche descendait jusqu'à la taille, et d'immenses bottes noires. « Bonjour ! » dit Bilbo. Et il était sincère. Le soleil brillait et l'herbe était très verte. Mais Gandalf le regarda de sous ses longs sourcils broussailleux qui dépassaient encore le bord de son chapeau ombreux. « Qu'entendez-vous par là ? dit-il. Me souhaitezvous le bonjour ou constatez-vous que c'est une bonne journée, que je le veuille ou non, ou que vous vous sentez bien ce matin, ou

Attention, on nous applaudit. ÉVA éclate de rire. Mais non, c'est l'orchestre ! Décidément vous me plaisez beaucoup. HECTOR, qui touche malgré lui ses moustaches et sa perruque. Qu'est-ce qui vous plaît en moi ? ÉVA Tout. Elle lui fait un petit bonjour. Ne restons pas là, c'est dangereux. A ce soir, huit heures, au bar du Phcenix. Et surtout si vous me rencontrez avec ma tante, vous ne me reconnaissez pas. 120 Le bal des voleurs HECTOR, langoureux. Tableau I 121 Votre main encore

mon pire ennemi. Si je voulais poursuivre ma vie d’Adam bis, il fallait, non pas que je me débarrasse d’un complot, mais que je me guérisse de mes craintes. Lorsque Zeus-Peter Lama vint me voir, je l’accueillis donc avec affabilité. — Bonjour, mon Bienfaiteur. — Bonjour, Adam, comment te sens-tu ? — Très en forme. — C’est bien. Il le faut. Je te veux en pleine santé pour l’exposition de Tokyo. — Tokyo ? — Je t’expliquerai. Le nom japonais roula avec affolement dans mon crâne : n’était-ce pas ce dont

projetais avec tes Pieds Nickelés. — Mais rien… on allait à l’agence voir si des fois… — Ta gueule ! — J’vous jure, monsieur le commissaire. — Écoute bien, l’imam c’est notre affaire, pas la tienne, et je ne te le dirai pas deux fois. Si tu lui dis bonjour seulement, je t’embarque pour tentative d’homicide. Et je t’interdis de tourner autour de la mosquée comme tu le fais depuis hier avec tes guignols. Compris ? — Non, j’comprends pas ! On n’a pas le droit de marcher maintenant ou quoi ? Il me reprit

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - Jean Greuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - Eugène Delacroix. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - Gustave Courbet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - Édouard Manet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - Auguste Renoir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CHAPITRE

donc sans stratégie. C’est le cas le plus simple à analyser. « Je suis secrétaire, j’apprécie mon chef, mais un jour on a eu la visite de notre nouveau directeur Europe, un homme très jeune, et il m’a vraiment déçue. Il n’a pas cessé de faire des courbettes ! Je ne l’avais jamais vu comme ça, une vraie limace. Je n’ai plus envie de me démener pour lui ! » L’explication de cette relation est simple : les humains, quels qu’ils soient, ont une relation particulière avec tout ce qui touche au pouvoir suprême