Cournot Religion Progrès

politique » à la « science économique » 2. Science et idéologie 3. Les limites d’une analogie avec les sciences « dures » 147 147 148 148 38 Quelle « science » économique ? 1. Quelle ambition ? 2. Quelle méthode ? 151 151 152 39 Le progrès des connaissances en économie 1. Une vision « longitudinale » : science normale et révolutions scientifiques dans l’histoire de la pensée économique 2. Une vision « latitudinale » : orthodoxie et hétérodoxies 155 155 157 40 Dictionnaire de

politique » à la « science économique » 2. Science et idéologie 3. Les limites d’une analogie avec les sciences « dures » 38 Quelle « science » économique ? 1. Quelle ambition ? 2. Quelle méthode ? 147 147 148 148 151 151 152 39 Le progrès des connaissances en économie 1. Une vision « longitudinale » : science normale et révolutions scientifiques dans l’histoire de la pensée économique 2. Une vision « latitudinale » : orthodoxie et hétérodoxies 155 155 157 40 Dictionnaire

| |ESQUISSE | |D’UN TABLEAU HISTORIQUE DES PROGRÈS DE L’ESPRIT HUMAIN | | | |

vue criminel Retour à la table des matières Jusqu'à nos jours, pendant toute la durée de cette crise d'individualisme qui, depuis le dernier siècle, a sévi partout, en politique et en économie politique comme en morale et en droit, comme en religion même, le délit passait pour ce qu'il y avait de plus essentiellement individuel au monde ; et, parmi les criminalistes, la notion du délit indivis, pour ainsi dire, s'était perdue, comme aussi bien, parmi les théologiens eux-mêmes, l'idée du péché

l’autonomie distinct. Désigne un courant de pensé qui préconise un solde commercial. Adam Smith par sa doctrine dit que l’économie est un tissue d’erreur. 1. Présentation de l’époque Caractérisé par une pensée sociale, d’une crise sociale, progrès décisif, renouveau au niveau du plan démographique et économique. Début 1410 : Recul démographique (plus de 20 millions de mort) et Guerre de 100 ans. En 1450 : reprise démographique, hausse de l’espérance de vie (27 ans pour les hommes et 33 pour

pourront lui reprocher de tinter son analyse scientifique de considérations éthiques, ou anthropologiques. Mais justement c’est là peut-être la force de Smith : de 5 montrer qu’un juste comportement est aussi un comportement générateur de progrès. Pour lui la liberté naturelle est juste et cette liberté naturelle conduit au plus grand développement que l’on puisse espérer. Ce lien entre éthique et pure économique, c’est sans doute ce que perdront les néoclassiques et même ses successeurs plus

répartition équitable des biens (Lazare). Au IVe siècle se produit une séparation nette entre christianisme et judaïsme sur les questions économiques : le judaïsme commence à élaborer une codification de l'économie (voir Intérêt de l'argent et religions monothéistes), tandis que le christianisme continue d'interdire le prêt à intérêt. Situation qui aura des conséquences très importantes par la suite sur les relations entre les chrétiens et les juifs : ces derniers vont souvent assurer la fonction

Rousseau ; Diderot ; Kant. • Hegel ; Schopenhauer ; Tocqueville ; Comte ; Cournot ; Mill ; Kierkegaard ; Marx ; Nietzsche ; Freud ; Durkheim ; Husserl ; Bergson ; Alain ; Russell ; Bachelard ; Heidegger ; Wittgenstein ; Popper ; Sartre ; Arendt ; Merleau-Ponty ; Levinas ; Foucault. Fiches de révision 1. La culture Nature et culture L'art et la technique Les échanges 2. La vérité La vérité La raison et la croyance La religion L'expérience 3. La liberté La liberté La justice et la loi Le bonheur

tout “bourgeoises” (appellation non garantie) c’est-à-dire elles débouchent sur: l’abstraction, la maîtrise du temps (voir Bourdieu, La Distinction), elles sont difficiles d’accès et conduisent à des formes d’autonomie (le plus souvent rejet de la religion dans la sphère privée). Par opposition la culture populaire, facile d’accès, “n’élève” jamais, au mieux elle maintient. de ce fait, la socialisation des individus issus des cultures dominées débouche sur des situations diverses. • les résultats

économique = elle est ultérieure et lente. C’est en reprenant les textes anciens et surtout les textes d’Aristote (soit en opposition soit en accord) que s’élabore une pensée économique médiévale (du Moyen-âge) qui va être sous la domination des religions. Ce ne sont plus les philosophes qui s’intéressent et réfléchissent aux questions économique (relais) mais ce sont les théologiens, qui écrivent des textes religieux. Ils vont développer des thèses économiques. La progression est lente (instabilité