Cournot Religion Progrès

selon un sens mais également ce vers quoi on aspire et vers où notre désir s'accroît. Cournot met en exergue le principe régulateur et puissant de l'idée, en associant deux valeurs qui, intérieurées par l'Homme sous forme d'idées, deviennent absolues. Il est question de l'idée de religion et de l'idée de progrès. Ainsi le philosophe français du XIXème siècle évoque une thèse selon laquelle il y a dans l'idée de progrès, l'idée d'un appel du divin, et donc de ce qui relève d'un Dieu. On peut citer comme

Section 1) les faits en histoire. Prendre compte des faits en histoire c’est l’objectif que ce sont donné les premiers historiens identifiés (Hérodote et Thucydide). Les exemples d’Hérodote appartiennent aux mythes. 1) Hérodote, Bayle et Cournot, Voltaire vs Bossuet… a) Hérodote, L’Enquête – Thucydide, La guerre du Péloponnèse. Hérodote (484-420 avt. JC), historien Grec habitant dans une région dominée par les Grecs. Ecriture de son livre « Les Historiens », historia en grec = l’enquête

Célestin Bouglé (1870-1940) Qu’est-ce que la sociologie ? La sociologie populaire et l'histoire. Les rapports de l'histoire et de la science sociale d'après Cournot. Théories sur la division du travail. (1925) Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, bénévole Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin

1°Les faits en histoire Prendre compte des faits historique est l’objet que ce sont donnée les premiers historiens tels que Hérodote et Thucydide. L’Histoire est-elle subjective ? L’Histoire est-elle quantitative ? I. Hérode, Bayle et Cournot, Voltaire vs. Bossuet... A- Hérode, L'enquête – Thucydide, Laguerre du Péloponnèse Hérodote : le «père de l'Histoire» Dans son ouvrage « L'Enquête » ou les Histoires (œuvre en prose) Essaye de juger les faits qui se sont réellement produits

dans la durée. Que les hommes soient conscients ou non du temps les phénomènes sont fonction du temps. Lucien Febvre a été un des pionniers de l’histoire. Il a publié un livre consacré à Rabelais : « Le problème de l’incroyance au XVIe siècle, la religion de Rabelais » (1942). Les croyances sont un objet d’étude pour l’historien. Que croyait-on au moyen âge ? A la renaissance ? Le peuple était croyant on le sait au travers de textes. Après Lucien, dans les années 50-60-70, on va étudier les peurs

XVIIIème siècle sur une confiance assez naïve dans le progrès que pouvaient nous apporter les sciences. Pour la première fois, l’idée d’un progrès de l’humanité ne s’appuyait plus sur des croyances religieuses, comme celle de l’avènement proche de la Cité de Dieu, pour Saint Augustin mais sur une foi dans l’homme, dans sa raison et dans le pouvoir de la technique de changer radicalement la vie humaine. Le sens de l’Histoire était celui du progrès scientifique et technique. L’homme moderne possède une

justement à cause de la surprise causée par leur succession irrégulière, ne méritent pas le nom d'histoires. Je crois que par une raison contraire on en pourrait dire autant d'un journal de siège écrit par un ingénieur, et où seraient notés tous les progrès méthodiques de l'attaque, tous les reculs méthodiques de la défense, avec états de situation à l'appui : de sorte que l'homme du métier ne serait pas en peine d'assigner très approximativement l'époque de la capitulation. L'histoire des sciences est

Connaître l’homme (histoire et poésie) 3 B. Tirer les leçons du passé 4 C. L’influence de l’histoire sur la vie 4 III. Quelques interprétations de l’histoire 5 A. Les téléologies 6 1. Origine : la religion chrétienne (Saint Augustin) 6 2. Le progrès historique (Kant, Hegel) 6 3. La fin de l’histoire 8 B. Quelques interprétations de la modernité 8 1. Le marxisme (Marx, Moore) 8 2. Le procès de civilisation (Freud, Elias) 9 3. Rationalité et désenchantement

celle-ci commence. Trois évènements jalonnent la modernité : - La révolution française à la fin du XVIIIème siècle incarne, dans la réalité politique et moderne, les idéaux modernes. - A la fin du XIXème siècle c’est la remise en cause de ces idéaux (progrès, rationalité, libéralisme) par la montée des passions collectives qui se traduisent par l’arrivée du fascisme, des nationalismes, du socialisme… - La crise qui débute dans les années soixante du XXème siècle et qui n’est toujours pas terminée, marquée

l’économie. Le débat Platon/ Aristote lignées réalistes vs lignées utopistes Platon : utopiste : «  monde tel qu’il devrait être » Aristote : réaliste : » monde tel qu’il est », «  la perfection n’a pas de monde ». 3) La poursuite du débat science religion Moyen Age, Renaissance, et la séparation de la Philosophie avec la science à partir du XVIIème siècle Exemple de problématique la discussion de Thomas d’Aquin (1224-1274) sur le taux D’intérêt : L'usure désigne l'intérêt d'un prêt au taux abusif