Cours Grands Débats économiques

Economie politique COURS 1 Section 1 objet de l'analyse économique économie politique et analyse économique Economie vient du grec oikonomos (oikos=maison et nomos administration) sens antique = gestion foncière L'économie politique signifierait administration du patrimoine de la cité Aujourd'hui =analyse économique -passage d'une analyse de la subsistance (Aristote 384-322 av J.C) à un outi dont l'objectif se rapporte au bien être social ou collectif (Adam Smith , 1723-1790)

La consommation devient de plus en plus élevée telle que 210 millions de personnes dans le monde entre 15 et 64 ans ont déjà consommé des produits illicites. Les raisons d’études de ce sujet sont l'échec des politiques actuelles, les retombées économiques potentielles, la défense des libertés et responsabilités individuelles et la réduction des crimes liés à la drogue. On peut donc se demander : Comment la légalisation peut réduire la consommation et par conséquent la production de cette dernière

physiologiques 2èmes : besoins matériels qui sont liés à l'industrialisation : offre de nouveaux produits sur le marché => bien être ( équipement ménagers, voitures..) 3ème : les besoins de culture ou de luxe à savoir un mieux être ( le superflu : débat?) l'émergence de nouveaux besoins s'expliquent d'une part par un processus d'imitation, qui implique la diffusion des besoins parmis les individus ( à partir des deux autres niveaux) Autre facteur qui explique cet émergence : développement de

Relations internationnales : COURS 1 : Courant transnationaliste : prend en compte les migrations (sociologie)   1er texte : Entré par l'histoire : Wallerstein - Cadre d'analyse sociologique et historique de l'émergence des Etats modernes qui entrent en relation les uns avec les autres (relations un minimum stabilisées). - Sortir du détail pour mieux voir l'ensemble. - Affirmation des Etats entre eux dans le système économique : interprétation forte dans la manière dont les Etats établissent

publiques pour relancer la croissance d'emplois et l'économie. Les premières mesures keynésiennes fut mise en place en 1934, par le gouvernement américain qui investit 165 million de dollar dans le projet du "New Deal".Peu de temps après, le problème économique fut atténué. De nos jour, après la crise de 2008, certains gouvernements continus à intervenir dans des projets de reconstruction comme les Etats Unis avec un investissement de 750 milliards de dollars dans un projet de construction d'un parc d'énergie

à la croissance économique et démographique, cette association privée internationale créée en 1968, prône la croissance zéro. En clair, le développement économique est alors présenté comme incompatible avec la protection de la planète à long terme. Mais plus le temps passe, plus la société civile prend conscience de l’urgence de mettre en place une solidarité planétaire pour faire face aux grands bouleversements des équilibres naturels. Ainsi, au cours des années 1980, le grand public découvre les

Au cours des trois dernières décennies, la finance internationale a connu un essor considérable et a subi de nombreuses transformations. La libéralisation des mouvements internationaux de capitaux, la déréglementation des marchés financiers et la multiplication des innovations financières sont quelques-uns des principaux ingrédients de la globalisation financière. Par conséquent, les stratégies des acteurs économiques se sont profondément modifiées pour mieux s’adapter à ce nouveau contexte, source

notamment le droit constitutionnel, les parlements étant nés du droit de lever des impôts. Le budget de l'État, la loi de finance est votée par le parlement mais le débat est un débat essentiel. Il y avait avant deux sessions parlementaire dont l'une était quasiment réservé au débat sur la loi des finances. Aujourd'hui les débats durent environ 70 jours. Le Conseil constitutionnel est saisi sur les lois de finances et il a bâtit une jurisprudence fiscale par exemple sur la loi de finance 2010 il

Pourquoi, selon Taylor, le débat sur la modernité est-il mal engagé? Dans le cadre du cours Enjeux philosophiques contemporains, nous avons été amenés à étudier l’œuvre Grandeur et misère de la modernité, du penseur Charles Taylor, afin de déterminer en quoi, selon cet auteur, le débat sur la modernité est-il mal engagé? Dans la première partie de cet ouvrage, Taylor expose trois « malaises » de la modernité qui tendent à prouver que, en effet, le débat sur la modernité est mal engagé soit l’individualisme

abandonnent le terrain politique proprement dit pour explorer le terrain concret de l’expérimentation (largement alimenté par les théories tiers-mondistes). Le mouvement des femmes sera à l’avant-garde de cette recomposition autour de l’idée qu’attendre le grand soir pour changer le monde est une erreur grossière (que de lendemains ont déchanté lors des expériences révolutionnaires, du fait même de l’absence d’accumulation d’acquis transitoires et d’expériences concrètes !) et qu’il est possible, ici et maintenant