Coût de la main-d'œuvre

L’ÉCHANGE DE BIENS COMPLÉMENTAIRES ? Doc 1, p. 58 L’échange de biens complémentaires s’explique : ➢ Par les inégalités de dotations en ressources : Q1. Les conditions climatiques ne permettent pas de cultiver à un coût raisonnable certaines productions agricoles en Europe du Nord : les agrumes poussent mieux en Afrique. Les ressources du sous-sol ne se trouvent pas en même quantité : certains pays sont richement dotés en pétrole, d’autres le sont en phosphate

Formulation du problème : La Building-CI, entreprise immobilière envisage la construction de 2 types de maisons que sont les villas Saphirs et les duplex Rubis. La construction des 2 maisons témoins nécessite des heures de main d’œuvre qualifiée(MOQ),des heures de main d’œuvre non qualifiée(MONQ) ainsi que des tonnes de matériaux de construction (MC) dont la répartition se trouve dans le tableau ci-dessous : | |MOQ |MONQ |MC

l’évolution spatiale de l’industrie. Le début de l’industrie se manifeste par des formes de dispersion à la campagne où les ateliers profitent des avantages de coût et de flexibilité de la main-d’œuvre. Dans une deuxième période, l’industrie crée le regroupement en dehors des villes historiques, comme points de fixation de la main-d’œuvre ; puis elle réintègre la ville, afin de bénéficier des avantages d’un marché du travail dense et diversifié. Au cours de la troisième période, l’industrie s’établit

délocalisations, et il est fréquent que les premières pages de revues prestigieuses fassent l’écho, d’une nouvelle « catastrophe sociale », et relate la fermeture « inévitable » de sites industriels, pour les voir ensuite s’implanter dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. Mais quels sont les facteurs qui poussent les entreprises à délocaliser leur production dans des pays lointains, à la culture et aux habitudes très différentes de celles de l’occident ? Quelles sont les difficultés auxquelles ces sociétés

toutes les heures de formation rémunérées, y compris le temps de déplacement, que la formation soit donnée à l’interne ou à l’externe et qu’elle soit reconnue ou non par la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre. Calcul de l’indicateur Nombre d’heures de formation = Heures de formation par employé Effectifs personnes-année Conseils pour l’interprétation et l’utilisation de l’indicateur

notion de coûts  Définitions du Coût ?  Déf1 :D'une manière générale, les différents coûts d'un produit sont constitués par un ensemble de charges supportées par l'entreprise en raison de l'exploitation de ce bien ou de cette prestation de service. Hassan FNINE 33  Déf 2 : Somme d'éléments de charges qui, pour une marchandise, un bien ou une prestation de service, ne correspondent pas au stade final d'élaboration du produit vendu. Hassan FNINE 34   Coût de revient ?: Somme d'éléments

Rapidité de réaction de système de pilotage - Souplesse et efficacité du système de communication - Le problème de compétence du contrôleur de gestion - Le problème du choix des informations pertinentes - Les difficultés du dialogue social - Le coût la complexité de sa mise en place 15 Aspects généraux du contrôle de gestion Nature de la mission du contrôleur de gestion 1. Le contrôleur de gestion est prestataire de services ; 2. Le contrôleur de gestion garant, animateur et promoteur

c. Un système de coût en difficultés 2eme et 3eme comm 2. Principes de base II. La mise en œuvre de la méthode ABC 1. Etapes de mise en œuvre a. Identification et analyse des activités b. Evaluation des ressources consommées par chaque activité c. Identification et choix des inducteurs de coût d. Affecter le coût des activités aux « objets

des rentabilités par activité. Par exemple, elle ne répond pas à des préoccupations du gestionnaire : parmi les commandes quelles sont celles qui contribuent à améliorer mon résultat ou celles au contraire qui dégradent mon résultat ? Quelle est le cout des différents centres d’activités de l’entreprise ? Pour certains services prestataires comme l’entretien, l’entreprise n’aurait-elle pas intérêt à sous traiter à l’extérieur ? 2) la comptabilité analytique : outil de gestion à usage interne

fiche de stock du produit intermédiaire PI 6  fiche de stock des produits finis P1 et P2 9  résultat analytique des produits P1 et P2 5  coût de production des produits P1 et P2 1  coût d’achat de la matière M 3  coût de production du produit intermédiaire PI 2  fiche de stock de la matière M 7  coût hors production des produits P1 et P2 8  coût de revient des produits P1 et P2 3) Vous vous proposez de rapprocher le résultat de la comptabilité générale et le résultat de la comptabilité