Cout Du Capital

marginale (exemple du verre d’eau dans le désert)= utilité retirée de la dernière unité consommée. On arrive à la satiété. Transaction économique et marché L’échange est au centre de tous les activités humaines et économiques (biens et services, capital, communication, force de travail). On se dirige vers de l’économie de l’accès. Nécessaire besoin d’échanger car on ne peut pas produire ce que l’on consomme. Intérêt de l’échange est d’améliorer constamment tout ce que l’on peut avoir en termes d’utilité

implications sont à prendre en compte. Il faut intégrer les charges des exo précédent non comptabilisé par erreur ou omission. La même analyse doit être menée pour les produits. -Le principe des cout historique : selon l’article 321-1 du PCG les biens acquis a titre onéreux sont enregistré à leur cout d’acquisition. Ce principe n’a pas été retenu par les normes IFRS. -Le principe de prudence : la comptabilité doit être établi sur la base d’appréciation prudente afin d’éviter le transfert d’incertitude

Législatif 2. Les différentes sociétés (Personnes et Capitaux) * Société de personnes (en fonction des relations entre les associés) * Société en Nom Collectif (SNC) * Société en Commandite simple (SCS) * Lien intuitu personae * Cession des parts en interne * Responsabilité illimitée * Pas d’impôt sur les sociétés (bénéfices – impôt sur le revenu) * Société de Capitaux (actionnaires) * Petite Petite Société à Responsabilité

Augmentation de capital * Crédit bail * Autofinancement (=CAF-dividendes) Principe de l’économie d’impôt Lorsque l’on a une augmentation de charge cela entraine toujours une diminution du résultat ce qui entrainera une diminution de l’IS. Exemple : taux d’IS : 40% Augmentation de 400 des charges => économie d’IS de 400à 40% d’IS Le coût réel est 400*(1-40%) = 240 Emprunt : caractéristique de base : a : anuité (versement périodique) A : amortissement remboursement du capital. Diminution

liquidités dans un deuxième temps. Ceci sous entend que les gains futurs seront plus importants que les capitaux investis dans le projet. Aussi, l'investissement engage l'entreprise sur le moyen et long terme. Si les profits espérés ne sont pas réalisés, l'entreprise qui a engagé des disponibilités importantes dans un projet risque de connaître de graves difficultés financières : d'une part, les capitaux investis ne seront pas rémunérés au niveau souhaité mais en plus, l'insuffisance de recettes peut amener

NC 02 Norme comptable relative aux Capitaux propres Objectifs 01. Les capitaux propres peuvent comporter certaines rubriques particulières pouvant présenter des difficultés de traitement, de classement, ainsi que d'informations à leur sujet. Ces difficultés concernent essentiellement certaines réserves (cas des réserves pour réinvestissement exonéré, des réserves de réévaluation et des réserves pour fonds social), ainsi que certaines opérations particulières portant sur les rachats par

recours à 1 interprète Services d’investissement = formation du personnel Services non marchands : ne sont pas produits dans le but de réaliser un bénéfice, ils sont mis à la disposition des consommateurs gratuitement ou à un prix inférieur à leur coût de production : les routes ou la piscine municipale. Biens et services marchands : Leur prix est fixé par le jeu du marché, par la confrontation entre l’offre (les vendeurs) et la demande (les acheteurs). LA MESURE DE LA PRODUCTION VALEUR

 BASE : Résultat bénéficiaire : Produit – Charge Bilan : Actif (immobilisé, stock, client, tréso) Passif (Capitaux propres, Résultat, emprunt, fournisseurs) Compte de résultat : Charges (Achats, Impôts, charges de personnel, Dotations) Produits (Ventes..) Amortissements : Linéaire = 1000 € / 5 ans = 200 / an Dégressif = 1000 € / 5 ans = 200 / an. Taux ) 20% x coeff. 1.75 = 35 % Calcul de la consommation : Achat + (stock initial – stock final) Calcul de la production :

plus l’entreprise aura des charges rigides. Le seuil de rentabilité permet de mesurer l’effet de la variation du niveau de l’activité sur la rentabilité et nous donne une idée du niveau de risque sur l’exploitation. 1. La variabilité des coûts Coût : ensemble de charges, somme de plusieurs charges. Ex : coûts d’achat de marchandises = achat + variation achat. Certains coûts varient en fonction de l’activité et d’autres pas, et selon les entreprises. a. Les coûts variables (CV) Ils sont

éléments par analogie. Ces exceptions sont réservées exclusivement à l’établissement du bilan d’ouverture en IFRS. Deux types d’exceptions : Exemptions (exceptions facultatives) Regroupements d’entreprises Juste valeur ou réévaluation utilisée comme coût présumé Comptabilisation des écarts actuariels sur les engagements de retraites et assimilés Conversion des comptes d’une entité étrangère Instruments financiers composés Adoption des IFRS à des dates différentes au sein du groupe Classement des instruments