Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi

économique par des crédits bancaires traditionnels. Ex p 29 Pour retenir leurs meilleures clients, les banques sont tentés de proposer des taux d'intérêt peu élevés. En conséquence, pour reconstituer leurs profits, elles peuvent être amenés, à relever le taux qu'elle propose aux agents n'ayant pas la possibilité d'accéder au marche financier La titrisation est le mécanisme qui permet aux banques d'intervenir sur le marché des capitaux. Il s'agit de transformer des crédits bancaires en titres

nationalisations concernent donc les activités de service public pour lesquelles les coûts d'investissement sont considérables (charbon, électricité, gaz, chemins de fer). L'État s'assure en même temps le contrôle du crédit en nationalisant la Banque de France et quatre banques de dépôts : le Crédit Lyonnais, la Société générale, la Banque nationale du commerce et de l'industrie et le Comptoir national d'escompte de Paris. Il s'agit de diriger l'épargne vers les lourds investissements des entreprises nationalisées

plans sont rognés par le Parlement, les projets de Reynaud et de Flandin ne sont pas retenus. Sous les gouvernements Doumergue et Laval, la France reste attachée à la stabilité de sa monnaie, d'où une politique de déflation qui vise à gagner en compétitivité par la baisse des prix et des coûts salariaux ; elle s'efforce aussi de mieux se protéger de la concurrence extérieure (nombreux contingentements, surtaxe sur les produits des pays ayant dévalué) et adopte des mesures malthusiennes (dénaturation

à l'avant-garde de l'intégration régionale. 1. Améliorer la couverture et la qualité des infrastructures physiques L'enquête menée auprès des entreprises a confirmé que les infrastructures constituent un facteur déterminant dans la compétitivité. Pratiquement toutes les infrastructures ont été mises à l'index. Ainsi, on note que : o les échanges avec les pays voisins, notamment le Mali, sont handicapés par l'état des infrastructures, et cela fait perdre aux entreprises sénégalaises

diverses, les moyennes observées ne reflètent donc pas un mouvement général. Les recettes ont baissé de 1,1 point de PIB en France en 2009 et seulement de 0,3 point dans la zone euro. Les raisons sont le volet fiscal du plan de relance (comme les crédits d'impôts) et la baisse de l'activité, plus virulente en France. L'Allemagne a été touchée dans ces exportations. II) Une dégradation très différentes selon les catégories d’administrations A. Une aggravation centrée sur l'État et les ASSO Les

recherches             Brevets Licensing Prise de participation Aide à la création d’activités Création de parc d’activités technologiques à proximité des universités et accueillant des entreprises innovantes Création de pôle de compétitivité  Problème : des métiers différents ! T. Derrey - ISEL - ULH 44 Lien avec la recherche académique Activité de recherche industrielle l’enrichissement la prospérité l’innovation Cadre de la R&D en industrie l’enjeu la finalité

taux d’intérêt. • Politique budgétaire : Au niveau européen on a décidé d’un budget de 1,12% du PIB européen. Le budget européen est financé par les Etats-membres de l’Union européenne, et il n’existe pas d’impôts européens pour financer ce budget. Mais la politique budgétaire reste en 1er lieu une politique nationale. • Policy-mix : C’est un mélange entre la politique monétaire (BCE) et budgétaire (ETAT). Paralysie : On

prélèvements obligatoires. • Les entreprises d’assurance. Elles ont pour fonction principale de garantir les risques et d’indemniser les victimes. • Les banques ou les institutions de crédit. Elles servent à financer l’économie, pour cela elles doivent collecter les ressources disponibles et elles les répartissent sous forme de crédit. • Les administrations privées. On distingue sous ce terme, l’ensemble des organismes privés sans but lucratif. ( loi 1901 ) • Le reste du monde est un agent fictif qui regroupe

de leurs moyens grâce au système de crédit. La croissance des pays se finance donc petit à petit par l'endettement. Ceci n'a qu'un temps, on le constate en notre défaveur par la crise des Subprimes aux États – Unis, déclencheur de la crise. En effet, un retournement du marché immobilier Américain s'étend à l'ensemble du marché financier, ceci se diffuse mondialement, touche l'économie réelle, et débouche sur une récession. Ce phénomène entraîne un accès au crédit difficile, puis une crise de confiance

plans sont rognés par le Parlement, les projets de Reynaud et de Flandin ne sont pas retenus. Sous les gouvernements Doumergue et Laval, la France reste attachée à la stabilité de sa monnaie, d'où une politique de déflation qui vise à gagner en compétitivité par la baisse des prix et des coûts salariaux ; elle s'efforce aussi de mieux se protéger de la concurrence extérieure (nombreux contingentements, surtaxe sur les produits des pays ayant dévalué) et adopte des mesures malthusiennes (dénaturation