Crédit syndiqué

vigueur : * 1984 La loi du 24 janvier 1984 dite loi bancaire qui encadre les établissements de crédits. Elle donne les bases de fonctionnement dans 1 cadre de libre concurrence. Les 4 D : * Décloisonnement : fin des banques spécialisées (fin des prêts bonifiés, fin des monopoles des livrets) * Dérèglementation : suppression des entraves à la concurrence * Désengagement du crédit : l’Etat ne fixe plus les montants de prêts par les banques * Désintermédiation : favorise l’accès

de la puissance publique, aussi bien en termes de détention du capital qu'en terme de fixation des règles de fonctionnement du marché, notamment en ce qui concerne les taux débiteurs et créditeurs, le prix des services bancaires, les quantités de crédits distribuées, l'entrée dans le secteur, le choix des clients...etc. Ces conditions permettaient d'assurer aux acteurs bancaires des revenus appréciables. Historiquement, le système bancaire marocain est passé par trois phases importantes qui ont

la rentabilité et les activités des banques (ROA, ROE, importance des activités de crédit et de dépôts, coefficient d’exploitation bancaire, etc.) : Analyse des activités des banques Au regard des calculs faits en annexe, nous constatons que ces banques ont une importance d’activités aussi bien de collecte de dépôts que d’octroi de crédits. Toutefois, le montant des dépôts reste supérieur au montant des crédits. Ces banques ne courent donc pas un risque de liquidité, bien au contraire, elles maîtrisent

plusieurs années par certaines des banques chargées d'en assurer le calcul. Parmi elle, Barclays figure en toute première ligne, et a déjà écopé d'une forte amende (290 millions de livres). D'autres comme RBS, Lloyds Banking Group, HSBC, Deutsche bank, Credit Suisse, UBS, JP Morgan ou encore Citigroup ont fait part de litiges potentiels. Au total plus de 15 établissements seraient concernés. Le groupe britannique a perdu coup sur coup son directeur général, Bob Diamond, et son responsable des opérations

trop longtemps à des niveaux faibles (1 % aux Etats-Unis pendant plus d'un an). === Les possibilités d'endettement se multiplient en Occident === c - Depuis une dizaine d'années, l'innovation financière s'est parallèlement débridée (titrisation du crédit, produits dérivés...) aboutissant à un déni de toute forme de risque de la part des acteurs économiques. On était persuadé d'avoir éliminé tout risque parce qu'on le répartissait sur tous les acteurs du système financier, notamment en titrisant les

qu’on appelle les soldes d’hiver. La deuxième période débute le 1er juillet jusqu’au 31 juillet ; c’est ce qu’on appelle les soldes d’été. Les soldes ont été fixés à 5 semaines. 1. Définition   Solde : C’est une différence entre le débit et le crédit d’un compte. C’est acheté un objet moins cher qu’à son prix d’origine. Ex : -50% sur un pull à 12euro, il revient à 6euro.  Démarque : Ce sont tous les objets non vendus ne se trouvant plus en stock et comptabilisés dans un cahier

Ces institutions sont regroupées en 3 grandes catégories : * L’Euro système (Banque Centrale Européenne + les 16 banques Centrales Nationales) * Les établissements de crédits (résidents de la zone euro) : définis comme les sociétés dont l’activité consiste à recevoir des dépôts et à octroyer des crédits pour son propre compte de la part des entreprises ou toute personne morale qui émettent des moyens de paiement sous la forme de monnaie électronique. * Les organisations de placement

|1 | |Présentation du CPM |7 | |VALEURS IDENTITAIRES DU CREDIT DU POPULAIRE DU MAROC |8 | |Structure & organisation |11 |

accordaient des crédits à partir de ces dépôts pour généralement la même échéance. Dans cette pratique, il n’y avait ni risque d’illiquidité ni création de monnaie (les disponibilités des uns étaient prêtées aux autres). Par la suite on a assisté à l’apparition des banques de dépôts qui reçoivent essentiellement les dépôts à vue (dépôts que l’on peut retirer à tout moment). En se basant sur la loi des grands nombres et l’observation statistique, ces banques accordent des crédits à court terme à

de gestion de CIB diminuent notamment de 15,7%, hors coûts d’adaptation. Le résultat brut d’exploitation diminue ainsi sur la période de 14,1%, à 3 761 millions d’euros. Le coût du risque du Groupe, à 853 millions d’euros, soit 50 pb des encours de crédit à la clientèle, recule de 36,8% par rapport au deuxième trimestre 2011. Hors impact de 534 millions d’euros du plan de soutien à la Grèce au deuxième trimestre 2011, il augmente de 4,5%, demeurant à un niveau faible qui illustre la qualité du portefeuille