Crime de haine

Phèdre (Racine), Didot, 1854 Esther  ► Jean Racine Œuvres de Jean Racine, précédées des Mémoires sur sa vie, par Louis Racine Didot , 1854 (p. 241-261). Phèdre PHÈDRE, TRAGÉDIE. — 1677. PRÉFACE. Voici encore une t ragédie dont le sujet est pris d’Euripide. Quoique j’aie suivi une route un peu différente de celle de cet auteur pour la conduite de l’act ion, je n’ai pas laissé d’enrichir ma pièce de tout ce qui m’a paru le plus éclatant dans la sienne. Quand je ne lui devrais que la seule idée

elle a horreur toute la première : elle fait tous ses efforts pour la surmonter : elle aime mieux se laisser mourir que de la déclarer à personne ; et lorsqu’elle est forcée de la découvrir, elle en parle avec une confusion qui fait bien voir que son crime est plutôt une punition des dieux qu’un mouvement de sa volonté. J’ai même pris soin de la rendre un peu moins odieuse qu’elle n’est dans les tragédies des Anciens, où elle se résout d’elle-même à accuser Hippolyte. J’ai cru que la calomnie avait quelque

lui-même à Trézène amenée, J’ai revu l’ennemi que j’avais éloigné : Ma blessure trop vive aussitôt a saigné. Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée : C’est Vénus tout entière à sa proie attachée. J’ai conçu pour mon crime une juste terreur ; J’ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur ; Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n’ai pu soutenir tes larmes, tes combats : Je t’ai tout avoué ; je ne m’en repens pas. Pourvu que,

l’arrivée du personnage qui donne son nom à la pièce, Phèdre. La scène 3 de l’acte I est la première scène dans laquelle apparaît Phèdre. Auparavant, ce personnage a été mentionné dans la scène d’exposition où Hippolyte et Théramène rappellent la haine qu’éprouve la belle-mère du jeune homme envers lui. Cette troisième scène propose un dialogue entre Phèdre et sa nourrice, Oenone, cette dernière pressant la jeune femme de lui dire la cause de son mal. Après de nombreuses implorations, Phèdre finit

blanche et didascalie « froidement » (p.15) Puis révolte de Solange (p.20) = crie sa révolte dc sa haine pr Madame et « révolte des bonnes ». Puis S dit avoir besoin de la « cérémonie », du jeu pr se sentir exister, pr vider sa haine, exprimer sa révolte (p.26) Après le réveille-matin, Solange redevient + douce et rapport mère-fille avc Claire. Dc une certaine ambiguïté des rapports entre Cl et S : amour/haine. D’où jalousie de Cl à cause de Mario + ambiguïté de l’expression « t’achever » prononcé par

également présent de part l'amour entre Émilie et Cinna, les personnages de la scène, Auguste, Cinna et Émilie insistent sur leurs sentiments (heureux ou malheureux) et cherche à les partager au destinataire : Émilie éprouve de la haine envers Auguste pour avoir tué son père « une haine plus forte » (vers 1576) mais également de l'amour envers Cinna, Cinna éprouve de l'amour envers Émilie ainsi que de la souffrance, Auguste est en colère à cause de la trahison de la part de ceux qu'ils pensaient les plus

gradation). Il fait allusion à la couleur rouge de l’affiche qu’il compare à « une tache de sang », mettant par là en relief l’objectif recherché par les propagandistes, à savoir l’association dans l’esprit des Français, entre les résistants et le sang, le crime. Il parle également des légendes présentes sous les portraits : « à prononcer vos noms sont difficiles ». 4)     Selon lui, quel effet cette affiche veut–elle provoquer ? L’évocation de cette affiche est très subjective : Aragon ne se contente

elle a horreur toute la première : elle fait tous ses efforts pour la surmonter : elle aime mieux se laisser mourir que de la déclarer à personne ; et lorsqu’elle est forcée de la découvrir, elle en parle avec une confusion qui fait bien voir que son crime est plutôt une punition des dieux qu’un mouvement de sa volonté. J’ai même pris soin de la rendre un peu moins odieuse qu’elle n’est dans les tragédies des Anciens, où elle se résout d’elle-même à accuser Hippolyte. J’ai cru que la calomnie avait quelque

œuvres…………………………………………….....7 1.3 L’œuvre choisie ………………………….……………8 iv CHAPITRE II: LES THEMES PRINCIPAUX……………………20 2.1 La souffrance…………………………………………………20 2.2 La peine de mort…………………..…………………………21 2.3 La peur ………………………………………………………23 2.4 Le haine………………………………………………………24 2.5 La violence……………………………………..……………27 CHAPITRE III : LES THEMES SECONDAIRES……….………..28 3.1 La religion……………………………………………..……28 3.2 L’angoisse…………………………………………………...29 3.3 L’horreur……………………………………………………..30 3.4 L’injustice……………………………………………………32

ne pas annoncer brutalement mais pas non plus la faire attendre trop longtemps.2. La tirade est longue. Il faut bien classer les idées avant de commencer. Faites la liste des sentiments et émotions par lesquels Chimène passe : tristesse, désespoir, haine, colère, déception amoureuse, incrédulité. Choisissez trois sentiments, mettez-les dans l’ordre.Pour développer l’expression d’un sentiment, Chimène peut le nommer, nommer ses nuances ou synonymes, elle peut dire ses manifestations physiques (tremblements