Crime de haine

sont assez.  Réflexion de M. subjective et facilement discutable : elle invoque la nature vers 9, alors que son projet est contre nature.  Le crime de leur père détint sur les enfants : elle ne les verra plus donc inutile de les épargner.  Argumentation biaisée étant donné qu’il y a un déséquilibre entre les arguments pour et contre le crime.  Dans ce monologue, les efforts de s’analyser reste vains et son argumentation traduit sa confusion et sa folie. Monstrueuse par ses actes, Médée

Phèdre souhaite, au moment de son agonie, avouer son crime mais l’aveu devient vite mise en accusation. L’héroïne est soucieuse de rétablir la vérité. Ses ultimes paroles prennent les apparences d’une confession : « c’est moi qui sur ce fils chaste et respectueux / Osai jeter un œil profane, incestueux ». La tournure emphatique, « C’est moi qui …. », montre qu’elle n’hésite pas à mettre l’accent sur sa culpabilité. La façon dont elle présente son crime appelle un commentaire : elle s’accuse d’avoir «

celui de la colère qui caractérise alors l'état d'esprit de cette femme savante : « humeur » (v.447) ; « haine » (v.448) ; « courroux » (v.450). La question de Chrysale avec la métaphore « donner matière à votre haine » comme on donne de la matière pour nourrir un feu montre qu'elle est en colère. Molière met en avant le ridicule dont fait preuve Philaminte, grâce à l’exagération du « crime » commis par Martine. Celle-ci, accompagnée de Bélise, la pourchasse et motive le renvoi de la servante

{text:soft-page-break} 45 centimes décidée par Garnier-Pagès. Les paysans sont déçus dans leurs aspirations, et se considèrent trahis. La bourgeoisie rurale entre à nouveau en scène, et joue du discours démagogique pour ancrer chez les paysans la haine de la République. Et les paysans trouvent bientôt leur « homme providentiel », avec Louis-Napoléon Bonaparte : la légende napoléonienne constamment entretenue explique le succès écrasant du 10 Décembre 1848, qu’on à très tôt envisagé comme « l’insurrection

de se dire que l’on appartient à la même espèce que ceux qui ont commis ce crime : en effet ce n’est pas un combat, ce massacre n’a aucune légitimité d’ailleurs l’auteur ne parle pas de soldats mais d’  « assassins » et la « honte » le tenaille, honte d’être un homme : « Oradour honte des hommes »vers 28, « Oradour nom de la honte des hommes » vers 47, honte encore d’appartenir à l’espèce de ceux qui ont laissé faire ce crime. C’est l’humanité tout entière qui est responsable : les vers 28, 29 puis

femme à histoires ». Au nom de la raison d’Etat, le régent Egisthe maintient toutefois sa décision de marier Electre au jardinier. Clytemnestre, la mère d’Electre s’indigne de cette mésalliance. Mais elle se résigne inutilement à cette union malgré la haine farouche que lui porte sa fille. Oreste, qui s’est fait reconnaître à Electre comme son frère, chasse le jardinier. Electre voue un amour exclusif à son frère, alors qu’elle déteste sa mère et Egisthe sans vraiment savoir pourquoi. Les ultimes instants

envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé. THÉRAMÈNE J'entends: de vos douleurs la cause m'est connue. Phèdre ici vous chagrine et blesse votre vue. Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit, Que votre exil d'abord signala son crédit. Mais sa haine sur vous autrefois attachée, Ou s'est évanouie, ou s'est bien relâchée. Et d'ailleurs quels périls vous peut faire courir Une femme mourante, et qui cherche à mourir ? Phèdre, atteinte d'un mal qu'elle s'obstine à taire, Lasse enfin d'elle-même

évanouie et froide, gisait sur le sable ; Jacques pleurait, se désespérait, implorant de prompts secours pour son ami. Le lendemain, les journaux racontèrent l'accident, et les amants ayant toujours été aussi prudents que lâches, la pensée qu'un crime avait pu être commis ne vint à personne. Jacques en fut quitte pour expliquer la large morsure de Michel, en disant qu'un clou de la barque lui avait déchiré la joue. Il fallait attendre au moins treize mois. Les amants s'étaient concertés à

Dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé. THÉRAMÈNE J'entends. De vos douleurs la cause m'est connue, Phèdre ici vous chagrine, et blesse votre vue. Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit Que votre exil d'abord signala son crédit. Mais sa haine sur vous autrefois attachée, Ou s'est évanouie, ou bien s'est relâchée. Et d'ailleurs, quels périls peut vous faire courir Une femme mourante et qui cherche à mourir ? Phèdre, atteinte d'un mal qu'elle s'obstine à taire, Lasse enfin d'elle-même et

scène, s’exprime la haine entre Montaigu et Capulet, par l’intermédiaire de Tybalt, le cousin de Juliette. Sil ne s’agit pas complètement d’un monologue, puisque Tybalt s’adresse a ses valet, il ne s’agit pas non plus d’un dialogue équilibré, et beaucoup de pensée sont rhétoriques Tout comme dans le coup de foudre amoureux, la réaction de Tybalt est violente et excessive, au premier regard. Tybalt évoque immédiatement le combat « va me chercher ma rapière », illustrant ainsi la haine profonde et meurtrière