Crinière

Barack Obama, le 44e président des États-Unis. La crinière du lion reprend les cheveux afro de l’ancien président américain mais avec un effet vieillit. Le village mate du président semble vieillit, abîmé et blanchit. La queue du lion est enroulée autour de l’estrade mais possède un bandage. Le lion du centre est assis à quatre pattes avec une posture fière et droite. Le lion semble représenter Hu Jintao, l’ancien dictateur chinois. La crinière du lion représente les cheveux du président mais

"- Cette figure, souffle-t-on en ville, traîne derrière elle la poussière de ses secrets. Mystérieux, cet homme-là dissimule de terribles outrages. Le jour, confesseur, la nuit, démon malsain." C'est un Chevalier Blanc à la crinière de Pyrois, une mosaïque aux joues teintées de cinabre, qui oscille entre l'albâtre et l'incarnat. Sa peau revêt le soleil plutôt que d'en souffrir, et qui, d'ailleurs, peut lui causer du tort tellement il semble doux ? Et en même temps que d'être

retrouve des comparaisons, des métaphores. Au début de l’œuvre par exemple la barricade est comparée a un boa : « ...la barricade avait été approché[...]comme par un boa. » puis au milieu de ce contenu il l'assimile à une crinière d'éclairs : « La barricade escaladée eut une crinière d'éclairs. », puis vers la fin Hugo fait le rapprochement entre se qu'il décrit avec un feu d'artifice : « Quiconque a vu un feu d'artifice se rappelle cette gerbe... ». Ces comparaisons attirent les lecteurs et aident

la barricade est innondée d'assaillants comme une falaise d'écume, les tirs d'armes à feu évoquent le tonnerre. Puis Victor Hugo utilise le registre animalier pour mieux décrire la férocité des combats : crinière, lion, rugissement ; le canon rugit comme un lion et les éclairs forment une crinière. Victor Hugo associe la grandeur héroique à une monstruosité bestiale mais sous cette apparence héroïque toute guerre est un mal horrible et sous cette métamorphose de réalité, ce sont des hommes qui périssent

était donc couchée et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d’aise À mon amour profond et doux comme la mer, Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Dans Le Léthé, la « crinière » ne laisse personne dupe : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants Dans l’épaisseur de ta crinière lourde ; Dans tes jupons remplis de ton parfum Le sadisme de À celle qui est trop gaie est sans détour et les lèvres en question trop sexuellement évidentes : Ainsi je voudrais, une nuit,

était donc couchée et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d’aise À mon amour profond et doux comme la mer, Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Dans Le Léthé, la « crinière » ne laisse personne dupe : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants Dans l’épaisseur de ta crinière lourde ; Dans tes jupons remplis de ton parfum. Le sadisme d'À celle qui est trop gaie s'affiche sans détour et les « lèvres » en question paraissent par trop explicitement sexuelles :

service, contrairement à la houppette, maintenue par le marmouset en haut du cimier. Le casque est aussi composé d’une crinière en crins naturels qui sont noirs pour les escadrons de marche et rouges pour les cavaliers de la fanfare. La crinière est séparée par une tresse qui suit la courbe du cimier jusqu’à sa jonction avec la bombe. Cette natte parachève le rôle essentiel de la crinière de préservez le cavalier des coups de sabre de l’ennemi. En effet, un coup de sabre donné de haut en bas glisse sur

en 1861 par Baudelaire à Vigny : " le seul éloge que je sollicite pour ce livre est qu'on reconnaisse qu'il n'est pas un pur album et qu'il a un commencement et une fin." Dans Le Léthé, la « crinière » ne laisse personne dupe : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblantsDans l’épaisseur de ta crinière lourde ;Dans tes jupons remplis de ton parfum Le 30 août, Victor Hugo écrit à Baudelaire « Vos Fleurs du mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles », et pour le féliciter d’avoir été

nombreuses études de chevaux avant de recevoir la commande de cette statue équestre. Effectivement, le cheval est représenté avec beaucoup de naturalisme. On remarque notamment les boucles de sa crinière, soulevées et déplacées par le vent, témoignant d’une grande habileté de la part du sculpteur. La crinière ondoyante du cheval, ainsi que son dynamisme, contraste avec le corps raide et statique de son cavalier. L’un exprime le mouvement, l’autre la dignité. Cette statue de Cosme Ier rappelle la statue

ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? I) La femme, par le truchement de sa chevelure, ouvre