Crinière

pavillon de ténèbres tendues,
Vous me rendez l’azur du ciel immense et rond ;
Sur les bords duvetés de vos mèches tordues
Je m’enivre ardemment des senteurs confondues
De l’huile de coco, du musc et du goudron.

Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde !
N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde
Où je hume à longs traits le vin du souvenir ?

Dans la vieille ferme des Vermeil, Starlette se prélassait au soleil, Étincelante de propreté, Dans sa crinière des rubans colorés. Oui ! Les chevaux menaient une vie parfaite, Galopant dans des champs de pâquerettes, Dégustaient de délicieux fruits, Et rentraient à l’étable pour la nuit. En effet, sa magnifique carrure, Lui garantissait une bonne nourriture, Les animaux de la ferme voulaient l’imiter, Ils enviaient tous le secret de sa beauté. Peu à peu, Starlette ne fut plus libre

même mon connu son frère Orthos chien à deux tête il a aussi d’autre frère et sœur qui ont l’hydre de Lerne, le lion de Némée et la chimère . Description physique Il est grand plus grand q’un homme (en général mes sa taille est variable). Il a une crinière de serpents, sa couleur de peau est brune foncé et parfois on le représente aussi avec un queue de dragon il a de longue dents pointu il est très menacent . Pouvoir Sa salive est un poison mortel .il aurait aussi le pouvoir de changer de taille

Un bel étalon noir est aussi a bord, maltraité, personne n'arrive à le monter. Le petit Alec est fasciné par cet étalon, il le nomme Black. Une nuit de tempête, la foudre tombe sur le paquebot, puis il coule. Seul Alec survit en s'accrochant à la crinière de l'étalon. Au matin, ils s'échouent sur une île déserte. Alec se trouve un abri, il se nourrit d'algues pour survivre, mais il a peur tout seul. 3 jours plus tard, il se réveille sur le sable et un serpent venimeux arrive à coté de lui. Soudain

Telle une lionne à la longue crinière brune, Messaouda a bondi vers son fils Azouz pour le libérer de l’emprise de son mari. Cette femme d’une quarantaine d’année, à la peau couleur caramel, et aux yeux noisettes tente de réconforter son pauvre petit garçon. Messaouda attrape le torchon le plus proche et l’enturbanne sur le haut de sa tête. Son front légèrement ridé se plisse, ses lèvres fines laissent apparaitre ses deux incisives, puis c’est au tour de ses yeux en amandes qui se mettent

pavillon de ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps!toujours!ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume a longs traits le vin du souvenir? Charles Baudelaire (1821- 1867)

Quasimodo s’était arrêté sous le grand portail. Ses larges pieds semblaient aussi solides sur le pavé de l’église que les lourds piliers romans. Sa grosse tête chevelue s’enfonçait dans ses épaules comme celle des lions qui eux aussi ont une crinière et pas de cou.Pause descriptive : « s’était arrêté sous le grand portail » Modalisateurs « semblaient » « on eût dit » « paraissait » avait l’air » » Le narrateur omniscient, extérieur au récit, fait une pause descriptive après l’enlèvement spectaculaire

inquiets, « il faut se concerter ! » clame le lion. Tous se rassemblent autour du roi des animaux et regardent un sourcil dressé la petite Zoé. Elle se hisse sur la pointe des pieds pour attraper les petits animaux…quand le bout de ses doigts caresse la crinière du lion. Soudain, la petite Zoé est transportée loin de son lit ! Elle est sur l’île des animaux ! Et pas question de retourner au lit, c’est bien plus drôle ici. 

tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! Toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir?

ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir? Spleen et Idéal, XXIII