Critères de Copenhague

cet élargissement était cependant nécessaire. Dans ces Etats les conditions de vie deviennent difficiles : - hausse du prix - salaires stagnent - risque de dérive nationnaliste Démarche a été progressive , des critères ont été petit à petit définis : Critère de Copenhague : - disposer d’institutions stables garantissant la Démocratie, la primauté du droit, les respect des droits de l’homme, des minorités - avoir une économie viable, pour pouvoir supporter la concurrence. - pouvoir

Suède, Finlande et Autriche qui traduit une logique économique et monétaire prédominant sur la logique d’approfondissement. Par la suite, l’Europe ouvre les négociations avec les autres candidats à partir des critères de Copenhagues critères politiques (démocratie et droits de l’homme), critères économiques (économie de marché viable) et capacité à intégrer l’acquis communautaire b) Les réformes institutionnelles à petits pas. * Le Traité d’Amsterdam (signé en 1997 et ratifié en 1999) :

importante dans l'optique de son adhésion à l'Union européenne. En 2004, la croissance s'est élevée à 5,6% mais le taux de chômage est passé de 12 à 18% touchant principalement des catégories discriminées comme les tziganes.  Le pays satisfait aux critères de Copenhague avec une dette publique inférieure à 40 % du PIB. Le pays bénéficie d'implantations d'entreprises intéressées par les faibles salaires, mais reste pénalisé par sa faible productivité, ainsi que l'émigration de ses diplômés. En 2010, la Bulgarie

lois et institutions qui affectent la façon dont une société est dirigée, administrée ou contrôlée. Un peu plus tard, le terme « good governance » est employé par les institutions financières internationales, telles que le FMI, pour définir les critères d’une bonne administration publique et ainsi pour comparer les économies ou organes politiques inefficaces avec les économies et instances politiques viables. Pour le moment, le terme de gouvernance mondiale n’a pas la définition que l’on connait

l’Europe». C’est au Conseil européen de Copenhague de juin 1993, alors que le nouveau traité de Maastricht instaurant une Union européenne était en cours de ratification, que les chefs d’État et de gouvernement, alors au nombre de douze, ont repris à leur compte l’objectif de l’adhésion des pays associés. Ils en soumirent toutefois la réalisation à certaines conditions, désormais connues sous le nom des «critères de Copenhague». C’est à l’aune de ces critères que furent appréciées les candidatures

empêchent donc des personnes peu qualifiées de créer leur propre institution. Aux Etats-Unis, c’est une toute autre histoire, toujours fidèle à son modèle d’ultra libéralisme qui a, pourtant, fait sa grandeur, les américains n’ont fixé que très peu de critères nécessaires à l’ouverture d’une banque et se sont donc vite retrouvés avec une multitude de petites institutions. Ces établissements, afin d’assurer leur pérennité, ont voulu faire croître rapidement le nombre de leurs clients en leur proposant des

de l'Europe et celles de l'union européenne. Dans un contexte où les limites du continent européen ont du mal à être définies géographiquement et physiquement, des critères d'ashésion ont été mis en place par les dirigeants de l'union européenne. On peut se demander, dans quelle mesure la turquie remplie-t-elle tous ces critères? Quels efforts fournie-t-elle pour les remplir et ainsi légitimer sa demande d'intégration ? Peut-elle tout de même prétendre à une intégration à l'UE alors même qu'une

et les Etats doivent mettre en œuvre les mesures de façon à respecter les 4 critères de convergence :  Respecter la stabilité des prix (inflation maitrisée)  Respecter une certaine rigueur budgétaire  Convergence des taux d’intérêt  Participation au système monétaire européen o 01/01/1999 au plus tard : la monnaie unique devait remplacer la monnaie nationale de tous les pays qui satisfaisaient ces 4 critères. En plus de ces dispositions en matière monétaire, le Traité de Maastricht

qu’à partir 1992 (avec le traité de Maastricht). Si au départ cette « réunion » de pays comptait 6 membres, elle en compte aujourd’hui 27, et 3 pays se porte encore candidat. Mais quel est donc l’envoûtement de ces pays à s’intégrer ? Quels sont les critères à respecter pour pouvoir se présenter en tant que candidat ? C’est ce que nous étudirons dans un premier temps tout en y incorporant l’évolution de la Turquie ce siècle dernier. Si la Turquie se porte candidate depuis l’ouverture des négociations

d'adhésion, qui regroupe maintenant treize pays candidats dans un cadre unique". La Turquie obtient donc le statut de candidat lors du Conseil européen d'Helsinki. "La Turquie est un pays candidat, qui a vocation à rejoindre l'Union sur la base des mêmes critères que ceux qui s'appliquent aux autres candidats". Décembre 2000 : Partenariat pour l’adhésion Dans ce cadre a été conclu, sous présidence française en décembre 2000, un partenariat pour l'adhésion. Il a été révisé en 2003 et a pour objectif