Critique d'art

Walter Benjamin : « L’œuvre d’art à l’ère de sa reproductibilité technique » écrit en 1939 B. y expose une vision largement négative de l’émergence de nouveaux dispositifs médiateurs aux effets, selon lui, destructeurs. Pour lui, lorsque les œuvres se transmettent par la « machine » médiatique qui les reproduit, la perte de l’ « aura » qui en résulte entraine fatalement un déficit du côté des amateurs. I. La perte de l’ « Aura » La « déchéance de l’aura », c’est par exemple le passage d’une œuvre

-Philadelphia Museum of Art ( Etats-Unis) -Moderna Museet de Stockholm (Suède) -Musée d’art moderne de San Francisco ( Etats-Unis) -Tate Gallery de Londres (Angleterre) -National Gallery of Canada d’Ottawa (Canada) -National Museum of Modern Art de Kyoto (Japon) -musée Maillol de Paris (France) -L’indiana University Art Museum de bloomington (EtatsUnis) -Israël Museum de Jérusalem (Israël) -La galerie nationale d’art moderne et contemporain de Rome ( Italie) 3 aux Etats-Unis,1 en Suède,1 en Angleterre

Pourquoi l'homme a t-il besoin de créer des œuvres d'arts? Un besoin est ce qui est nécessaire à l'existence, à la conservation ou au développement d'un être vivant. En dehors des besoins vitaux comme boire, manger, dormir, on peut identifier des besoins spirituels et moraux chez l'homme (aimer, être aimé, être reconnu) dont semble dépendre son épanouissements. L'homme est l'un des être vivants le plus évolués, appartenant à la famille de l'homo sapiens voulant dire « homme sage » . L'homme est

forcément à envisager l’art comme un travail peu différent des autres, et ceux que l’on appelle artistes comme des travailleurs peu différents des autres, singulièrement peu différents de ces autres travailleurs qui participent à la réalisation des œuvres d’art. » Howard Becker, préface de Les mondes de l’art Usant les bancs de l’Université de Chicago pendant les années 50, Howard Becker a ainsi pu suivre les enseignements des professeurs du département de sociologie qu’on appelle l’École de Chicago, dont

conception « classique » du beau → exigences de perfection, de simplicité, d’harmonie, d’unité et de dignité. B La critique du classicisme et la définition sensualiste du beau Les règles de l’art sont souvent critiquées ex Molière dans le Critique de l’école des femmes. La beauté n’existerait que dans le sujet qui en est affecté→ chaque sujet ressentant de façon différente les œuvres d’art → le beau ≠ universel C La spécificité du goût C’est un jugement non pas déterminant mais réfléchissant

philosophe et non en connaisseur ou amateur d’art. Les Salons : tous les deux ans, les membres de l’Académie de peinture et de sculpture présentaient leurs œuvres au public dans une exposition à laquelle on donna le nom de Salon. A la demande de Grimm, Diderot rédigea des appréciations sur les œuvres présentées pour une revue : la Correspondance littéraire. Peu à peu, Diderot se forme et va donner naissance à un nouveau genre littéraire : la critique d’art. I – Au travers de ces deux extraits apparaît

problème) : On peut se poser la question de ce qu'est l'art car il est difficile de trouver le point commun entre toutes les oeuvres d'art. Exemple: Quel est le point commun entre les fresques de Michel Ange et le « Land art » ou même le carré blanc sur fond blanc ? Dans l'usage courant, on associe souvent le thème art à celui de beauté. Une oeuvre d'art pourrait être définie comme la représentation d'un idéal esthétique. Mais problème : Toutes les oeuvres ne sont pas belles et certains artistes

et la hiérarchisation des oeuvres d'art. -Grâce à l'aident des salons , l'académie va organisé d'ai 1667 des expositions publique ou des oeuvres d'art seront présentés par des artistes qui lui sont agrées. Mais à partir de 1798 , C'est un jury qui délibérera de l'acceptation d'une oeuvre , Il ne faut donc plus être membre de l'académie pour être exposé. - Durant le second empire (1852-1870) le salon demeure le lieu obligé du débat esthétique. la critique n'hésite pas à fustiger tout auteur

Cloé TLB Lundi 4 octobre 2010 Dissertation de Philosophie L'objet quelconque et l'œuvre d'art sont tous deux des produits humains. Cependant on considère qu'une œuvre d'art est unique, alors qu'est ce qui distingue une œuvre d'art d'un objet quelconque? Peut-on nous même faire la différence entre un objet banal et une œuvre d'art? Sommes-nous capable de reconnaître une œuvre d'art quand nous en voyons une? Ne nous attachons-nous pas au fait de les contempler dans les musées et de voir

un certain type d'art dans la société. On peut citer, par exemple, la politique du 1 % culturel et diverses manifestations culturelles telle la Foire Internationale d’Art Contemporain mais qui ne présente pratiquement que des artistes aujourd’hui décédés ou déjà reconnus, et d’autres moyens encore de diffusion de l’art qui sont, pour la plupart, ignorés du grand public. Les diverses institutions muséales appartiennent le plus souvent à l’État quelle soit d’art contemporain ou d’art plus ancien. L’État