Critique d'art

Il semble assez difficile de donner une définition fixe de l'oeuvre d'art, tant les définitions de l'art lui-même sont nombreuses et variables. Il s'agit justement ici de résoudre cette difficulté en dégageant les critères auxquels on reconnaît une oeuvre d'art. Reconnaître, c'est re-connaître : on a déjà une connaissance sur l'objet que l'on reconnaît, on sait ce qu'il est, et une nouvelle confrontation avec lui constitue une sorte de réactivation de cette connaissance. Comme le montre l'emploi

est objectif si il est conforme a l’objet. Le texte cherche à établirai celons ces critère si l’Object Brancusi est ou non une œuvre d’art. Les juges et les témoins confronte leurs opinions grâces aux questions qui permette à « l’Object » d’être examiner sous les specificités d’une l’œuvre d’art pour en découvrir la vrais nature. Tout d’abord une œuvre d’art est une création et jamais une copie elle doit donc être unique, ce qui est mis en évidence par la réponse du témoin «  il n’en existe

Introduction Parmi tous les objets du produire humain qui constituent notre monde, nous en distinguons certains, que nous nommons « œuvres d'art ». Alors que les objets se définissent tous par leur finalité, les œuvres d'art, quant à elles, semblent n'avoir aucune fonction assignable : si un marteau sert à enfoncer des clous, on ne peut rien faire d'un tableau, sinon le contempler. L'art de l'artiste se distingue donc de l'art de l'artisan, car ce que l'artiste produit paraît ne pouvoir servir à

afin de répondre à nos besoins naturels (manger…) alors que l’art est plus considéré comme un luxe. Certains considèrent d’ailleurs qu’il est quasiment impossible de concilier ces deux éléments dans un objectif commun, prenant l’exemple d’une œuvre d’art où la technique ne sera pas requise, ou de l’agriculture où l’art ne sera pas nécessaire. La technique est donc définie dans la performance (on cherche sans cesse à aller plus loin, plus vite …) tandis que l’art relève plus du désintéressement (un

dire les reconnaître.) 2. Pour Cause, le musée fait perdre « l’essence » de l’œuvre d’art. « L’état pure » de l’œuvre d’art est perdu dans le musée. Qu’est ce que l’état pure ? l’œuvre d’art n’est que la trace de la communication de l’artiste avec le monde. Selon certain artiste, la beauté existe déjà, à l’état invisible. Mais la tâche consiste à la partager aux autres hommes. En conséquence, l’œuvre d’art n’est que la trace de la communication de l’artiste avec la nature. la consistance

Problématique Ce que je propose pour le musée Salvador Dali à Figueres en Espagne, est un nouvel uniforme pour le personnel féminin de l’établissement. Mon intérêt quant à la création de cet uniforme est de transformer l’uniforme lui-même en œuvre d’art à l’image du contenu du musée. Analyse de l’existant L’uniforme du musée Salvador Dali reste un uniforme très standard, autant le féminin que le masculin. C’est un costume commun à quelconque musée ou société. Il s’oppose totalement au style

auteur qu’elle existe en dehors de lui » en d’autres termes il faut que l’œuvre soit concrète. Cependant il existe un problème d’adaptation entre cette définition et les œuvres d’art modernes telles que la vôtre. En effet, selon Sol LeWitt, artiste américain conceptuel et minimaliste les idées peuvent être des œuvres d’art ou encore selon la célèbre expression de Joseph Kosuth « Art as idea as idea ». Cette citation résume les principes de l’art conceptuel qui sont que dans l’art l’idée prime sur

Bac S  Sujet n°1L’art modifie-t-il la conscience du réel ?Analyse des termes : ART l’activité de l’artiste l’ensemble des œuvres d’art (peinture, sculpture, musiques…etc) MODIFIER : transformer, changer produire des effets sur CONSCIENCE DU REEL : Le réel, c’est l’ensemble des choses ; c’est le monde qui m’entoure. Au sens large, ma vision des choses qui m’entourent. Intérêt/ Enjeu : On dit souvent de l’art qu’il ne sert à rien, puisqu’il ne produit pas des objets

il ne faut donc pas mélanger deux arts différents. Un autre point important de la théorie de Loos est le fonctionnalisme ; c’est ce qui lui permet notamment de différencier l’architecture de l’art : une maison répond à un besoin tandis qu’une œuvre d’art n’a pas besoin de raison-d’ être. Pour lui, la fonctionnalité est synonyme d’économie, l’ornement synonyme de « capital gaspillé ». « L’architecte du futur devra mettre la main à la pâte et bénéficier d’une formation classique » p.50 « L’évolution

3 123 oeuvres d'art produites par son auteur principal Thierry Ehrmann et son collectif d'artistes. Le non-respect des règles d'urbanisme, ainsi que le mécontentement majoritaire des habitants du village, ont motivé le maire du village (Pierre Dumont) à porter plainte en 2004 Thierry Erhmann est en procès depuis plusieurs années maintenant face à la ville et aux riverains qui exigent de rendre à la demeure son aspect initial. Depuis qu'elle est reconnue officiellement comme oeuvre d'art, elle est