Critique de la faculté de juger

pensée théorique que représente la Critique de la raison pure et ses racines précritiques. b) La pensée pratique que contient surtout la Critique de la raison pratique et sa propédeutique, la Métaphysique des mœurs. c) La pensée esthétique et téléologique que renferme essentiellement la Critique de la faculté de juger. d) La pensée historique, politique, religieuse et pédagogique qui est éparpillée dans l’œuvre de notre philosophe, mais dont la période post-critique est un champ préviligié. I. La

comme « siècle de la Critique à laquelle il faut que tout se soumette ». Car, en se proposant de faire de cette critique une science, afin précisément de conférer un statut scientifique à cette connaissance des fins de la raison humaine dont le passé de la philosophie lui léguait le projet sous le nom de métaphysique, il fut amené à procurer à la pensée un point d'appui tout à fait nouveau pour sa réflexion. Si la raison peut être à la fois le sujet et l'objet de la critique, c'est qu'elle est

considérable sur l'idéalisme allemand, la philosophie analytique, la phénoménologie et laphilosophie postmoderne. Son œuvre, considérable et diverse dans ses intérêts, mais centrée autour des trois Critiques, à savoir la Critique de la raison pure, la Critique de la raison pratique et la Critique de la faculté de juger, fait ainsi l'objet d'appropriations et d'interprétations successives et divergentes. Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse-Orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans

cependant posséder d’après ses exigences; et ainsi on ne peut dire : « À chacun son goût ». Cela reviendrait à dire : le goût n’existe pas, il n’existe pas de jugement esthétique qui pourrait légitimement prétendre à l’assentiment de tous. Critique de la faculté de juger ( 1790 ), § 7, trad. A. Philonenko, Vrin, 1993, pp.74-75. On parle parfois de l’art de la peinture, de l’art culinaire ou de celui des abeilles…Kant, en opposant l’art à la nature, à la science et au métier, entend mettre fin à

descriptif, s’attache à ce qu’il y a de négatif ou d’irréductible dans l’expérience de la beauté et de l’œuvre d’art. C’est sans doute au contact de l’art du XXè s., que l’esthétique philosophique a regagné en vitalité, que ce soit pour assumer, critiquer le projet de la modernité, ou plus modestement, pour appliquer à l’art la rigueur d’une analyse logique du langage. L’esthétique est en question dans la philosophie parce qu’il en est question dans l’art. A l’origine de ce qui pourrait apparaître

Toute croyance : d’emblée il y avait un piège pour juger la rigueur de votre esprit : toute croyance ne se réduit pas à la croyance religieuse, qui n’en est qu’une déclinaison ; Il peut s’agir de croire en un homme politique, en une idée, ou bien en un slogan (des tas d’individus croient qu’un simple yaourt est efficace sur les intestins.) La croyance est donc un acte d’acquisition d’une information qui additionne une confiance aveugle, et une volonté de donner son accord
La raison est

leurs fonctions éventuelles dans la société, des intentions de leurs auteurs, de leurs matériaux, de leur style fait qu’on ne dispose pas de critères objectifs universels évidents pour juger qu’une œuvre est artistique. Même les effets produits par ces œuvres sont très divers. Ces effets à partir desquels on tend à juger une œuvre d’art ne sont d’ailleurs pas exclusifs de l’art : ce peut être l’émotion suscitée par une œuvre qualifiée de romantique, ce peut être la réflexion à laquelle invite l’art conceptuel

au premier abord ne semble pas poser vraiment problème. En effet, on dit communément qu’il faut penser par soi-même c’est-à-dire ne pas simplement répéter ce que les autres nous disent. Penser par soi-même consisterait à faire usage de ses propres facultés de penser en refusant toute influence extérieure, en rejetant toutes les idées toutes faites, les opinions, les préjugés…Ici, vous pouvez penser à l’attitude de Socrate face à ses interlocuteurs qui bien souvent sont persuadés détenir la vérité parce

évaluation peut certes se faire à l’aide d’un idéal de justice culturel  mais si l’idéal culturel est le critère ultime de la justice, alors il est impossible d’en faire la critique au nom d’un droit supérieur  or cette critique est possible, il existe donc un droit supérieur  ce droit ne peut être établi que par un faculté universelle, la raison  laquelle ne peut s’appuyer que sur les caractéristiques universelles de l’homme, sa nature  le critère de justice ultime peut donc être considéré comme

influencé la philosophie et la pensée critique grâce à son œuvre colossale. Éduqué dans un milieu protestant considérant la piété de l’âme plus importante que le raisonnement, Kant observe, très jeune, une grande austérité, dévouant tout son temps à l’étude et à la méditation. Principalement connu pour Critique de la raison pure , Critique de la raison pratique et Critique de la faculté de juger , dont je vais analyser