Critique De La Religion Dans Dom Juan

la société. 2. L’instrumentalisation de la religion Arnolphe représente dans cette scène l’archétype de celui qui utilise la religion pour son profit personnel tel Tartuffe le faux dévot dans Tartuffe ou L’imposteur. Dans la tirade, Arnolphe a recours au lexique de la religion et plus particulièrement au thème de l’Enfer qui attend Agnès si elle succombe aux avances du jeune « blondin », Horace. (Enfers, chaudières bouillantes, diable). La religion est ici un instrument de domination. Molière,

Molière dont le tartuffe vient d’être censuré, décide d’écrire Dom Juan. Il reprend un mythe qui parcourt toute l’Europe, un mythe bien connu du public du XVIIeme siècle. En cette période classique, règne de l’honnête homme, le personnage espagnol excessif intéresse le moraliste qu’est Molière. Cependant, avec ambiguïté, le dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, de bien des critiques et contre la toute puissante Compagnie du Saint Sacrement

Molière, Dom Juan, I, 1 : l’éloge du tabac Texte étudié SGANARELLE, tenant une tabatière : Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l’on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu’on en prend, de quelle manière obligeante on en use

Moliere lui meme “le theatre n’est fait uqe pour être vu”. Dans les Fourbereies de Scapin, les coup de baton ainsi que les diffrents accesnts de Scapin prennent tous leurs sens si et seulement si le spectateur est en feace de la ascene. De mem dasn Dom Juan, quand ce dernier tentes de séduire Charlotte, seules la miise en scen et le jeu des acteurs peuvent refletter l’hpocritie de la jeune femme. C. II. Existe t-il theatre sans conflit ? A. l’expression des sentimenets Mis apart le coflit

de sujets d'actualité comme la politique ou la religion. Prenons l'exemple d'une des pièces de Molière très connue «Les précieuses ridicules» où l''auteur met en scène deux jeunes femmes coquettes et intransigeantes refusant les avances de deux gentilshommes à cause de leur manque de galanterie. Dans cette pièce, l'auteur dénonce avec humour les convenances et le style vestimentaire de l'époque, la plupart étant exagérés et ridicules. Molière critique alors à son aise tout en divertissant le public

la société. 2. l’instrumentalisation de la religion Arnolphe représente dans cette scène l’archétype de celui qui utilise la religion pour son profit personnel tel Tartuffe le faux dévot dans Tartuffe ou L’imposteur. Dans la tirade, Arnolphe a recours au lexique de la religion et plus particulièrement au thème de l’Enfer qui attend Agnès si elle succombe aux avances du jeune « blondin », Horace. (enfers, chaudières bouillantes, diable). La religion est ici un instrument de domination. Molière

pour le dramaturge est d’ informer sans en avoir l’air, sans paraître artificiel. Les scènes d’exposition peuvent être statiques : deux personnages parlent et l’un d’eux fait un récit (cf. Dom Juan), ou dynamiques : les personnages sont en action. Souvent chez Molière, nous avons des expositions d’idées (Dom Juan ou Le Misanthrope : discussion sur l’amitié et la sincérité). Dans Tartuffe, c’est une exposition réellement originale par le nombre des personnages sur scène, c’est une scène de groupe.I

L’œuvre se compose en 2 parties ; . Critique de l’organisation politique et religieuse du régime monarchique -> misère des anglais. . Description de la vie idéale sur l’île d’Utopie -> équité parfaite entre les individus soumis à un régime communautaire qui n’entrave pas la liberté de chacun.  Dialogue entre le personnage de Raphaël et l’auteur lui-même. Extrait -> fin du discours de Raphaël ; Eloge de la cité Utopienne. Critique de l’organisation politique des nations

suffisait de les encouragés pour que une grande poésie se développe en France . Les principaux poètes du 16eme siecle furent Marot , Du Bellay , Ronsard ( le poète des Princes et le Prince des Poètes ) Au milieu du siècle , en Pensant aux guerres de religions certains réfléchissent sur la société de leur époque et éprouvent le besoin , visant a réformer un peu la société .Ils le font de Manière amusante comme Rabelais , ou beaucoup plus de manière philosophique comme Montaigne . Le XVII s° : Louis

compte des éléments qu’on lui a donné et comprend un argument valide. critiques adressée à la politique religieuse de Louis XIV * 1ère critique d’ordre humain : « nous abandonnons nos douces campagnes, nous fuyons notre patrie » « il déplora de manière si pathétique ». à insiste sur la douleur de l’exil * 2ème critique d’ordre économique. protestants = artisans ou commerçants = force de l‘économie française * 3ème critique d'ordre politique :conséquence fâcheuse de la révocation de l’édit de