Critiques De La Loi De Say Par Marx Et Keynes

L’école classique ou l’avènement du capitalisme libéral ............................................. 10 1.2.3. Karl Marx et la pensée socialiste ................................................................................ 16 1.2.4. Les néoclassiques...................................................................................................... 18 1.2.5. John Maynard Keynes................................................................................................ 21 Conclusion du chapitre

productivité et nombre de salariés en diminution ou stagnation Et à terme, dans un 2nd temps : le stock continue de croitre et le nombre de salariés diminue, et donc la productivité diminue ou stagne. Ce résultat s’interprète en recourant à la loi des rendements décroissants = elle précise que dans une combinaison productive (quantité de travail, quantité de capital et quantité de produits), s’il y a plus d’un facteur qu’un autre, alors le rendement (productivité) baisse. Ce processus a permis

Keynésianisme Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la

théorie de Piero Sraffa 2. La critique de la théorie marginaliste du capital 3. Une théorie « néoricardienne » isolée 59 59 61 62 Le marxisme 16 L’hétérodoxie « socialiste » : présentation d’ensemble 1. L’émergence du « socialisme » 2. Les socialismes « utopiques » : des reconstructions sociétales 63 63 64 17 Marx et le socialisme « scientifique » 1. La « microéconomie » de Marx : aliénation marchande et exploitation capitaliste 2. La « macroéconomie » de Marx : l’analyse de la crise

entre ce que le marché est prêt à payer au maximum et le prix auquel l'entreprise doit vendre son produit au minimum, va correspondre au prix naturel tel qu'il a été défini par les économistes classiques en se fondant sur la valeur-travail. Les critiques avaient souligné que le concept d'utilité n'était guère opérationnel en entreprise, beaucoup moins que celui de la valeur-travail, car la satisfaction du consommateur était difficile à mesurer. Mais, selon Alfred Marshall, ce n'est pas parce que

Les économistes classiques D’Adam Smith à Ricardo, de Stuart Mill à Karl Marx. Si pour les économistes classiques de la fin du XVIIIème et du XIXème, l’économie relève bien d’une discipline scientifique, ils ne la séparent généralement pas totalement des autres aspects de la réalité sociale, se distinguant ainsi des économistes néo-classiques. Les questions posées à l’époque restent très modernes. Ø Quels sont les facteurs favorables à la croissance ? Ø La misère ouvrière peut-elle être réduite

théorie de Piero Sraffa 2. La critique de la théorie marginaliste du capital 3. Une théorie « néoricardienne » isolée 59 59 61 62 Le marxisme 16 L’hétérodoxie « socialiste » : présentation d’ensemble 1. L’émergence du « socialisme » 2. Les socialismes « utopiques » : des reconstructions sociétales 17 Marx et le socialisme « scientifique » 1. La « microéconomie » de Marx : aliénation marchande et exploitation capitaliste 2. La « macroéconomie » de Marx : l’analyse de la crise comme

ou tout bien de même nature. Cette définition inclus les services et tout ce qui permet d’acquérir des utilités (la monnaie, les titres financiers, les créances, les droits,…) ; le terme économie recouvre deux sens proches : D’après Jean Batiste Say : il s’agit de l’ensemble des phénomènes liés à la production, la circulation et l’utilisation des biens rares. De plus l’économie s’intéresse à la désutilité du travail et de l’optimisation des choix en univers contraint. On va se poser la question :

C’est dans ce contexte de crise économique que les idées de John Maynard Keynes seront reçues et appliquées. Afin de relancer l’économie, il proposera une approche en flagrante rupture avec les néo-classiques soit une approche prônant l’interventionnisme de l’État. Keynes croyait fortement à la l’influence des idées. « À vrai dire le monde est presque exclusivement mené par elles »[4]. D’ailleurs, la théorie élaborée par Keynes était littéralement un guide pour sortir de la crise, soit donc basée sur

économique mais que le secteur privé ne peut prendre en charge par manque de rentabilité (construction de ponts, creusement de canaux, etc.). Jean-Baptiste SAY : (1767-1832) Dans son « traité d’économie politique » paru en 1803, Say y développe une théorie de la valeur fondée, non pas sur le travail, mais sur l’utilité. Il y énonce sa célèbre « Loi des débouchés » selon laquelle l’offre crée la demande : l’entrepreneur, par la production qu’il met sur le marché et les revenus qu’il distribue, alimente