Croates

Metapedia existe en suédois, en anglais, en hongrois, en espagnol, en français, en slovaque, en portugais, en tchèque, en roumain, en allemand, en estonien, en norvégien, en croate, en danois, en néerlandais et en grec. Wikislavia existe en russe, en une langue appelé « sibérien », en tchakavien (croate), en kaïkavien (croate), en russe latinisé, en « don-cosaque », en panslavon, en moldave[Quoi ?] [réf. nécessaire] et en ukrainien. Influencées par le positionnement de Wikipédia sur Internet, les

seul problème c’est le taux très faible de la participation. Seulement 42% des électeurs inscrits se sont déplacés pour voter. C'est la participation la plus faible jamais enregistrée à un référendum sur l'adhésion européenne. Le Premier ministre croate a reconnu lui-même sa surprise devant ce mauvais résultat. Quelqu’un veut rajouter qqu chose à propos ? Martin - Oui, on peut rajouter que la première vocation de l’UE est le maintien d’une paix en Europe, rôle pour lequel elle a faillit, notemment

est devenu une référence dans le monde de la presse sportive et fait des émules. En 2005 ont vu le jour Australian FourFourTwo, en Australie, et FireFireTo, en Norvège, bientôt suivis par d’autres déclinaisons, dont une brésilienne, une turque, une croate et une coréenne. Lire un article >>> Sovietski SportSovietski Sport, Russie Football, échecs, hockey sur glace : les trois sports les plus populaires de Russie sont à la une de Sovietski Sport, le plus vieux quotidien russe consacré au sport

fédération yougoslave. Les Serbes, sous la direction de Slobodan Milosevic, souhaitent le maintien d’une unité fédérale sous leur contrôle, mais la Slovénie t la Croatie déclarent leur indépendance en 1991. Un premier conflit a lieu entre Serbes et Croates, résolu par l’intervention de l’ONU. Un référendum organisé en Bosnie-Herzégovine aboutit à l’indépendance bosniaque le 5 avril 1992, alors que les Serbes de Bosnie ont boycotté le scrutin et n’acceptent pas ses résultats, lui préférant

sont l'allemand et l'anglais. Le français est peu parlé malgré des progrès depuis quelques années (100 000 francophones environ). Minorités : environ 9% de la population totale (500 000 Tsiganes ou Roms, 210 000 Allemands, 110 000 Slovaques, 80 000 Croates, 25 000 Roumains...) Religions : une majorité de catholiques (69 %), 25 % de protestants (21 % de calvinistes et 4 % de luthériens), 1% de Juifs. Une forte tradition scientifique. Nombreux chercheurs de renommée internationale : le Prix Nobel de

| |Aspects |Origines de la population : allemand ; français ; italien ; romanche ; espagnol ; portugais ; serbe et | |socioculturels |croate… | | |Avec 20 % d’étrangers, la Suisse figure dans le groupe de tête des pays européens d’immigration. France | |

la langue allemande pour aider les élèves à connaître les structures de leur propre langue et pour les initier à la connaissance des structures linguistiques de base. Il est apparu que les élèves d’origine turque, italienne, libanaise, bosniaque, croate, pouvaient puiser de leur propre langue des structures grammaticales et quelquefois même des mots. De ce fait, les enfants étrangers étaient — autrement qu’à l’habitude — avantagés par rapport aux élèves allemands. Ceci a certainement accru la confiance

hampes ; le rayhânî ; le riqâ’, proche du thuluth, qui sert uniquement dans des documents administratifs ; le tawqî’, à propos duquel on peut faire la même remarque. Pour les langues étrangères à l'arabe (persan, turc, berbère, ourdou, croate ou encore swahili), d'autres styles se développent, comme le nasta'lîq, écriture inclinée, mélange du naskhî et du ta'lîq, qui sert en particulier dans les manuscrits persans. La déclinaison en un vaste corpus de calligraphies n'empêche pas une unité

nationalismes étouffés par l'emprise communiste de resurgir. Si la Tchécoslovaquie se divise sans heurts, en Yougoslavie, les rivalités nationalistes et religieuses font éclater la fédération et ouvrent une période de guerres entre les Serbes et les Croates, les Bosniaques, puis les Kosovars. Comme en Europe de l'Est, les nationalismes en URSS remettent en cause les frontières soviétiques. En décembre 1991, Gorbatchev, ne pouvant plus assurer la cohésion de l'URSS, proclame sa dissolution.

entre Irak et Koweït). Il feint d’oublier qu’il n’y a eu ni « bloc orthodoxe », ni « bloc musulman » dans les conflits balkaniques récents mais au contraire des tensions entre Serbes et Macédoniens, Serbes et Monténégrins (tous orthodoxes), que les Croates (catholiques) se sont alliés aux Bosniaques (musulmans) contre les Serbes (orthodoxes) pendant le conflit en Bosnie. Qu’il y a eu aussi absence de solidarités entre Albanais musulmans du Kosovo et musulmans de Bosnie… Par ailleurs comment expliquer