Crocs

de pleurer, de me moucher et même d’avoir de petits grès carrés dans la bouche qui ne sont que mes dents. Si l’homme est pourvu de dents c’est encore une fois pour s’alimenter, elle ne dit rien sur les animaux qui dévorent leur proie grâce à leurs crocs ou tout simplement sur les becs des oiseaux qui réussissent à couper et gober tous les insectes. On m’accuse tout simplement d’être un homme et il y a dans ce jugement un manque de tolérance à mon égard. Je suis décrit comme une créature sans intérêt

(acier, bois...) pour créer des épées et des avions. Le monde, petit à petit, est devenu un technopôle. Le simple fait de se nourrir use de techniques (cuisson à l'aide du feu, couper la nourriture à l'aide d'instruments, l'homme ne disposant pas de crocs pour déchiqueter la viande...). La technique de ce point de vue semble aussi nécessaire pour l'homme que la fourrure épaisse de l'Ours polaire. La notion de nécessité de la technique apparaît comme un concept évident. L'homme qui adapte, modèle la

faussée 5. Simulacre de vie 6. Sommeil profond 7. Ténèbres profondes Magie de Faerün : 1. Poison d'araignée Les Chapitres interdits : 1. Masochisme 2. Sadisme Compendium arcanique : 1. Attaque spectrale 2. Crocs du roi vampire 3. Etat informe 4. Sorts de Niveau 4 Manuel des Joueurs : 1. Bagou 2. Clairvoyance / Clairaudience 3. Empoisonnement 4. Invisibilité suprême 5. Liberté de mouvement 6. Localisation de créature 7. Modification

presque toujours vaincu. Ce jour là,tous les rats noirs périrent.      A cause de sa solitude,  Robinson ne savait plus sourire; il a réappris  à le faire en voyant Tenn sourire et faire une grimace avec ses lèvres qui cachaient une double rangées de crocs.    Désormais, Robinson ne cessait d’organiser et de civiliser l’île mais parfois il se demandait à quoi et à qui cela servait ; cependant il se souvenait des dangers de l’oisiveté et de la souille.      La grotte lui servait à mettre tout ce qu’il

en plus je ne suis pas à proximité d’une usine de tofu ? Ça c’est de la double chkoumoune de vegan. Premièrement, si tout ce que je peux manger est ce que je peux ‘attraper’, je suis déjà dans la merde. Il me manque non seulement les griffes et les crocs qu’il faut pour tuer un animal sauvage – mais il me manque aussi la vitesse, l’agilité, et la force. Et même si j’arrive par ‘chance’ à piéger, on va dire, un tamia (en utilisant le paquet d’amandes du vol, que pour une raison inconnue je n’aurais

l'étymologie du nom du héros) et n'est plus qu'un souvenir qui s'efface à la mort d'Alexandre le grand. Quant à Bérenger Ier, il est un roi sans héroïsme, confronté dans la mort à des animaux de cartons : « Ne crains pas ce vieux loup qui hurle... ses crocs sont en carton » et à de petits animaux, « Rats et vipères » dénués de noblesse. Dissemblances : Racine propose un récit de la mort d'Hippolyte par un messager témoin, Théramène. Il ne fait que rapporter la mort qui, par respect pour la règle de bienséance

C’était la demeure d’un grand furet-putois, qu’un garçon boucher amical avait un jour introduit en catimini, avec sa cage, en échange d’un magot de petites pièces d’argent longuement tenu caché. Conradin avait terriblement peur de la bête souple, aux crocs aigus, mais c’était son bien le plus précieux. Sa seule présence dans la cabane à outils était une joie secrète et 2 pleine de crainte, qu’il fallait scrupuleusement soustraire à la connaissance de la Femme, comme il surnommait privément sa

du tout agile). Parlons ensuite de ma « nourriture », je mords les humains mais ne vous inquiétez pas je ne les tue pas. En fait, Je leurs prends la moitié de leur sang, et je leur donne une toute petite goutte de mon sang pour que les marques de crocs n’apparaissent pas. Bien sur je fais en sorte qu’elles s’évanouissent en leur frappant légèrement sur la tête. Et il m’arrive de prendre des poches de sang quand je n’ai pas envie de sortir. Comme les humains, j’ai aussi des factures a payer, et donc

par la suite que c’est la pratique courante dans ce milieu, et que tous les scénaristes encore peu connus acceptent…Entretemps, j’ai ressorti de mes tiroirs « Le chant de l’Apsara » écrit une douzaine d’années auparavant, toujours comme des coups de crocs à l’Histoire du Viêt-Nam. Je l’ai entièrement remanié pour le publier. C’est le roman qui m’a apporté le plus de reconnaissance (Prix du récit de l’Ailleurs + Grand prix du Conseil Général du Loiret + interviews télé et radio… et autres). J’ai alors

lui non plus. Chez Koltès, il y a des personnages, humains, c'est-à-dire aussi en proie à l'animalité, des êtres qui livrent un combat contre eux-même, occupés à survivre. Des chiens qui se tournent autour en se reniflant le derrière, montrant les crocs à l'occasion. Le nègre n'est là qu'un autre de ces chiens. Ou bien il serait tel si le sujet de la pièce était la nègritude, ou l'homme africain (comme dit l'autre). Mais il ne s'agit pas de cela. Le sujet serait plutôt l'homme européen, son combat