Crocs

son maître. Le second fut Tigro, qui lui devenait son tigre. Il vit premièrement sa pilosité se transformer en fourrure orange rayée de poils noirs. Lui aussi se tenait dorénavant à 4 pattes et sa tête était devenue celle du félin. Avec de grands crocs dans sa gueule, où se tenait, juste au-dessus de celle-ci, son mufle. Ses petites mains étaient devenues les mêmes pattes que celles de son mammifère. A partir de la fin de sa métamorphose, se fut au tour de son tigre, qui lui devenait, comme pour

sanglante une corde au cou - debout au milieu d’un cirque immense, sur mon front noir une couronne de daturas  Voum rooh S’envoler […] Voum rooh oh » « Mais qui tourne ma voix ? qui écorche ma voix ? Me fourrant dans la gorge mille crocs de bambous [crocs = image récurrente ds l’œuvre de NERUDA]. C’est toit sale bout d emonde. Sale bout de petit matin. C’est toit sale haine. C’est toit poids de l’insulte et cent ans de coups de fouet. C’est toi cent ans de ma patience, cent ans de mes soins

droite comme s'il lui était tissé directement à même la peau, sans qu'il n'en ressente la moindre douleur, et remonta jusqu'à son coude. Un tatouage lui barrait tout son bras gauche, représentant un serpent enroulé et dont sa gueule grande ouverte, crocs en avant, se terminait sur sa poitrine où une tête de loup essayait de repousser son agresseur. A son côté s'était matérialisé un petit tanto, petit poignard japonais, de fer incrusté de diamants noirs, et dont deux bandes de tissu noir et blanc s'enroulait

et vulnérable, il dispose de cet attribut extraordinaire à la nature : Il dispose d’une conscience réflexive. Cet attribut lui offre mains avantages sur son environnement, pourtant il ne s’agit guère d’une arme organique comme pourraient l’être les crocs du lion, ou le venin du serpent. Il s’agit d’une faculté tout à fait essentielle par laquelle la nature humaine se différencie de la nature du reste des êtres vivants plus fondamentalement encore que le vivant ne se différencie du non vivant. En effet

de tracer son avenir et de le lui révéler.” Sur ces sages paroles, elle se tourna sentencieusement vers Camille : “Aujourd'hui est venu le temps du règne des mères, des épouses et des vierges guerrières. Lève- toi, prends une lame acérée par les crocs d’un basilique et réunit les femmes égarées qui tiennent pourtant le monde par leur courage, leur intelligence et leur indéniable tendresse. Fais-les devenir pareilles à ces hommes que l’on vénère, à des guerriers, sans jamais sombrer dans l’ignominie

C'est nous qui décidons qui nous mangeons ! Sur ces mots, elle a commencé à se métamorphoser. La couleur s'est retirée de son visage et de ses bras. Sa peau est devenue blanche comme de la craie, ses yeux tout rouges. Ses dents se sont allongées en crocs pointus. - Un vampire ! ai-je bafouillé. J'ai alors remarqué ses jambes. Sous sa jupette de pom-pom girl, sa jambe gauche était couverte de longs poils bruns hirsutes et se terminait par un sabot d'âne. La droite avait une forme de jambe humaine

passion ressentie pour le corps de la femme à travers les tableaux de l’artiste Wang-Fô est anéantie, elle n’existe plus. Un réel dégoût pour la femme habite ce jeune homme. « la chair des femmes vivantes me répugnes comme la viande morte qui pends aux crocs des bouchers ». Cette image est très forte ? marquantes (sing) car, la beauté qui est très présente dans les tableaux du peintre est ruinée. Cette beauté des femmes qui symboliquement relevait du fantasme et de la magie est alors banalisée au contact

l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien. » Pour Pascal, la conscience constitue la spécifique de l’Homme . L’homme est le plus faible de la nature. Il est incapable de survivre, de se défendre comme les autres animaux (dépourvu de griffes et de crocs) , inférieur physiquement. Insignifiant point de vu de l’univers. Mais la pensée et la conscience fait la grandeur de l’homme. 3° René Descartes. Il reçoit une éducation scolastique. Il est insatisfait de son enseignement, il est dans la confusion

l’étreinte. « Ta salive  »,(On a toujours le possessif « ta » ) sujet du verbe mordre devient le poison ; les 2 relatives successives « qui mord /Qui plonge… » sont comme des coups de crocs qui s’enfoncent dans l’âme du poète, prennent possession de lui. Qui plonge dans l'oubli mon âme sans remord,  On pense ici au poème le Léthé : Pour engloutir mes sanglots apaisés Rien ne me vaut l'abîme de ta couche ;

sortir pour aller au bureau, il vida une bouteille de Coca-Cola pour sentir lui couler dans les veines la sensation Coke, il croqua ensuite une bouchée Lion qui le fit rugir de bonheur et le gorgea d'une bestiale volonté de défier le monde de tous ses crocs. Il ne lui restait plus qu'à poser sur son nez ses verres solaires Vuarnet, les lunettes du champion, et d'allumer une Marlboro, la cigarette de l'aventurier toujours sûr de lui, que ce soit dans la savane ou sur le périphérique. Lesté, des yeux aux