Croissance Des Pays De L Uemoa

Koffi pour tous leurs appuis et précieux conseils. 4 INTRODUCTION Depuis 1950(2,5Milliard d’habitants), la population mondiale n’a cessé d’augmenter à un rythme extrêmement rapide pour atteindre aujourd’hui (2013) 7.091 Milliard d’habitants .Une croissance de plus de 79 millions de personnes par rapport à 2012 où on notait 7.013 Milliard d’habitants (INED ,2013) .On estimerait cette population a environs 8,5 Milliard d’habitants en 2025 (ONU Habitat, 2010).cette situation va engendrer un déséquilibre

dans un monde où capitalisme, globalisation et mondialisation sont les maîtres mots des pays les plus riches et les plus développés, on constate que de nombreuses inégalités se creusent et que de nombreux Etats se voient mis à l’écart, faute de moyens et de puissance économique suffisamment développé. Cette situation d’inégalité est particulièrement observée sur le continent Africain puisque de nombreux pays dit « en voie de développement » et à faible revenus ne trouvent pas les moyens à la fois

géographique bénéficie de nombreux atouts qu’elle utilise pour asseoir son développement économique. Parmi ces atouts, son ouverture sur le golfe a permis la construction du Port Autonome d’Abidjan qui constitue aujourd’hui le poumon économique du pays. Localisé sur les bords de la lagune Ebrié, le Port Autonome s’Abidjan joue un rôle de premier rang dans l’économie ivoirienne et apparaît comme un élément essentiel au soutien de l’économie naissante tout en facilitant son ouverture sur le monde extérieur

élevé, plus l'action est considérée comme chère. SOCOCIM : Société Ouest Africaine de Ciment SONED : Société Nationale d’Etude et Développement SOSETRA : Société Sénégalaise de Transformation SIMELEC : Société Industrielle de Matériel Electrique UEMOA : Union Economique et Monétaire Ouest Africain. SGI : Société de Gestion et d'Intermédiation - Établissement financier constitué en société anonyme, agréé par le Conseil Régional selon certains critères, entre autres techniques, financiers et déontologiques

notre pays à prendre la décision de la création d’une monnaie ivoirienne. Les circonstances actuelles militent en faveur de l’acquisition par la Côte d’Ivoire de sa souveraineté monétaire. De même qu’un pays souverain se dote d’un droit positif, d’une armée et de divers symboles d’Etat (un drapeau, un hymne national et autres emblèmes), de même ce pays, sur la base de sa souveraineté est fondé de battre sa monnaie. La Côte d’Ivoire indépendante depuis 1960 partage avec sept (7) autres pays de l’Afrique

No. 1, janvier 2009 Investissements Directs Etrangers (IDE) et Gouvernance : les pays de la CEMAC sont-ils attractifs ?1 Par Joseph DJAOWE Résumé : Existe-t-il une relation entre les investissements directs étrangers et la gouvernance pratiquée dans un pays donné ? Tel est l’objet de cette étude. Pour répondre à cette question nous avons utilisé l’économétrie de panel sur des données collectées sur les six pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) durant la période

impliquant des économies à base industrielle faible, généralement dépendantes de l’agriculture et dont le commerce intrarégional est peu développé. Ensuite, il est nécessaire d’analyser avec soin le rôle des pays africains les plus puissants. Dans les cas d’intégration régionale réussie, les pays économiquement forts ont joué un rôle moteur. Enfin, le cadre actuel de l’intégration sous-régionale est constitué par les CER et il est nécessaire de réfléchir à la façon de tirer le meilleur parti de leur

principales banques françaises dans les échanges internationaux dans le secteur de la microfinance. L’objectif est, dans un premier temps, de réaliser un état des lieux des interventions des banques françaises dans le secteur de la microfinance dans les pays du Sud. Puis, dans un second temps, il s’agit de mesurer l’impact de ces investissements sur les acteurs de la microfinance. L’Agence Française de Développement (AFD) a mandaté Epargne Sans Frontière (ESF), qui anime le RFM, pour réaliser cette

d’intégration, s’est réalisée dans un contexte caractérisé par le phénomène de la mondialisation de l’économie et des marchés financiers. Dès lors, le législateur de l’OHADA, dans son œuvre de construction d’un espace d’intégration juridique stimulateur de croissance et de développement économiques, a-t-il pris en compte les exigences liées à l’émergence de marchés financiers communautaires en zone OHADA ? Si, en matière d’obligations de transparence imposées aux entreprises et autres émetteurs faisant appel

OBSERVATIONS ET RECOMMANDATIONS CONCLUSION P.16 P.24 2 DELIBERE Le présent rapport de la Chambre des Comptes de la Cour Suprême a été établi dans le cadre de la mission que lui assignent, d’une part, l’article 71 de la Directive n° 05/97/ CM/UEMOA relative aux lois de finances aux termes duquel « la juridiction des comptes assiste le parlement et le Gouvernement dans le contrôle de l’exécution des lois de finances », et d’autre part, les articles 154 et 171 de la loi sur la Cour Suprême suivant