Croque-mort

description de la mort s’appuie sur les notes : il les développe, organise une agonie en trois temps pour la mise en scène littéraire. Comparer la brièveté des mots dans le feuillet 97 – sans phrases, avec deux références à la pagination – et l’amplitude qu’il leur donne Chacune de ces pistes est téléchargeable au format RTF ou PDF : http://www.bnf.fr/pages/expos/brouillons/pedago/index.htm dans son roman : c’est un combat que Coupeau mène contre les ravages de l’eau-de-mort de l’Assommoir

-nouvelle conversation avec Rieux 3.La mort de l’enfant Othon p.214-222 -la séparation -la lutte de l’enfant contre la mort -l’attitude de Rieux 4.Le second prêche et la mort de Paneloux p.223-236 -la crédulité des Oranais -le sermon : *la présence du vent *la changement de ton de Paneloux *les einseignements de la peste *la «réligion du temps de la peste» *«un fatalisme actif» -la mort de Paneloux 5.Le camp d’isolement p.237-245

li mavais faire. Il s’estuidient de trover Achoison por les bons grever. Per fausetey, per felonie Ont cilz lous per tout signorie. Au dessoz est en toute place Mise vertuz, droiz et simplace. Li plus fort lo plus foible esquaiche, Povres hons est mort qui ai vaiche. Il convient que voincu se rende, Qui ne trueve qui lo deffende. Apertemant puis donc conclure : Ou lous raigne, morte est droiture. Onques vertuz ne fut segure Avuec genz qui de Deu n’on cure. Thélème. Revista Complutense de Estudios

emportez toutes chaudes ! Si j'arrive à vous rattraper, il vous faudra bien les laisser. Vous seriez mauvais camarade en voulant les manger sans moi. » Et regardant derrière lui, le chapelain voit le vilain qui accourt, le couteau en main. Il se croit mort, s'il est atteint; il ne fait pas semblant de fuir, et l'autre pense qu'à la course il pourra reprendre son bien. Mais le prêtre, le devançant, vient s'enfermer dans sa maison. Le vilain chez lui s'en retourne et il interroge sa femme : « Allons 

suicide pour une simple cause politique... Le monde est vraiment mal foutu. De nos jours, c’est guerre sur guerre, mort sur mort, tout ça est inutile. Si Dieu existait, ferait-il quelque chose? La religion est bien complexe. Quand j’ai commencé ma vie de soldat, je savais a quoi je m’attendais .Maintenant, je n’ai plus beaucoup de choix : mourir au paradis, ou batailler en enfer.., la mort est la seule voie de liberté… et pour les autres comme moi, on décide de guerroyer, jusqu’au dernier souffle, souffrir

l’une ou l’autre touche d’humour. Cependant aucun de nos poètes n’a réellement vécu les rencontres évoquées dans notre travail. Victor Hugo né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris. Il a 46 ans au moment de notre histoire. Charles Baudelaire né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. Il a 27 ans. George Sand née à Paris le 1er juillet 1804 et morte à Nohant le 8 juin 1876. Elle a 44 ans. Baron Jean de Courbevoie. Personnage fictif

imaginables" – L’eau-de-vie de l’Assommoir (texte 16) – La déchéance physique (texte 17) – Les basses besognes (texte 18) – La leçon de Nana (texte 19) La mort, "épuisée de travail et de misère" – Déshumanisation (texte 20) – Retour vers le passé (texte 21) – Portrait de l’ombre (texte 22) – Gervaise chez Goujet (texte 23) – L’ironie de l’idéal (texte 24) – La mort (texte 25) ANTHOLOGIE DES PORTRAITS DE GERVAISE Texte 1 : Gervaise aux prises avec la rudesse de l’existence Gervaise n’avait que vingt-deux

immeubles : quelque chose qui ne se déplace pas (bâtiment, arbre, sol). Une autre catégorie a été employé les immeubles par destination : par exemple les chevaux ou encore les esclaves. (Cela a duré jusqu’en 1848, l’abolition des esclavages.) - la mort civile était une sanction pénale : peine très lourde. Elle avait des effets remarquables : la personne étaient civilement morte même si elle était juridiquement vivante. Sa succession était liquidée, son mariage était dissout. Ce sont des « zombis

qui, malade, part se soigner dans une ville voisine. Près de la sortie, sur le quai de la gare, Rieux heurta M. Othon, le juge d’instruction, long et noir, et qui ressemblait moitié à ce qu’on appelait autrefois un homme du monde, moitié à un croque-mort. L’après-midi du même jour Rieux reçut un jeune homme qu’il était journaliste. Il s’appelait Raymond Rambert. Court de taille, les épaules épaisses, le visage décidé, les yeux clairs et intelligents, Rambert portait des habits de coupe sportive

Pour éviter de se heurter à toute spiritualité dans le traitement du sujet, nous avons finalement décidé de recadrer notre sujet dans l'analyse d'une éventuelle vie charnelle éternelle, vie physique s'opposant à la vie spirituelle éternelle après la mort, à laquelle nombre de religions s'interessent. Cela ne nous a pas empêché d'entreprendre des recherches sur différentes religions ayant bien avant nous traité notre sujet dans la même optique, mais toujours sous la forme d'un décryptage historique