Croyance Ignorance

des qualites qui peuvent se developper que si l’on cultive l’ignorance L’education dogmatique elle ne s’interroge jamais on parle alors de conformisme social . On observe 3 types dignorances 1) Privation , lacune :cest une ignorance negative 2) Ignorance non avouer : elle n’a pas l’humilite de s’avouer : c’est lignorance dont pretend la philosophie nous guerir : le vernis des gens qui se vantent de leur titre 3) L’ignorance philosophique :elle s’avoue s’assume et est humble Montaigne

certitude vécue A) La vérité subjective «L'idée par laquelle je veux vivre et mourir » Kierkegaard La vérité s'oppose à l'hésitation, hésitation = insuffisance, défault de la pensée Vérité = intime conviction, certitude intérieure Doute = ignorance, défaillance, insuffisance. Certitude = Sentiment subjectif (suivre un point de vue précis, partiel (dépend de nous) et partial (malhonnête) Vérité = Connaissance objective (point e vue de la réalité elle-même) = honnêteté, impartialité Sens

est-elle un savoir encyclopédique par rapport auquel on doit rester humble et reconnaître son ignorance ou bien concerne-t-elle la question philosophique de la condition humaine et de ses grandes énigmes. Que fait-on sur terre ? La vie a-t-elle un sens ? Car à cela, on ne peut pas répondre, on ne sait rien. Socrate prétend ne rien savoir, mais en fait, il savait quelque chose puisqu’il connaissait son ignorance et ça, c’est déjà savoir quelque chose. Mais ce quelque chose qu’il savait ne pas connaître

 Texte de Alain : Inconscient et croyance. La difficulté de l’inconscient s’énonce logiquement : si l’inconscient est ce qui n’est pas conscient comment peut-on en avoir conscience ? On sait qu’au début du XXè siècle Freud affirma qu’il avait découvert la méthode pour étudier et traiter les troubles inconscients dont souffrent l’homme. Il suffit, selon lui, d’interpréter notre comportement comme les symptômes d’un refoulement inconscient. On connaît à présent les succès et controverses que la psychanalyse

majeur de notre étude. L'athéisme se dote d'un caractère marginal qui se détourne de toute forme de culte. Un athée tourne autant le dos aux principales religions monothéistes (Christianisme, Judaïsme et Islamisme) qu'aux croyances polythéistes ou irrationnelles de tout genre. Sa croyance se résume à l'humain; l'homme est maître de sa vie et de ses choix sans qu'un Être Supérieur n'est à intervenir. Critiquée sévèrement par certains croyants, tolérée par d'autre, cette affirmation de la non-existence de

qu’en est-il réellement ? La vérité désigne ici le savoir certain de quelque chose. Que la vérité dérange, voilà qui nous oblige à penser que la vérité, même scientifique, n'est pas dans le ciel de l'esprit pur. La vérité est aux prises avec des croyances, des dogmes, des préjugés. Elle n'est donc pas neutre, mais au coeur des lignes de force qui s'affrontent tant dans la vie mentale que sociale. L'illusion n'est pas une erreur pure et simple. La connais¬sance vraie ne la dissipe pas ; j'ai beau

est inculte, qui n'a pas fait d'étude, qui est illettré, ou analphabète, celui à qui manque instruction et éducation. Cette ignorance est-elle compatible avec une certaine simplicité de mœurs proche de la sagesse ? voire Rousseau et le bon sauvage. C'est aussi celui qui croit savoir, alors qu'il ne fait que se payer de mots et n'a en fait qu'une vague opinion ou une croyance confuse sur ces choses qu'il affirme. L'ignorance est alors ici compatible avec un pseudo-savoir, celui des opinions. Elle

que la tour Eiffel est à Londres. Je lui dis intentionnellement quelque chose que je sais faux. En effet, si le sujet qui énonce la proposition ne sait pas que la tour Eiffel est à Paris, il ne s’agit pas d’un mensonge, mais d’une erreur, d’une ignorance. Ainsi le sujet qui ment doit posséder à savoir et le masquer intentionnellement Dès lors, on ne peut pas se mentir sur un sujet puisque cela implique que nous connaissions la vérité ? Pourtant, le sujet n’a-t-il pas un savoir qu’il se cache, qui

qu’en est-il réellement ? La vérité désigne ici le savoir certain de quelque chose. Que la vérité dérange, voilà qui nous oblige à penser que la vérité, même scientifique, n'est pas dans le ciel de l'esprit pur. La vérité est aux prises avec des croyances, des dogmes, des préjugés. Elle n'est donc pas neutre, mais au coeur des lignes de force qui s'affrontent tant dans la vie mentale quesociale. L'illusion n'est pas une erreur pure et simple. La connais¬sance vraie ne la dissipe pas ; j'aibeau savoir

rapport à la réalité qui ne peut s'établir sans une démarche personnelle de la part des hommes. Il y a donc une tension au sein de la vérité qui suppose à la fois une confrontation à une réalité objective qui nous prémunis de l'arbitraire des croyances individuelles et une implication subjective qui fait qu'on ne peut jamais être sûr que ce qu'on dit de la réalité lui correspond bien. I) La vérité : un rapport à une réalité transcendante et universelle A) La vérité universelle contre l'opinion