Croyance Ignorance

pour laquelle il a vendu son âme malgré l’immortalité offerte par Méphistophélès. Nous pourrions, d’autre part, interpréter ce personnage luciférien comme étant représentatif de notre soif insatiable qui serait à l’origine de nos maux. Ainsi, notre ignorance devient un autre tyran qui nous soumet à l’esclavage de notre propre personne. La religion pourrait permettre à l’homme de se liberer à travers une élévation spirituelle, espérance que nombre d’hommes au cours des civilisations ont entretenus

Ve République (1958) l'affirment : " La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. " La puissance publique se veut ainsi indifférente à toute détermination particulière, notamment confessionnelle. L'idéal laïque a pour substance deux exigences indissociables : la liberté radicale de conscience fondée sur l'autonomie de chacun

(Il y a donc beaucoup de croyances, n’est-il pas mieux de n’en choisir qu’une ?) Ce qui doit être dans le D.M : I . croyances religieuses / absence athéisme Accepter / admettre Problématique du mot Croire : donner son accord à une proposition ou à une action. La croyance doit porter sur quelque chose. Il est donc impossible de ne croire en rien. Soit l’on croit à quelque chose, soit l’on ne croit pas. Le fait de ne croire en rien se présente comme un désengagement à quelque

réfléchir. Nous nous demandons peut on parler de vérité relatif , il semble que la vérité soit relative, si on considère que chaque personne possède des valeurs et des croyances qui lui sont propres. Alors, chaque individu aurait sa propre vérité. Cependant, le mot vérité est-il le mot juste ? Parlons-nous de vérité individuelle ou de croyances, de valeurs, de réalités, ? Si le mot vérité est le bon, il y a lieu de se demander si, au-delà de nos vérités individuelles, il existe UNE vérité général ? Il convient

surtout et d'abord une différence : croire n'est pas savoir. En effet, la croyance est le produit d'une subjectivité qui adhère à un point de vue sans en vérifier les fondements. Mais le rapport entre croire et savoir peut aussi ne pas être un rapport d'opposition. La croyance est en quelque sorte un premier degré de savoir, non vérifié mais qui peut s'avérer vrai. La savoir, quant à lui, peut avoir été construit à partir de la croyance, soit vérifiée, soit réfutée. Est-il alors nécessaire pour l'homme

culte, faire son devoir (dimension morale et sociale) : dimension verticale (H-D) dimension horizontale (H-H) • croyances et récits : être supérieur, dogmes, récits sur existence humaine (origine) • valeurs et règles : commandements moraux, rituels, autorités religieuses • communauté : dimension identitaire, fonction sociale La religion (Durkeim, 20s) est un ensemble, ou un système de croyances et de pratiques liées au sacré qui uni en une même communauté morale appelée Eglise (assemblée) tous ceux qui

s’instruire pour aucun bénéfice quelconque , selon Aristote «tous les hommes ont par nature , le désir de connaître» , pour chercher à combler son ignorance. Cela fait parti de notre quotidien , de chercher la vérité sur tout , et cela vient naturellement sans aucun sacrifice à faire car il vaudrait pas le coup de faire des sacrifices pour combler son ignorance. Nous ne sommes pas obliger de faire de sacrifices pour partager ceci 2) la vérité, un outil présentant des avantages la vérité peut

Problème : En quoi l’attitude philosophique se distingue t’elle de l’attitude du sens commun ? L’attitude du sens commun 1 - représentation immédiate, spontanée, irréfléchie = superstition, préjugé, croyance, opinion. 2 - Indifférence par rapport au vrai et au faux, au bien et au mal. Ignorance, absence de savoir. 3 – Désordre et confusion *Incohérence, contradiction des représentations et opinions. *Domination du désir, des illusions et des mensonges. 4 – Exercice superficiel, approximatif

DEMARCHE - PEDAGOGIE - Aucun écrit  Dialogue qui aide à prendre conscience de notre ignorance et qui amène l’interlocuteur à trouver par lui-même la réponse au problème posé. - Par le questionnement surtout d’ordre moral. - S. = empêcheur de penser en rond. Il veut faire prendre conscience à son interlocuteur de ce qu’est la connaissance véritable, de prendre conscience de son ignorance. Opinion= croyance non fondée et peu fiable. Connaissance = être capable de justifier et d’affirmer ce que

dérision la superstition sur certaines croyances religieuses ineptes. Elle s’élargit dans le dernier paragraphe dans lequel Fontenelle fait en quelque sorte un bilan de ce qui précède. On remarque l’emploi récurrent de la 1ère personne du singulier (je) et du pluriel (nous). L’auteur s’implique donc fortement et met en garde contre le faux savoir, plus dangereux à ses yeux que l’ignorance. On remarque l’emploi de termes antithétiques (« convaincu » / « ignorance »), de négation (« ne… pas », « ne…