Cruauté

LA BANALISATION DE LA CRUAUTE 1- L10-11 : le juge dans sa vie privée Ironie faire ses expérience sur son prochain = torture Opposition entre la cruauté (torture) et la fraternité (son prochain). Sadisme des juges qui s’opposent a grave = apparence trompeuse. Critique de l’achat de la fonction de juges « a acheter… le droit de »= ironie : un droit ne s’achète pas. Les juges sont habitués à la torture et elle est sujet de conversation. 2- L12-15 : la contagion de la cruauté 3 étapes marquées par

....... Fait qui a probablement contribué aux révoltes qui eurent lieu un demi-siècle plus tard en Nouvelle-Calédonie. Ce livre retrace une des aberrations du colonialisme. A lire absolument...... Le livre nous fait prendre conscience de la cruauté et de l'absurdité du racisme. L'auteur réussit cet exploit en nous faisant sourire. La situation est pourtant dramatique pour ces hommes et femmes du début du XXième siècle brutalement déplacés et, sans aucune explication, mis dans un contexte tout

| |à infliger le mal | |gens comparables aux sénateurs romains |Tortionnaires cruels ≠ sénateurs romains |ironie encore car la cruauté de ces juges n'a| | | |rien à voir avec les sénateurs romains | Conclusion:

En opposition, à l’éloge des indiens, Montaigne constitue dans la suite du texte un blâme des portugais. 1) Description réaliste du crime - Montaigne décrit la torture fait aux indiens par les portugais de façon à montrer la cruauté. 2) Cruauté sans preuves - Les portugais font subir des tortures aux indiens parce qu’ils les pensent « beaucoup plus grands maîtres qu’eux en sorte de malice » III – Réquisitoire de Montaigne Après avoir fait la description des indiens, puis des

critique le pouvoir: "payer les exorcistes", "payer les religieuses"(l.21), il accuse l'Eglise de corruption. La barbarie des bourreaux est aussi montrée du doigt. Les expressions "avant-goût du supplice"(l.8) et "pour la seconde fois"(l.40) montrent la cruauté et le sadisme mais aussi le ton ironique de l'auteur, tout comme le fait de planter "partout" l'aiguille et du lui arracher "même" les ongles(l.40-41) d ans le simple but de prolonger le supplice de l'accusé. Michelet dénonce enfin l'obsenité de la

pamphlétaires sur le thème religieux et nous laisse deviner que la visée critique était déjà bel et bien présente au 18ème. Dans cet extrait, l’auteur fait une satire de la torture, en employant le registre ironique pour faire ainsi ressortir d’une part la cruauté de la torture et d’autre part la banalisation de celle-ci au sein de la société. Enfin, pour renforcer son pamphlet, l’auteur réalise un vrai plaidoyer en faveur de De La Barre, victime d’une injustice et torturer pour des raisons minimes. Il est

Exagération Il prend le point de vue intolérant et le pousse à l'extrême ž caricature, réfutation par l'absurde Ù Portait, reflet du locuteur qui apparaît å Organisation au service de la barbarie å Sadisme et cruauté Verbes exprimant le désir de faire souffrir "prendre tous", "assassiner", "tuer", "châtrer", "fouetter" å Discrédite ses propres propos Répétition "tous" extermination, massacre généralisé (importance des chiffres dans le 1er paragraphe) ž

Plaideurs de Racine. Présence d’une antiphrase « Le grave magistrat ». Le magistrat est vénal, mais surtout, il est cruel. Présence également d’un euphémisme « Le droit de faire des expériences », mais également une ironie dans « son prochain ». Cette cruauté, cette inhumanité, est mise en scène à travers un petit récit, dont les personnages sont le magistrat et sa femme. Cette scène est en relief l’inhumanité, le côté malsain, morbide des personnages. La torture devient un sujet de conversation et de

rhétoriques ligne 13 à 15 font progresser le développement et réfléchir le lecteur. Elles soulignent l’indignation de l’auteur    B. il associe la torture à un acte de cruauté Nous retrouvons le champ lexical de la douleur Le registre pathétique insiste sur la douleur L 13-14 anaphore « que » insiste sur la douleur et la cruauté L 14-15 une souffrance infligée sans véritable motif    II.    Montaigne remet en cause le système judiciaire.  A. il met en avant l’inutilité de la torture.   L

ANNEXE : définitions ( Petit Larousse 2003) • BARBARE : adj. et n. ( gr. Barbaros : étranger) 1. d’une grande cruauté : inhumain. Coutume barbare .2.ANTIQ. Etranger, pour les grecs et les romains.*adj 1.Contraire à l’usage et au bon goût. Musique barbare 2. Contraire aux normes de la langue, aux habitudes de ses usagers. Terme barbare. • BARBARIE : n.f 1. Attitude cruelle. 2. Manque de civilisation, d’humanité • SAUVAGE : adj.(lat. silvaticus de silva , forêt)