Crucifixion Bacon

guidant le peuple) Picasso (Guernica). Autobiographie de Bacon(1909-1992) Ces thèmes de prédilection sont la violence, la cruauté et la tragédie d'où ses dires : « l'odeur du sang humain ne me quitte pas des yeux ». Dans ces œuvres il met en scène sa vie, ses amis, son admiration pour Vélasquez, Vincent Van Gogh ou Picasso, ou par des portraits torturés, comme pliés dans la texture de la toile. Puis, Bacon quittera l'Angleterre, et passera plusieurs mois entre Berlin et Paris,,

légende très célèbre, le juif errant. Un cordonnier a ri au moment de la crucifixion, sa punition est d’errer éternellement sur Terre, il n’est ni mortel ni vivant il perd tout le sens de sa vie. Au XIX on aura plusieurs récits, le juif errant d’Eugène Sue (Le Vaisseau fantôme, Wagner). 2. Épigraphe des essais de Francis Bacon, le thème de la mémoire.L’idée contenue dans le livre de l’ecclésiaste, il n’y a rien de nouveau. Bacon compare ceci à la doctrine platonicienne de la réminiscence. En rapprochant

d’un érotisme étrangement inquiétant. Défiguration Francis Bacon (1909-1992), Female nude standing in a doorway, 1972, 147x180cm. Centre G.Pompidou. Les peintures de Bacon proposent des visions du corps comme défiguré par la souffrance, effacé dans un cri, un mouvement. La tension qui s’empare de ces corps doit agir « directement sur le système nerveux » selon l’artiste. Le philosophe Gilles Deleuze écrit à propos de la peinture de Bacon : «La sensation, c’est ce qui est peint. Ce qui est peint dans

de Westminster. Abbaye de Westminster La Renaissance Château de Hampton Court Thomas WOLSEY, 1514 La construction datant de 1514, ce château était la résidence favorite du roi Henri VIII. Situé dans le sud ouest du grand Londres La Crucifixion RAPHAEL, 1502 Cette peinture a été réalisée pour l’église de San Domenico en Ombrie (Italie). Exposée au British Muséum La Vierge et l’enfant et quatre anges DONATELLO, 1450 Cette sculpture, en bronze partiellement doré, est une œuvre du célèbre

Analyse des œuvres choisies Les œuvres de Françis Bacon méritent qu'on s'y attarde; car de par sa démarche symbolique, il faut autant de réflexion pour pouvoir les décrire que pour les analyser en profondeur. Ainsi, traduit-il son besoin de reconnaissance et d'attention permanents dus à son émancipation forcée. Les personnages incarnés dans ses œuvres sont appelés les Figures. Il y intègre la plupart du temps la piste de cirque. Si elle n'apparaît pas au sol elle y est suggérée au niveau de la

L’art 1 Art, savoir-faire et beaux-arts L’art comme manifestation de la beauté Lorsque Bacon définit l’art comme « l’homme ajouté à la nature », il désigne encore ce qu’évoquent le latin ars et le grec technè : tout savoir-faire produisant un objet, satisfaisant de quelque manière que ce soit. À partir du XVIe siècle, peintres et architectes revendiquent le nom d’artistes, pour se distinguer des artisans qui ne décident pas librement de leurs productions : l’artiste est alors celui qui s’adonne

L’art 1. 1 Art, savoir-faire et beaux-arts a) L’art comme manifestation de la beauté Lorsque Bacon définit l’art comme « l’homme ajouté à la nature », il désigne encore ce qu’évoquent le latin ars et le grec technè : tout savoir-faire produisant un objet, satisfaisant de quelque manière que ce soit. À partir du XVIe siècle, peintres et architectes revendiquent le nom d’artistes, pour se distinguer des artisans qui ne décident pas librement de leurs productions : l’artiste est alors celui qui

10 L’ART 1 L•ES•S Art, savoir-faire et beaux-arts L’art comme manifestation de la beauté Lorsque Bacon définit l’art comme « l’homme ajouté à la nature », il désigne encore ce qu’évoquent le latin ars et le grec technè : tout savoir-faire produisant un objet, satisfaisant de quelque manière que ce soit. À partir du XVIe siècle, peintres et architectes revendiquent le nom d’artistes, pour se distinguer des artisans qui ne décident pas librement de leurs productions : l’artiste est alors celui

1 Art, savoir-faire et beaux-arts L’art comme manifestation de la beauté Lorsque Bacon définit l’art comme « l’homme ajouté à la nature », il désigne encore ce qu’évoquent le latinars et le grec technè : tout savoir-faire produisant un objet, satisfaisant de quelque manière que ce soit. À partir du XVIe siècle, peintres et architectes revendiquent le nom d’artistes, pour se distinguer des artisans qui ne décident pas librement de leurs productions : l’artiste est alors celui qui s’adonne à l’un

10 L’ART 1 L•ES•S Art, savoir-faire et beaux-arts L’art comme manifestation de la beauté Lorsque Bacon définit l’art comme « l’homme ajouté à la nature », il désigne encore ce qu’évoquent le latin ars et le grec technè : tout savoir-faire produisant un objet, satisfaisant de quelque manière que ce soit. À partir du XVIe siècle, peintres et architectes revendiquent le nom d’artistes, pour se distinguer des artisans qui ne décident pas librement de leurs productions : l’artiste est alors celui qui