Cruz Godard

d'abord professeur de lettres, germaniste et écrivain. Il publie un roman, Élisabeth, en 1946, sous le pseudonyme de Gilbert Cordier4. Rohmer écrit ensuite pour différentes revues, et fonde La Gazette du cinéma où il fait la connaissance de Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, François Truffaut, ou encore Claude Chabrol — avec lequel il signe en 1957 un livre sur Alfred Hitchcock. Ce groupe se dirige d'abord vers la critique, au sein des Cahiers du cinéma, dont Rohmer devient rédacteur en chef de 1957

|Nom étudiant-e |Histoire du cinéma, hiver 2012 | | |Prof. Vincent Boulet | Examen de fin de session Examen maison Pondération : / 100 points Questions à développement. |

sociales ? - Elle en dit long, surtout, sur l'importance que prend le cinéma dans la France d'après-guerre. La commission de contrôle des films a pour mission de protéger la jeunesse, les bonnes moeurs, l'ordre public... Pierrot le fou, de Jean-Luc Godard, a été interdit aux moins de 18 ans à cause de « l'anarchie morale et intellectuelle » du film. Le plus difficile, pour l'historien, c'est de bien percevoir le degré de scandale d'un film par rapport à l'époque de sa sortie. Il y a souvent un décalage

dimension référentielle de l’œuvre peut également être subjective, notamment au niveau de la culture artistique qui est propre à chacun, dépendamment de notre éducation et de notre intérêt. Par exemple le film «Une femme est une femme» de Jean-Luc Godard fait référence à de nombreux autres films de la Nouvelle Vague, tels que «Tirez sur le Pianiste» ou «Jules et Jim» de François Truffaut, et seul un connaisseur de ce mouvement cinématographique comprendra ces clins d’œil et appréciera le film encore

(1970) qu’il considère comme « le plus anthropologique de ses films », Tirez sur le pianiste (1960), Jules et Jim (1962), La mariée était en noir (1968) , La Nuit américaine (1973) où à la sorti du film, il se brouille définitivement avec Jean-Luc Godard, L’Homme qui aimait les Femmes (1977) et bien d’autres… A partir de 1968, il enchaîne les films au rythme d’un tous les un ou deux ans, jusqu’à ce que se déclare une tumeur cérébrale. François Truffaut apparaît comme acteur dans plusieurs de ses

milieu du septième art. À l’âge de vingt-deux ans, il travaille au Video Archives, une célèbre boutique de location de vidéos à Hermosa Beach en Californie. Il y découvre le cinéma français de Jean-Pierre Melville (L'Armée des ombres ), Jean-Luc Godard (Les Carabiniers) et Éric Rohmer (Les Amours d'Astrée et de Céladon) , mais aussi les films de John Woo (Mission: Impossible 2) et Shōhei Imamura (L'Anguille), et partage sa passion pour le cinéma avec Roger Avary, co-scénariste de Pulp Fiction et

souffle (Jean-luc Godard 1960) Ces trois films sont rèausé en 1959 et 1960, ils ont ouvert le rideau de la nouvelle vague. On va parler de la nouvelle vague précisement,il y a trois parties, en première partie :on va expliquer qu’est-ce que c’est la nouvelle vague. En deuxième partie :on va présenter des films et des réalisateurs de la nouvelle vague. Enfin, on va expliquera les influences de la nouvelle vague. Première partie :Qu’est-ce que c’est la nouvelle vague? Jean-luc Godard, François Truffaut

Les Enfants du paradis, Marcel Carné ; La Prisonnière du désert, John Ford ; Les Rapaces, Eric von Stroheim. 9e ex aequo : Rio Bravo, Howard Hawks ; To be or not to be, Ernst Lubitsch . 10e : Voyages à Tokyo, Yasujiro Ozu. 11e : Le Mépris, Jean-Luc Godard. 12e ex aequo : Les Contes de la lune vague, Kenji Mizoguchi ; Les Lumières de la ville, Charles Chaplin ; Le Mécano de la Général, Buster Keaton ; Nosferatu le vampire, Friedrich Wilhelm Murnau ; Le Salon de musique, Satyajit Ray. 13e ex aequo :

Amandier/Archimbaud. Emprunté à la bibliothèque universitaire U2- U3 (791.439 51/Wong/P). Bamchade Pourvali est écrivain et critique de cinéma. Spécialiste de l'essai filmé, Il est l'auteur de Chris Marker (Cahiers du cinéma, 2003) et Godard neuf zéro, les films des années 90 de Jean-Luc Godard (Séguier, 2006), ainsi que d'un dossier sur L'Homme à la caméra de Dziga Vertov pour le site du CNDP. Il termine une thèse de doctorat sur l’Essai filmé à l’université de Paris III-Sorbonne Nouvelle. 1 Le titre avant lecture

THÉÂTRE DU MÉPRIS 3 OU LE BÂTARD DE GABILY GEBSKI Laurine TDM3 n'est qu'une continuité à la série des Mépris. Chronologiquement, Le Mépris d'Alberto MORAVIA arrive en tête en 1954. Jean Luc GODARD vient s'y ajouter avec son œuvre homologue en 1963. 1994 : Didier Georges GABILY vient clore cette addition avec TDM 3 ou Théâtre du Mépris 3. Portés par un fort engagement politique, caractéristique commune de ces trois auteurs, ils gardent un œil critique sur la société de leur époque à travers