Culpabilité

de l'ONU : «Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées. » article 6 alinéa 2 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme de 1950, «Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie» • Ce principe a été reconnu en 1789 pour mettre fin aux abus

à son beau-fils. L’Acte IV, dont est extrait le texte étudié, nous montre Phèdre ayant appris qu’Hippolyte aime Aricie. Nous nous demandons : Comment la jalousie et la culpabilité de Phèdre se traduit-elle dans ce texte ? Pour répondre à cette question, nous étudierons cet extrait qui présente la crise de jalousie et de culpabilité de Phèdre. La tirade de Phèdre est marquée par le champ lexical de la souffrance. On peut par exemple citer « souffrir » ou encore « prends pitié », des termes qui

du surmoi par rapport au sentiment de culpabilité * La culture permet la constitution du moi. Grâce à la culture, la tendance à l’agression est intériorisée. Elle est renvoyée d’où elle est venue et dirigée sur le moi. Le moi va alors se diviser du côté de la conscience, le surmoi. Dans ce surmoi se met en place une tension entre le moi (qui lui est soumis), et le surmoi (austérité, sévérité). C’est la condition de surgissement du sentiment de culpabilité, qui se manifeste comme une autopunition

rapport fusionnel avec le monde, condition du bonheur pour Camus, cf. Noces. 2/ Une conséquence de la culpabilité Depuis l’épisode du rire, Clamence s’est rendu compte de la duplicité de sa nature. Son bonheur n’était que superficiel et illusoire, sa générosité qu’un moyen de domination et la marque d’une vanité personnelle. Toutes ses tentatives pour échapper à ce sentiment de culpabilité ont échoué et l’épisode du transatlantique est à cet égard décisif. « Je compris qu’il (le cri ou le rire)

combat de la vie donc le développement de la culture est un combat vital pour l’espèce humaine. Chapitre 7 : Surmoi et culpabilité. Quels sont les moyens pour que la culture se protège des agressions? La réponse se trouve dans l’histoire du développement de l’individu. L’agression a été intériorisée donc renvoyé sur le Moi. Émerge alors la « conscience de culpabilité » qui apparaît lors des tensions entre le Moi sévère c’est-à-dire la morale et le Moi soumis; tout deux prennent en charge

elle met l'accent sur la culpabilité d'Oenone, sa nourrice. Phèdre utilise un verbe d'action qui est synonyme de mener : « a conduit » qui veut dire que Oenone est la seule responsable de ce qui arrive. Phèdre utilise ensuite une allitération en [ f ] « Fureur/feu », la métaphore du feu et de la fureur désigne l'amour. L'amour est présenté comme quelque chose de néfaste, dévastateur et qui conduit le plus souvent à la mort. Ce qui montre l'innocence de Phèdre et la culpabilité de « l'amour », quelque

refoulement pulsionnel (relatifs aux pulsions d'agression envers autrui mais aussi aux pulsions sexuelles) auquel invite la culture (structure imposé par les impératifs de la vie en communauté) produit un «malaise», une névrose, un sentiment de culpabilité. À travers cette analyse, le problème du bonheur dans la culture se posera, Freud ayant d'ailleurs de prime abord appelé son ouvrage « le bonheur dans la culture » puis « le malheur dans la culture » avant de l'intituler Le Malaise dans la culture

sentiment le plus récurrent est la culpabilité ressentie par l'auteur. Il n'apparaît pas comme tel dés le début. Cela débute par une « immense douleur de voir sa vie finir ainsi » (p.23), suivi de « remords affreux » (p.26) pour apparaître clairement lorsque Annie ERNAUX projette de donner les vêtements de sa mère à une œuvre caritative « Culpabilité. » (p.39) Ce mot revient alors tout au long du récit, de façon redondante « je me prépare des tonnes de culpabilité pour l'avenir » (p.47), « jamais je

freudienne selon laquelle le refoulement pulsionnel (relatifs aux pulsions d'agression envers  autrui mais aussi aux pulsions sexuelles) auquel invite la culture (structure imposé par les  impératifs de la vie en communauté) produit un «malaise», une névrose, un sentiment de  culpabilité. À travers cette analyse, le problème du bonheur dans la culture se posera, Freud  ayant d'ailleurs de prime abord appelé son ouvrage « le bonheur dans la culture » puis « le  malheur dans la culture » avant de l'intituler Le Malaise dans la culture

4 Table des Matières Avertissement INTRODUCTION CHAPITRE I CHAPITRE II CHAPITRE III CHAPITRE IV CHAPITRE V CHAPITRE VI La naissance de l’individualité Volonté et Contrainte Connaître et Vivre Vérité et Réalité Le Soi et l’Idéal Création et Culpabilité Bonheur et Délivrance Otto Rank (1884-1939), Au-delà du freudisme. La Volonté du Bonheur (1929) 5 AVERTISSEMENT Table des Matières L'étude que nous publions aujourd'hui en français introduit pour la première fois dans mes conceptions