Culte des ancêtres

hiérarchisée en 3 ordres qui ont des fonctions bien particulières. Le haut-clergé, le plus riche et le moins nombreux, il a la préséance, c’est le premier ordre. Leurs rôles sont de s’occuper de l’instruction, de s’occuper des pauvres et le service du culte. Le second ordre, c’est la noblesse, qui se battent et conseillent le roi. Et enfin le troisième ordre, 98% dont 85% de campagnards, c’est le Tiers-état. Il supporte toutes les charges, n’a aucun droit, on y retrouve les industriels, les financiers

débuts de l’humanité) ● L’Exode (livre qui relate la sortie d’Egypte des Hébreux, sous la conduite de Moïse, puis leur errance dans le desert jusqu’au mont sinaï. ● Le Lévitique (ce livre, dont le nom vient de Lévi(3ème fis de jacob)ancêtre d’une tribu au service du culte de Yahvé) ● Les Nombres (livre qui traite dans les premiers chapitres des « dénombrements » (recensements) des tribus israélites. ● Le Deutéronome (dernier livre, qui est une seconde lecture des lois : rappel synthétique des Lois

publique de l'Indochine française,10ème édition, 1935. La première édition date sans doute des années 20.). Ce tableau sera complet avec la présence du marché, de la maison communale, de la pagode, de petits temples et autels à ciel ouvert dédiés au culte des lettrés et de Confucius, de différents génies et esprits. La haie vive de bambous, renforcée parfois par un remblai de terre battue et par un fossé, transforme la petite communauté rurale en une île verte au milieu d'une mer de rizières. Elle

collecter les faits marquants de son pays. Les mythes d’origine du Japon ont été regroupés en 712 dans un livre appelé Kojiki. Ce livre est devenu le livre sacré du shintoïsme. ⇨ Le shinto est né d’un mélange entre animisme, shamanisme, et de culte des ancêtres. Peu à peu tous ces cultes de la fertilité, ces vénérations de la nature, parfois capricieuses au Japon (Tsunami, tremblements de terre, typhon..) se sont amalgamés pour former le shintoïsme. Rites & pratiques : Le calendrier shinto

communauté. Il sert en quelque sorte de baromètre à sa vitalité. Il est souvent l'intermédiaire entre les membres vivants de la communauté d'une part, les morts et les forces naturelles d'autre part. Le chef est d'essence divine, il représente les ancêtres, le passé de la tribu et sa gloire. Il concentre en sa personne l'ensemble des forces magiques du pays. De lui dépend la plus ou moins grande fertilité du sol, l'abondance et la bonne répartition des pluies. Les sociétés de l'Afrique pré-coloniale

L'initiation au "NGIL" comprenait : • une purification préalable physique et morale ; • une flagellation ; • une confession des crimes et/ou des ruptures d'interdits ; • une épreuve ordalique ; • une présentation des reliques des ancêtres (BYERI) ; • des sacrifices. C'était un passage symbolique, de l'état androgyne à l'état adulte, sexuellement défini. Le lieu sacré du "NGIL" était une clairière de brousse, de forme rectangulaire, nommée ESAM, avec de grands gisants de terre

séparer la religion de la politique (en France depuis 1905). Chez les romains c’est impensable. Un citoyen romain accomplit les rites. Culte : le fait d’honorer une divinité. Le culte est forcement public car tout le monde veut la pax deorum. Il y avait une religion publique en plus d’une religion privée. On rend un culte aux lares (esprits des ancêtres). Il y a aussi les pénates (esprit des maisons). Les romains rejettent la superstition (le fait d’avoir un sentiment d’amour pour une divinité)

l’inadaptation de charles bientôt victime de la cruauté de ses camarades. Au bal à la vaubyessard la jeune provinciale aurait du être séduite par le luxe, les ors, les lumières, son attention pourtant se concentre sur la galerie des portraits des grands ancêtres pour nous faire sentir le caractère figé, distant voir prétentieux de cette noblesse campagnarde. Un réalisme poétique : flaubert disait « l’art n’est pas la réalité, quoi que l’on fasse on est obligé de choisir dans les éléments qu’elle fournit

 Le Ngondo est l’Assemblée traditionnelle et la fête annuelle des Sawa du Cameroun, dont la mission est d'invoquer les esprits des ancêtres, de régler les litiges et les tensions entre les différents clans, aussi mystiques soient-ils, pour trouver des solutions appropriées et consensuelles aux problèmes que rencontrent les populations, ceci par le biais des rituels et des processions destinés à améliorer les conditions de vie des peuples. Le Ngondo, à l’origine,

venu sur l’Ile de Pâques pour récupérer des éléments d’art local. Cet objet est un « moaï », c’est-à-dire une statue monumentale taillée dans du basalte. Comme la plupart des 887 statues découvertes sur l’Ile, elle commémorait probablement un ancêtre important. Sa tête représente environ les 3/5 ème de son torse; elle est donc très grande et disproportionnée ce qui correspond au style habituel des statues « moaï ». Le visage de la statue a des sourcils très marqués, des oreilles allongées, et