Culture bretonne

LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION Le texte est issue de « L’explosion de la communication » par Philippe Breton dans le chapitre « Les enjeux de la communication. La communication : Objet, perspective ou inter discipline ? » Philippe Breton est né en 1951. C’est un professeur des universités au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) à l'Université de Strasbourg.  Il est chargé de mission « Vie démocratique » auprès de la présidence de l'Université de Strasbourg. Il est directeur

A) origine, présentation et principes du mouvement Précédé par le mouvement dada (qui a cherché la rupture avec la culture, les valeurs et les formes d’expression), le surréalisme est né à Paris en 1919, au lendemain de la première guerre mondiale. Ce mouvement a été créé au moment où trois jeunes poètes, Aragon, Breton et Soupault publient une revue : « littérature ». Ce magazine était encore très proche de Dada mais différent : alors que le dadaïsme refusait tout sauf l’absurdité, les surréalistes

Littérature nouvelle série. Quand même les prémices du futur mouvement apparaissent bien avant cette date. Il s'agit du premier texte surréaliste Les Champs magnétiques écrit en 1919 par André Breton et Philippe Soupault. Le Surréalisme prend naissance à Paris autour d'un groupe restreint des jeunes hommes: A. Breton, P. éluard, B. Péret, L. Aragon, Ph. Soupault, qui trouvent dans la poésie un refuge contre la "vieillerie poétique" et opposent à une écriture pensée, travaillée et élaborée une pensée et

152 Proverbes mis au goût du jour (1925) en collaboration avecBenjamin Péret, Ralentir travaux (1930), poèmes rédigés en collaboration avec André Breton etRené Char, l’Immaculée Conception (1930) , textes écrits en collaboration avec Breton seul. c. Solidaire des peintres Pour Eluard, la peinture est une autre façon d’affirmer la continuité de la culture humaine. L’acte de voir lui a toujours paru être à l’origine des activités créatrices fondamentales. Voir, disait-il,c’est comprendre et c’est agir

3.3. Georges Schehadé et les cultures de l’imagination Nous avons exploré, lors du cours précédent, à la fois la sémantique et la syntaxe de l’image dans les poèmes de Georges Schehadé. Pour cela, nous nous en sommes tenus, d’une part, à des éléments d’analyse proprement linguistiques et textuels (écart sémantique, constitution de paradigmes thématiques, cohésion textuelle), d’autre part, à la suite de Jean-Pierre Richard, à l’esquisse de ce que l’on pourrait appeler une analyse existentielle

André Breton, surnommé le « Pape du surréalisme », définit ce mouvement dans le Manifeste du surréalisme, écrit en 1924. Il y parle de l'importance du rêve et de l'état de veille comme étant producteur de phénomènes intéressants. Il souligne également que la production surréalisme doit se faire de manière instinctive, « automatique ». Nous verrons qu'à travers le portrait de groupe, les surréalistes transmettent ces idées mais aussi qu'ils confrontent des éléments classique et une culture moderniste

que Péret déboula en 1920 dans le cercle des dadaïstes parisiens. Il fit plusieurs séjours dans des hôpitaux parisiens et en rapporta une aversion définitive pour l’armée. Sa rencontre avec les jeunes poètes de la revue Littérature fut saluée par Breton comme un de ces hasards objectifs qui scellent un destin. Lors du "procès Barrès", Péret, revêtu d’une capote de soldat français, mais parlant allemand, incarne le "soldat inconnu" venant témoigner contre l’illustre propagandiste. Cette provocation

LA CULTURE ECOSSAISE - Synthèse de différentes cultures : celtes, pictes et anglaises - Culture issue de la division du pays : au nord, l’Highlands, montagneux et isolés et au sud, les Lowlands plus ouverts aux échanges culturels et commerciaux avec l'Angleterre. -L’histoire de l’Ecosse : différents peuples ayant habité le pays. > Durant l'Antiquité et le Moyen âge : les Celtes à l'ouest, les Pictes au Nord, et les Bretons insulaires au Sud, ont constitué une mosaïque de

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente André BRETON (France) (1896-1966) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Nadja’’ et ‘’L’union libre’’). Bonne lecture ! Fils d'un secrétaire de gendarmerie qui, en 1900, s'installa à Pantin comme comptable puis comme sous-directeur d'une cristallerie, et, enfant, il connut un certain bonheur dans cette banlieue de jardins ouvriers. Il fut éduqué dans les principes de la petite-bourgeoisie

tuberculose. Il reste hospitalisé au sanatorium de Clavadel jusqu'en février 1914, près de Davos. Il y rencontre une jeune russe de son âge en exil Helena Diakonova qu'il surnomme Gala. La forte personnalité, l'impétuosité, l'esprit de décision, la grande culture de la jeune fille impressionnent le jeune Éluard qui prend avec elle son premier élan de poésie amoureuse, un élan qui se prolongera dans tous ses écrits. Devenu majeur le 14 décembre 1916, il épouse Gala dès le 21 janvier suivant. En 1918, lorsque