Culture Contre Barbarie

reste aussi un moyen très efficace de convaincre. L'argumentation directe par contre ne risque pas qu'on comprenne mal l'opignion de l'auteur car il nous dis directement, explicitement son avis, il expose ses avis, ses convictions et ce qui pour lui dois changer comme par exemple Victor Hugo avec son discours pour la culture, ou il dit explicitement son avis, qu'il est contre les réductions budgétaires de la culture pour l'education. Voltaire lui a écrit le dictionnaire philosophique ou par ordre

Argumentation indirecte en faveur des indiens -explications objectives -contre cannibalisme Respecte leur mode de vie et fonctionnement -démarche scientifique : ambition ethnographique -mélioratif : thème principal : la mort -jugement dont on voit la mort (venant de thevet) -thèse argumentaire : crédibilise son discours -lecteur prend de la sympathie 3. Attaque contre les préjugés et la supériorité des européens -attaque contre préjugés européens *juge les sauvages *accepte la différence -européens

Discours sur la Montée des Diversités dans les sociétés Européennes contre toutes formes de préjugés. Mesdames, Messieurs les députés et sénateurs, C’est avec un grand plaisir que j’ouvre aujourd’hui cette journée nationale dans ce lieu de savoir et de culture qu’est la Sorbonne. Cette journée est une rencontre inédite entre tous les acteurs de l'Education nationale, de la Ville, d’autres ministères, des acteurs associatifs etc. C’est un moment d’échange et de réflexion qui symbolise

maintiennent que l’auteur prend position en faveur des peuples autochtones qui vivent tranquillement dans la nature et contre les Européens qui ne s’intéressent qu’à s’enrichir et à corrompre des peuples innocents. Montaigne souligne l’importance de choisir la raison par rapport à la voix commune et introduit le principe de relativisme culturel ainsi que l’idée de tolérance. Il dit que la culture « civilisée » ne connait pas toujours la vérité et, peut-être, que les Européens se trompent en appelant les Amérindiens anthropophages des

dont : la discipline, la culture, la sauvagerie et l’instruction. Ces quatre éléments sont traités avec discernement mais le texte y apporte quelques nuances car il dénote que les quatre éléments noté ci-dessus font parti de l’éducation. Par conséquent, l’éducation détermine le niveau de conduite des générations qui apprennent d’eux même car le but est le perfectionnement de l’humanité. Il faut comprendre aussi que l’éducation a des vices comme la sauvagerie et la barbarie qui poussent l’humain dans

des hommes dans les deux cas, ils ont tout les deux un tissus, leur position est presque semblable, ils sont tous deux dénudés. Le plan de ces deux photographies est identique hormis la position de l’écriture (en haut à gauche/en bas à droite), par contre la deuxième phrase est la suite de la première, c’est un slogan ou un titre. Ces donc une œuvre de deux parties mais relié par une même phrase qui représente son ensemble. La différence visuelle que le spectateur voit principalement est la croix gammée

post-mortem des thèses comme Réflexion sur la vie mutilée (1944-1947), traduction de J.R. Ladmiral. Jusqu’où peut-on aller dans ses capacités ? Besoin de s’épanouir quitte à utiliser une prothèse. La rhétorique de l’opinion ou de la bien pensance : contre le caractère présomptoire. Si un avis est trop subjectif on n’écoute moins. Quelqu’un de plus vieux, l’avis est plus subjectif. C’est lié à l’âge. Il ne s’agit pas de mépriser le fait que l’autre soit en situation d’inégalité surtout si elle repose

Une culture peut-elle être porteuse de valeurs universelles ? Définie comme l'ensemble des pratiques d'un groupe social, toute culture s'associe à un peuple donné, nécessairement singulier ; comment une telle singularité pourrait-elle atteindre l'universel ? La question se pose avec acuité aujourd'hui puisque la culture occidentale - qui se veut porteuse de valeurs universelles (notamment les Droits de l'Homme) - tend à devenir la culture globale. Remarque préalable : ce type de sujet présente

figure de tolérance et du dialogue des cultures, écrit en une phrase lapidaire qu’« une raison qui est sourde face au divin et repousse la religion au niveau des sous-cultures serait incapable de s’insérer dans le dialogue des cultures. » On ne peut donc qu’être inquiets qu’en ce Liban qui se veut convivial et creuset de pensée, de liberté et de tolérance, on se laisse aller aux réactions totalitaires et destructrices en continuant à occulter la barbarie du terrorisme et la maladie de l’intégrisme

des chevalets. On s’étonne, on s’indigne. On dit : « Comme c’est curieux ! Mais, bah ! C’est le nazisme, ça passera ! » Et on attend, et on espère ; et on se tait à soi-même la vérité, que c’est une barbarie, mais la barbarie suprême, celle qui couronne, celle qui résume la quotidienneté des barbaries ; que c’est du nazisme, oui, mais qu’avant d’en être la victime, on en a été le complice ; que ce nazisme-là, on l’a supporté avant de le subir, on l’a absous, on a fermé l’œil là-dessus, on l’a légitimé