Culture De Masse Belle époque

profonde transformation des attitudes, des mentalités à l’égard du corps et de l’exercice corporel. Enfin on reconnaît une place importante au sport en tant que pratique et spectacle. On se rend compte que : la pratique sportive est inscrite dans la culture, le phénomène sportif a des applications politiques, lien étroit avec la sphère économique. Certains chercheurs se rendent comptes que de multiples institutions entretiennent des liens avec la pratique sportive : - L’école utilise rapidement la pratique

émotions et à l'intellect. Les définitions de ce concept varient largement selon les époques et les lieux, et aucune d'entre elles n'est universellement acceptée. Ainsi, pour Marcel Mauss[1], « un objet d'art, par définition, est l'objet reconnu comme tel par un groupe. » C'est pourquoi les produits et pratiques artistiques, ou plutôt les collections de ces objets, peuvent être classés diversement selon les cultures, les auteurs et les institutions. Depuis la fin du XVIIIe siècle[2] et jusqu'aujourd'hui

par manque de moyens de paiement et insuffisance du crédit : c’est une phase B. Se succèdent ensuite une phase A, « la fête impériale » de 1850 à 1873, puis une phase B, « grande dépression » de 1873 à 1896, et enfin une nouvelle phase A, « la Belle Époque » de 1896 à 1914. *Cycles de Kondratieff : alternance de phases A (hausse des prix) et de phases B (baisses des prix). Cette alternance est liée à des facteurs monétaires (A : abondance de monnaie, B : contractions monétaires), des facteurs

début du XX° s. marque d’ailleurs l’apogée de la villégiature d’hiver. Nice est donc célèbre pour sa saison et sa vie mondaine qui en dépend pour ses fêtes qui s’y déroule régulièrement, chronologiquement on est dans une période qui s’appelle la belle époque. C’est donc à cette période que l’on voit se construire dans toute l’Europe des palaces pour recevoir les hôtes saisonniers et aristocratiques qui affluent de toute l’Europe. Mais la grande guerre fait brusquement s’achever cette période, cependant

Moyen Âge. Les voyages de Vasco de Gama, Colomb ou Magellan offrent des horizons nouveaux. Dans le domaine technologique, l’imprimerie à caractères métalliques, inventée par Gutenberg, en 1450, permet l’essor du livre : celui-ci va diffuser la culture antique comme les œuvres modernes. L'esprit de la Renaissance va naître à Florence, puis se développer dans l’Italie du Trecento (correspond au XIVe siècle italien ; après l'ère du Moyen Âge s'y déroule le mouvement appelé Première Renaissance)

Kant reste optimiste. Selon lui, il est possible « qu’un public s’éclaire lui-même » et il précise : « c’est même inévitable pourvu qu’on lui en laisse la liberté » (§ 4). Il faut noter que Kant parle de public et non de peuple. Le peuple est la masse qui est dirigé par ses tuteurs. Un public est tout autre chose. Il faut lier cette notion à la notion de « publicisation ». Le peuple devient un public lorsqu’il peut accéder à l’information et aux idées qui circulent dans son pays. Un petit détour

aujourd’hui que le corps est devenu objet de salut. Il s’est littéralement substitué à l’âme dans cette fonction morale et idéologique. [...] le corps n’est-il pas l’évidence même ? Il semble que non : le statut du corps est un fait de culture. Or, dans quelque culture que ce soit, le mode d’organisation de la relation aux choses est celui des relations sociales. Dans une société capitaliste, le statut général de la propriété privée s’applique également au corps, à la pratique sociale et à la représentation

fécondité avant tout 2- L’Égypte antique  3- La beauté grecque: un corps presque masculin 4- Le Moyen Âge : l'âge des jeunes filles nubiles 5- La Renaissance : le retour du féminin et du charnelle 6- XVIIe et XVIIIe : La dictat du corset 7- XIXe : entre belle malade et épouse pudique 8- De la garçonne à Marilyn jusqu’au au XXIe siècle II- L’essor de ce culte A) Les enjeux économiques 1) Le corps un commerce 2) Le marché de la minceur 3) Le vrai visage des canons de beauté de la publicité. 4) Les supports

politique : 3.2.7-Jeux et « mobilité sociale » : « Notre époque est marquée par la croyance dans le progrès matériel et spirituel, et le sport moderne lui-même participe directement de cette idée » (Instructions Officielles pour l’organisation de l’EPS, 1967) « La rivalité devait jouer un rôle essentiel dans la vie publique grecque. Rien n’est plus propre à définir la culture grecque que la façon dont l’idée de compétition s’étendit du courage physique

rappels à l’ordre, ou encore la Lysistrata d'Aristophane ou les femmes refusent de se donner à leurs maris tant que ces derniers n’ont pas mis fin aux hostilités qui les séparent. De nombreux théoriciens tel que Saint thomas d’Aquin ont aussi, à leurs époques, posaient des bases a cette notion en ouvrant des brèches montrant que la lutte contre un pouvoir tyrannique ou violent serai légal. * La notion de désobéissance civile n’est donc pas un principe récent. Il fait écho à une longue histoire politique