Culture Homme Instincts

L’HOMME EST-IL UN ÊTRE DE CULTURE ? « L'homme est un être culturel par nature parce qu'il est un être naturel par culture. », dit E.Morin. Il est utile d’exploiter cette citation dans le cadre de ce travail car elle mêle plusieurs aspects indispensables pour pouvoir répondre à notre problème qui est de savoir si l’homme est un être de culture. Le terme « culture » peut avoir plusieurs sens : celui de l’agriculture, mais également celui qui renvoie aux connaissances. C’est pourquoi nous allons voir

paysanne » transgression de l’ordre social. Pour satisfaire ses instinct sexuel il transgresse l’ordre social= « ni trop chaud, ni trop froid ». Les femme sont réduite a des sensation physique. « Un grand seigneur méchant homme » formulation= il incarne des valeurs de la noblesse. B) l’auto portrait A travers cette tirade Sganarelle se décrit comme un bavard, il prend plaisir a parler, développer, c’est un valet qui mélange les cultures, il confond la superstition et la religion, valet heureux mais

c’est-à-dire sans le faire passer par la culture. Cela veut dire aussi que toute une société peut vivre moralement en ne reposant que sur des valeurs révélés et non pas apprises. Une connaissance intuitive ne peut être qu’obscure et confuse, c’est-à-dire que l’on agit sans savoir pourquoi. Une société aveugle peut donc vivre dans la paix et la sécurité. Rousseau pense néanmoins que la société peut corrompre cette empathie naturelle de l’homme. La culture peut donc allé contre les intérêts naturels

innocents. Les ‘barbares’ sont égaux et heureux, classes sociales ainsi que propriété privée sont inexistantes. Au XVIIIe siècle, l’époque de l’épanouissement des sciences et des études de l’homme, les notions de progrès et de bonheur s’opposent, la culture est antithèse de nature. Les hommes des Premiers Temps sont détenteurs d’une sagesse vertueuse et d’un bonheur innocent et incorrompu, représentent une sorte de pureté originelle, en totale opposition avec la difficile réalité et inégalité de l’époque

L’amour et le désir serait donc totalement différent puisque l’un répondrait un un instinct naturel et l’autre ne serait qu’une construction culturelle. En revanche, d’un point de vue plus philosophique, l’amour requiert une sagesse et une morale pour être pleinement raisonnables, succomber au désir nous permettrait de profiter du bonheur

qu'elle idéalise mais qu'elle doit quitter à l'âge de cinq ans pour suivre sa famille. Plus tard, elle y revient pour s'intégrer à la culture japonaise en travaillant dans une entreprise mais cette expérience s'avère un échec. Dans Stupeurs et Tremblements, Nothomb utilise la dérision. Cette dérision concerne le monde du travail japonais ainsi que toute la culture nippone. En premier lieu, Nothomb montre son mépris envers le système japonais des entreprises et leurs travailleurs et travailleuses

une égalité des droits entre les hommes mais sur l’idée d’une hiérarchie naturelle entre les hommes. Les inégalités sociales expriment une inégalité de nature. Les + doués gouvernent, les – bons sont gouvernés. Chaque homme occupe une place précise dans l’ordre de l’univers, chaque homme doit trouver la fonction qui lui revient selon ses capacités naturelles. * Les grecs dévalorisent le travail mais font des # hiérarchiques au sein même des métiers, ils distinguent les métiers qui exigent un effort

montrant sur leur visage ou soit en ne parlant pas du tout. L’auteur conforte cette idée par un deuxième exemple, celui de la paternité. L’éducation de l’enfant au XIXème siècle n’est pas la même que celui des autres époques, et se diffère d’une culture à une autre. En effet certains enfants sont mis en nourrisse, afin d’être éduquer par des personnes autres que leurs parents jusqu’à un certain âge, et sont ensuite redirigés vers leurs parents biologiques. Ainsi leurs propres parents leurs sont inconnus

désirs et besoins et plus encore… Exister au sens de l’homme sous-entend la notion de « bien vivre », tel l’entend Aristote, notion qui différencie l’homme de l’animal car ce dernier survit en temps qu’être vivant. L’animal utilise uniquement son instinct pour vivre contrairement à l’homme qui est « éduqué » à la vie. Or faut-il apprendre à vivre ? Quelles sont les limites de cet apprentissage ? L’apprentissage de la vie se manifeste dès la naissance. En effet l’homme nait inachevé, il doit

forme de progrès, puis que, deuxièmement, ce projet est quasiment impossible à mettre en place puisque l'Homme n'a jamais vécu dans de telles conditions. Enfin, nous nous demanderons si l'Homme est capable de vivre dans une société alliant nature et culture. Tout d'abord, nous pouvons affirmer que le projet consistant à vouloir vivre naturellement est sensé. En effet, l'Homme a plusieurs raisons de mettre en place ce projet. Vouloir retourner vivre à l'état naturel a un enjeu écologique. Dans notre