Cumes

déscendants d’énée. Fait une nvl étape en sicille, etait deja venu et navait pas eu le temps d’accomplir les rytes funaires habituel de son pere. va donc reprendre a mer ensuite remonte au nord et débarque au sud de l’italie dans la ville de Cumes. Or cumes = une des entrées des enfers.donc énée va avoir le privilège de descendre dans les enfers , il va y retrouver son père qui va devenir pretre et va lui donner un oracle pour confirmer sa mission et va lui dire que la ville qu’il va fonder et voué

de gauche à droite, une pratique courante à l’époque), avec des caractères très proches de ceux de l’écriture grecque.Dès lors, on pouvait se demander si les Latins n’avaient pas emprunté leur alphabet directement aux Grecs. La colonie Grecque de Cumes était d’ailleurs elle aussi très proche de Rome. L’argument le plus souvent évoqué qui s’oppose à cette hypothèse est le suivant.Dans la langue étrusque, on ne distinguait pas les sons G et K ("gue" et "que") : on prononçait donc les lettres grecques

colonies. Ils vont installer des colonies dans tout le bassin méditerranéen, dans l’est de la Sicile et dans le sud de l’Italie. Ces colonies sont tellement nombreuses qu’on appellera cette région la Grande Grèce avec des villes importantes : Naples et Cumes. Autre influence étrangère : l’influence phénicienne. Peuple originaire du Liban actuel qui va lancer un mouvement de colonisation surtout commerciale entre le IX et le VIII avant JC qui va toucher plusieurs régions de la Méditerranée mais aussi

la future cité, par une sorte de magie va restaurer ces énergies. Ces jeux mimes sur un mode heureux les guerres qu'ils faudra affronter - Des compétitions plus laborieuses. Chant 6 (cœur de l'Enéide) Enée arrive à Cumes en Campanie (près de Naples) et va rencontrer la Sybille de Cumes.
Il rencontre une Sybille : c’est une prêtresse chargée de faire connaitre les oracles d'Apollon, c’est une intermédiaire entre la terre et les cieux. Le dieu Apollon lui avait accordé une vie très longue mais pas la

bouillonner, sont les fleuves de cet enfer visité par Enée. “ Le feu, cette vie dévorante qui crée le monde et le consume, épouvantait d'autant plus que ses lois étaient moins connues. La nature jadis ne révélait ses secrets qu'à la poésie. “ La ville de Cumes, l'antre de la Sibylle, le temple d'Apollon, étaient sur cette hauteur. Voici le bois où fut cueilli le rameau d'or. La terre de l'Enéide vous entoure, et les fictions consacrées par le génie sont devenues des souvenirs dont on cherche encore les traces

travers la lumière de la connaissance [4]. C’est cette éducation qui nous est présentée chez Christine de Pizan. On y trouve bien ce rôle de conductrice, d’intermédiaire du savoir, joué par quelques personnages de ses œuvres, tels la Sibille de Cumes, dans Sur le chemin de longue étude, ou encore les allégories Raison, Droiture et Justice, qui apparaissent dans le même ouvrage, ainsi que dans Le Livre des trois vertus, et La Cité des Dames. «Mais leur but n’est pas de guider Christine pour lui

rivage et errent dans les hautes montagnes ». Enéide, III, 610 sq Le pieux Enée, bien différent d’Ulysse «  aux mille ruses », s’esquive avant leur arrivée ; On peut enfin coir comment Enée lui aussi va consulter les morts, conduit par la Sibylle de Cumes, en procédant à un sacrifice analogue à celui que Circé recommande à Ulysse ; à l’entrée des enfers, le spectacle des morts restés sans sépulture le trouble profondément : «  Toute une foule répandue se précipitait vers la rive : des mères, des époux

Chalcis, principale ville de l'Eubée, que partit la plus ancienne colonie que la Grèce envoya vers l'Occident ; elle alla fonder Cumes entre le xie et viiie siècles av. J.-C.. Nous savons qu'un des points du territoire de Carystos, une des plus jolies villes de l'Eubée, portait le nom de Cyrnos. Il semblerait donc vraisemblable que Corsica fut baptisée Cyrnos par les colons de Cumes ; mais il convient aussi de dire que Cyrnos est un nom propre d'homme que nous trouvons dans Hérodote et dans Stobée »3.

Compagnie de Jésus, XVIII ème siècle. Juvénal, né vers 65 après J. C., à Aquinum en Campanie, était certes italien, mais pas romain. Dans la satire III, il laisse la parole à son ami Umbricius qui ne peut plus supporter Rome et a décidé de retourner à Cumes. L'une des raisons qu'il invoque est l'afflux des étrangers. Une première remarque s’impose à la lecture de ce texte : dans les vers 67-8, 69-70 et 76-7 on note l’emploi de mots étrangers, utilisés en énumération « aliptes, augur, schoenobates, medicus

qui arrivait à le regarder était changé en pierre, quand de la bave tombait de sa gueule sur le sol, elle donnait naissance à l'aconit, poison mortel. Orphée le charma avec sa lyre, Héraclès le dompta au cours d'un de ses 12 travaux et la Sybille de Cumes lui jeta un gâteau trempé dans du vin drogué pour passer devant lui. Chimère : Monstre à tête de lion, corps de chèvre et queue de dragon qui vomit des flammes.  Chimère sur un plat à figures rouges apulien, v. 350-340 av. J.-C., musée du Louvre