Cure psychanalytique

possible ? B-    L’analyse comme libération La psychanalyse telle que l’a inventé Freud n’a pas pour but d’enfermer l’homme dans un déterminisme psychologique, mais au contraire se soigner en libérant ses pulsions destructrices. Pour ce faire, la cure psychanalytique place le patient dans un dialogue avec un autre, le psychanalyste, qui a pour effet d’amener par un dialogue maïeutique le patient à prendre conscience de certains de ses désirs, de certains états inconscients susceptibles d’engager des névroses

l’acte manqué, le mot d’esprit manifestent l’existence de l’inconscient. Celui-ci n’est pas un « défaut »,   mais fait partie de la vie psychique « normale ». Les contenus inconscients ne peuvent jamais parvenir à la conscience (sauf dans la cure psychanalytique) et se distinguent ainsi des contenus préconscients. La conscience (le moi) dispose de mécanismes de défense contre la menace que représente l’inconscient : le refoulement, la formation de compromis, le déplacement, etc. 3) L’inconscient dans

pulsions mauvaises mais nécessaires au fonctionnement humain. Mais de toutes les réponse possibles à la qualité de l'être celle ci s'oppose en tant qu'indéfinissable. Toujours sur le plan de la psychanalyse on peut considérer le fondement de la cure psychanalytique en tant qu'argument. C'est de cette manière qu'on peut appréhender Sartre avec son discours selon lequel l'affirmation passe par le conflit avec autrui, contrairement à Descartes qui se concentrait uniquement sur le solipsisme. Le raisonnement

va me faire parvenir le bruit de celui- ci car cela peut-être une situation de danger. Prenons le cas de Freud, qui est un médecin neurologue, qui va s’intéresser aux maladies mentales et notamment aux hystériques. Il va inventer la cure psychanalytique qui a pour but de laisser le patient parler librement pour l’aider à trouver la cause de sa maladie. Prenons le cas d’Elisabeth qui avait des douleurs aux jambes depuis que sa sœur est morte. Cela serait dû au fait qu’elle était amoureuse

obsession. Il invente une méthode thérapeutique pour guérir ces troubles. La méthode fondamentale de cette thérapie est la règle dite de la « libre association »: le patient doit dire tout ce qu’il pense et ressent. Freud, dit qu’au cours de la cure psychanalytique, le sujet prend conscience des résistances qui s’expliquent par les refoulement de certains désirs. Ces pensées refoulées ne se manifestent plus à la conscience directement, mais de manière déguisée, sous forme de symptômes incompréhensibles

en donne les raisons (actes manqués, rêves, symptômes psychiques). Dans un second moment du texte, il montre que l'hypothèse de l'inconscient est légitime, parce qu'il est possible de fonder sur elle une pratique efficace. La réussite de la cure psychanalytique est une sorte de vérification expérimentale de l'hypothèse de l'inconscient. Le texte de Freud est une réponse (\"nous pouvons répondre à cela\") à des critiques nombreuses (\" faites de tous côtés\") opposées à la notion de \"psychique inconscient\"

en donne les raisons (actes manqués, rêves, symptômes psychiques). Dans un second moment du texte, il montre que l'hypothèse de l'inconscient est légitime, parce qu'il est possible de fonder sur elle une pratique efficace. La réussite de la cure psychanalytique est une sorte de vérification expérimentale de l'hypothèse de l'inconscient. Le texte de Freud est une réponse (\"nous pouvons répondre à cela\") à des critiques nombreuses (\" faites de tous côtés\") opposées à la notion de \"psychique inconscient\"

l’hystérie : avec celle-ci Freud met à jour l’idée de maladie psychosomatique (origine psychique et manifestation corporelle) Dans Les 5 leçons sur la psychanalyse il nous parle d’Anna qui est hydrophobe. Il applique ses deux méthodes : la cure psychanalytique commence. * Triple classification du psychisme : LE SURMOI = inconscient : ensemble des interdit sociaux. LE MOI = résultat conscient LE ÇA = inconscient : l’ensemble des pulsions – la libido. * Distinction entre 2 pulsions

fonctionnement. 2- définitions : - La perlaboration : Processus par lequel l’individu intègre une interprétation et surmonte les résistances qu’elle suscite. C’est un travail psychanalytique qui permet au sujet d’accepter certains éléments refoulés, et de se d&gager de l’emprise de mécanismes répétitifs. Elle est dans la cure, mais plus particulièrement à l’oeuvre dans certaines phases où le traitement parait stagner, et où une résistance, bien qu’interprétée persiste. Corrélativement, du point

BREUER à hospitaliser Anna O. dans une villa à proximité de Vienne (juin 1881) A partir de décembre 1881, les troubles cèdent les uns après les autres jusqu'en juin 1882 date à laquelle BREUER arrête le traitement. L'INVENTION DE LA "TALKING CURE" BREUER constate rapidement que si Anna peut raconter ses hallucinations de la journée, elle sort de son somnambulisme pour se réveiller lucide, calme et gaie. Il lui suffit de répéter un mot qu'elle a prononcé durant une de ses absences de