Cure psychanalytique

psychanalyse (1893-1905) : de l'hypnose, la suggestion à la cure psychanalytique Source Wikipedia. Article détaillé : Société psychanalytique de Vienne. « En 1895, Breuer et Freud publient leur Études sur l'hystérie qui regroupent les kas traités depuis 1893, dont celui d'Anna O. (de son vrai nom Bertha Pappenheim). Anna O. est la patiente de Breuer, qui est présentée comme un exemple tipe de cure cathartique. Avant de devenir la cure psychanalytique au sens strict, Freud a en effet dû abandonner la suggestion

conduit au postulat fondamental : Il existe des processus inconscients. En cure, les associations libres permettent l’accès aux processus inconscients du sujet. C’est donc à partir d’un questionnement clinique, de la psychopathologie qu’est née la théorie psychanalytique. La psychanalyse recouvre 3 définitions : - Une méthode d’investigation du psychisme Un traitement fondé sur cette méthode (cure psychanalytique) Une théorie avec des conceptions psychologiques. En France, les débuts

instance du psychisme qui incarne la loi et interdit sa transgression : il joue le rôle de censeur et de modèle/idéal. Ça : pôle pulsionnel de la personnalité, le ça est défini par l’absence de sujet cohérent. Principe de la cure psychanalytique : Pour Freud, être heureux, c’est parvenir à trouver un équilibre entre nos pulsions (ça), nos interdits intériorisés (surmoi) et le principe de réalité (monde extérieur). Notre corps tend à satisfaire nos pulsions par le biais des lapsus

plus la satisfaction de sa libido. Selon Freud, « les malades souffrent des mêmes troubles qui affectent aussi les gens normaux ». Loin d'une symétrie entre névrose et perversion, il y a une communication constante entre les deux. C/ La cure psychanalytique « La psychanalyse guérit en faisant passer de l'inconscient à la conscience. » Le principe est de soumettre le comportement à la raison. Le psychanalyse pose des questions à son patient pour l'amener à découvrir lui-même l'origine du conflit

L'hypothèse de l'inconscient 1. La conscience n'est pas le tout de l'activité psychique 2. Le moi n'est pas maître dans sa propre maison II) Les enseignements de la psychanalyse 1. Théorie des pulsions et sexualité infantile 2. La cure psychanalytique III) Critiques de la théorie freudienne 1. L'inconscient n'est pas un autre moi 2. L'homme est liberté plan2 : I- L’INCONSCIENT FREUDIEN. A- Le concept d’inconscient. 1) L’idée qu’une partie de notre psychisme

professionnalisme, à l'aide d'un cas clinique précis, ce qui se joue et se dénoue dans le transfert et l'espace/temps de la cure psychanalytique. Bonne lecture... A la mémoire de ma mère « Nous donnons le nom de psychanalyse au travail qui consiste à ramener jusqu'au conscient du malade les éléments psychiques refoulés ». Sigmund Freud in « La technique psychanalytique » Prologue J’ai eu l’immense privilège, le très grand honneur et la chance d’interviewer en 1998 Pierre Rey pour la

psychologique acquise par ce moyen et qui fusionne progressivement en une discipline scientifique nouvelle. » ======== > La psychanalyse est à la fois une méthode d’analyse (d’investigation), comprendre le vécue ; c’est aussi un traitement (une cure psychanalytique) ; c’est aussi une théorie, une façon de conceptualiser la vie psychique. Le fait d’être allongé en psychanalyse : Favorise un état de passivité du corps Le fait que le psychanalyste est derrière : Ne pas voir le psychanalyste favorise

carrière universitaire en raison de ses revenus modestes et de son origine juive. Il ouvre un cabinet médical et s'intéresse de plus en plus aux troubles psychiques. Il découvre l'hypnose avec Charcot à Paris. A partir de 1895, il élabore la théorie psychanalytique en travaillant sur les rêves, l'importance de la sexualité dans la formation des névroses et les possibilités thérapeutiques de l'association libre. En 1900 élaboration des premiers concepts freudiens, date officielle de la parution de « L’Interprétation

que formateur et en supervision dans les institutions de soins spécialisées, psychiatriques et sociales, afin d’aider à l’analyse des dispositifs d’accueil ou pour favoriser l’apparition de nouvelles dynamiques institutionnelles. D’orientation psychanalytique, ses travaux ont portés sur le travail social et les institutions d’accueil, avec d'une part, l'émergence de l'irrationnel en institutions et d'autre part les différentes modalités de prise en charge qu'elles proposent, essayant de comprendre

sur l'avenir des enfants.L'éducation, mal pratiquée, ne serait-elle pas un facteur de névrose ? Pour Freud, il est certain que l’éducation que nous avons reçue est à la base de nos comportements. Or il est convaincu, à la lumière de sa pratique psychanalytique, qu'une éducation trop rigide participe à l'apparition de maladies nerveuses alors qu’une éducation qui orienterait nos pulsions dans un bon sens aurait l’avantage d’être épanouissant. Nous verrons donc premièrement qu'il offre une critique sur