Cycle Cellulaire Et Replication

nucléiques  ARN ou ADN, pas les deux en même temps  Acellulaire (pas d’organisation cellulaire) Ne possèdent en général aucune enzyme pouvant produire de l'énergie   ATP  Provoquent la synthèse de virions  « bébés-virus » capables d’aller infecter d’autres cellules La taille des virus Tortora p. 404 3 05/10/2012 Les virus  Spectre d’hôte cellulaire  Éventail des cellules qu’un virus peux infecter   Varie selon l’adhérence souvent très

poursuivent leur décondensation. Remarquons que chaque chromosome fils est constitué d'une seule chromatide alors qu'au début de la mitose chaque chromosome était constitué de deux chromatides. 23 - DEUX CELLULES Ces cellules vont poursuivre leur cycle et éventuellement, après la duplication de leur ADN, entrer à leur tour dans un phase mitotique suivante. http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://cyberlesson.free.fr/Cybersciences/Cours/images/mitose_general.gif&imgrefurl=http://cyberlesson

|Méiose, fécondation et stabilité de l'espèce | I- Cycle de developpement, alternance d'une phase haploïde et d'une phase diploïde Les différentes étapes de la vie d'un organisme peuvent se résumer dans un cycle de développement ou cycle biologique. Dans ce cycle alterne une phase haploïde où le noyau des cellules contient un lot de n chromosomes différents, et une phase diploïde où le noyau contient deux

glycosidique 66 Amidon et glycogène 68 Cellulose et chitine 70 Glycosaminoglycanes 72 Protéoglycanes 72 Les glycoprotéines 74 Les glycolipides 78 Les lipopolysaccharides 78 Table des matières V CHAPITRE 4 • Lipides et membranes cellulaires 81 Les acides gras 82 Lipides de réserve : les triacylglycérols 82 Lipides membranaires : les glycérophospholipides et les sphingolipides 84 Stérols et stéroïdes 86 Double couche lipidique et membranes biologiques 88 PARTIE II CATALYSE

virus s’amarre grâce à une protéine de son enveloppe. III – La multiplication des particules virales • La reconnaissance entre protéines CD4 et protéines de l’enveloppe virale conduit à la fusion de l’enveloppe du virus avec la membrane cellulaire. Les molécules d’ARN, ainsi que les enzymes virales, dont la transcriptase inverse, se trouvent alors dans le cytoplasme de la cellule cible. La structure de la particule virale, observée dans le milieu extracellulaire disparaît. • La transcriptase

pluricellulaire=métazoaires). 3 grands groupes : * Protozoaires : être unicellulaire doués de mouvement. Ils se déplacent grâce à des pseudopodes (amibes), ou à des flagelles (Giardia). Ils se présentent sous forme mobile ou enkystée, intra ou extra cellulaire * Helminthes ou vers : êtres pluricellulaires possédant des tissus différenciés. Ils se présentent sous la forme d’un embryon, d’un œuf, d’une larves ou d’adultes des 2 sexes. * Arthropodes : pluricellulaire, possédant des tissus différencies

plupart des informations permettant d’élucider le messager génétique vers les protéines (utilisation du message). Le dogme de fonctionnement des gènes chez l’Homme l’ADN est capable de se répliquer pour être repartie dans 2 cellules filles. C’est la réplication Une partie du message génétique de l’ADN signifie quelque chose qui porte une information : gène. Une partie de ce message va former une copie du gène que l’on appelle l’ARNm. Cet ARNm va sortir du noyau et migrer dans le cytoplasme. Cette étape

récepteurs protéiques CD4, dont les lymphocytes THCD4. En prenant le contrôle de ceux-ci, principaux intermédiaires de la réponse immunitaire de l’organisme, le virus diminue d’une façon significative la productivité du système immunitaire. La réplication du virus se fait initialement par l’attachement de la protéine virale gp120 au récepteur CD4, et ensuite par la fusion des membranes par la protéine gp41. Suite à la fusion la capside du virus pénètre la cellule infectée et libère son ARN (les rétrovirus

population de cellules mutantes où vont intervenir d’autres mutations qui renforcent l’avantage initial. Les cellules sont de plus en plus anormales au fil des générations cellulaires et finissent par devenir immortelles. Elles se multiplient de façon anarchique et ne répondent plus aux signaux de l’organisme. Le clone cellulaire obtenu forme une tumeur qui va grossir et se multiplier dans l’organisme sous forme de métastases. Une tumeur trop grosse réduit la fonction de l’organe où elle est située

enfants atteints du syndrome immunitaire combiné sévère lié au chromosome X (maladie des « enfants bulles »). Cette maladie est caractérisée sur le plan génétique par la déficience d’un gène codant pour une sous-unité commune à plusieurs récepteurs cellulaires de cytokines. La déficience immunitaire importante responsable d’une sensibilité accrue aux infections oblige ces enfants à vivre dans un environnement protégé des microorganismes pathogènes et strictement surveillé (dans « une bulle »). Dans cet