Cycle Cellulaire Et Replication

de son dysfonctionnement. action du tabac : Le tabac quant à lui, induit les radicaux libres. L’excès de radicaux libre provoque : des problèmes lors de la réplication de l'ADN entraînant mutations et cancers, des perturbations au sein des cellules qui peuvent conduire à leur mort, la destruction des membranes cellulaires, qui peut mener au durcissement et à l'épaississement de la peau, la détérioration du collagène et donc action sur la rigidité des tissus, et la diminution de la vitamine

ou acquis par transfert latéral un remarquable éventail de mécanismes pour protéger eux-mêmes contre de nombreux phage « envahisseur ». Les systèmes d’antiphage bactériens comprennent l'inhibition de la fixation du phage aux récepteurs de surface cellulaire, le clivage de l'invasion du génome phagique et l'induction d'une cellule altruiste suicide pour annuler l'infection de phage. Cependant, malgré cet arsenal, une grande proportion de bactéries succombe à l’infection par phage. En raison de leur

aux protocellules 1.2.1 Compartiments isolés 1.2.2 Protocellules 1.3 L'apparition du génome 1.3.1 Les modèles « gènes d'abord » 1.3.2 Les modèles « métabolisme d'abord » 1.3.3 Métabolisme et génome : un monde à ARN 1.3.3.1 Stockage et réplication 1.3.3.2 Efficacité des protéines 1.3.3.3 Une grande distribution phylogénétique 1.3.3.4 Le cas de l'ARN de transfert 1.3.3.5 Virus et ARNt 1.3.3.6 Évolution dirigée d'ARN 1.3.3.7 ARN et hérédité 1.3.3.8 À l'origine de l'ADN dans la cellule

 VIEILLISSEMENT CÉRÉBRAL : ASPECTS ANATOMIQUES, CELLULAIRES ET MOLECULAIRES I. Mécanismes moléculaires dans les démences neurodégénératives. 1 1. Théories évolutionnistes 2 2. Théorie radicalaire du stress oxydant 3 3. Théorie hypocalorique 3 4. Théorie des gérontogènes 3 II. LE VIEILLISSEMENT CEREBRAL 4 1. NEUROANATOMIE 4 2. L’EFFICACITE SYNAPTIQUE 4 3. LE VIEILLISSEMENT HORMONAL 5 III. LE VIELLISSEMENT CELLULAIRE 7 1. LES MITOSES : MARQUEURS DE TEMPS 7 2. LES REPARATIONS DE L’ADN 8 3. MITOCHONDRIES

Date de présentation : mardi 28 février 2012 PLAN Introduction I- Généralités I-1 Définitions I-2 Intérêts I-3 Historique II- Les caractéristiques du VIH III- La réplication virale IV- L’évolution de l’infection à VIH V- Les voies de transmission VI- Les manifestations du VIH-SIDA VII- Le dépistage VIII- Le traitement VIII- 1 Traitement Curatif VIII- 2 Traitement Préventif

liens-peptidoglycanes* sur la paroi bactérienne. En effet, le peptidoglycane* joue un rôle important dans le cycle de la cellule, d'une part sur sa rigidité et d'autre part sur sa résistance face aux agressions réalisées par l'antibiotique. La pénicilline empêche la synthèse du peptidoglycane par les bactéries en s'intercalant dans le polymère. Cette synthèse étant inhibée, des mécanismes de lyse* cellulaire se déclenchent : la pénicilline a donc un effet bactéricide, comme les autres antibiotiques de la famille

gp 41 Protéines de capside : externe : p 17 interne : p 24 VIH : cycle cellulaire Immunopathologie Rappel immunité : Contact antigène / macrophages : intégration de l’antigène Macrophage : cellule présentatrice de l’antigène Réponses immunitaires : - cellulaire : lymphocytes T (lymphocytes T killer) CD 4+ - humorale : lymphocytes B (anticorps) Pathogénie : VIH : infecte principalement les CD4+ (↓ progressive pop cellulaire) infecte d’autres lignées : monocytes, microglie, cellules dendritiques…

| |Des réponses morphologiques semblables peuvent être obtenues avec des végétaux d'espèces différentes placés dans un même environnement. | |II- La morphogenèse associe la division et la croissance cellulaire au niveau de territoires spécialisés | |La mitose est localisée dans les méristèmes. | |Elle permet de produire

chimiorésistance n’étant aujourd’hui plus mise en doute, la recherche se tourne vers l’identification d’inhibiteurs de ce transporteur, toujours plus efficaces et moins cytotoxiques. Dans ce cadre, nous avons caractérisé, aussi bien au niveau cellulaire que moléculaire, deux inhibiteurs d’ABCG2 : MH-T-18 et AB-I-10. Ces composés, synthétisés grâce à une étude quantitative de relation structure-activité, se sont révélés très efficaces pour inhiber ABCG2, en étant à la fois puissants avec une

RENOUVELLEMENT ET DIFFÉRENCIATION CELLULAIRE. I. Généralités. 1. Potentialités cellulaires. Toutes les cellules ont hérités de la même information génétique → œuf fécondé. Mais, les cellules ont différé par l’expressivité de leurs gènes, pas par leur génome. € Pour la formation d’un individu, les cellules doivent devenir différenciées. 2. Régulation. Développement embryonnaire: différenciation et croissance. Le plus souvent (mammifères, oiseaux), la croissance s’arrête sauf poissons,