Cycle de Kondratiev

révolution industrielle A - Le renforcement des droits de propriété, base de la révolution industrielle B - L'opposition du capital et du travail C - La seconde révolution industrielle D - Les cycles économiques 1) Le cycle KITCHIN 2) Le cycle JUGLAR 3) Le cycle KUZNETS 4) Le cycle KONDRATIEV 53 Cité par Jacques BRASSEUL, 1998, « Une revue des interprétations de la révolution industrielle », Région et Développement , numéro 7, 1998, page 47, tiré de W.W. ROSTOW, 1985, “The World Economy since 1945

du niveau du PIB (noté y) pendant une période donnée. Taux de croissance en % Gt0, t1 = 100 x (Yt1 – Yt0/Yt0) ou Yt1 = Yt0 x (1+ (Gt0, t1/100)) Coefficient de variation Yt1 = Yt0 x (CVgt0, t1) Croissance et cycles : Théories des cycles (Kondratiev : diffusion des innovations lente 50-70 ans, Juglar, Kitchin) Théories de la croissance (Solow/ croissance endogène) III-) le PIB est-il un « bon » agrégat économique ? 1. Une mesure imparfaite du revenu national Changements dans la qualité

révolution industrielle A - Le renforcement des droits de propriété, base de la révolution industrielle B - L'opposition du capital et du travail C - La seconde révolution industrielle D - Les cycles économiques 1) Le cycle KITCHIN 2) Le cycle JUGLAR 3) Le cycle KUZNETS 4) Le cycle KONDRATIEV 54 Cité par Jacques BRASSEUL, 1998, « Une revue des interprétations de la révolution industrielle », Région et Développement , numéro 7, 1998, page 47, tiré de W.W. ROSTOW, 1985, “The World Economy since 1945

révolution industrielle A - Le renforcement des droits de propriété, base de la révolution industrielle B - L'opposition du capital et du travail C - La seconde révolution industrielle D - Les cycles économiques 1) Le cycle KITCHIN 2) Le cycle JUGLAR 3) Le cycle KUZNETS 4) Le cycle KONDRATIEV 54 Cité par Jacques BRASSEUL, 1998, « Une revue des interprétations de la révolution industrielle », Région et Développement , numéro 7, 1998, page 47, tiré de W.W. ROSTOW, 1985, “The World Economy since 1945 : A

des facteurs de production. Pour Schumpeter, c’est l’innovation, et principalement l’innovation technique, couplée à l’investissement, qui est à l’origine de ce qu’il nomme « l’évolution économique ». S’inscrivant dans les pas de Lescure et de Kondratiev, il affirme que les innovations ne surviennent pas de façon isolée et linéaire. Elles surviennent par grappes, en période de stagnation ou de dépression économique, alors que le crédit est abondant du fait de la généralisation de la grappe d’innovations

apparaissent et avec elles vient la reprise. Ainsi, s'est opéré le processus de destruction créatrice où quatre phases distinctes s'enchaînent : l'expansion, la crise, la dépression et la reprise. Schumpeter reprend à ce propos le qualificatif de cycle économique. Conclusion :Toutes les études semblent converger pour démontrer que parmi l'ensemble des déterminants de la croissance, le progrès technique occupe la place principale. Pourtant, son identification fut à l'origine complexe car il s'intègre

terme dans l’intervention publique sur deux plans :  politique industrielle et commerciale extérieure sont extrêmement liées  l’intervention publique a été rythmée par la succession de périodes de guerres ou de crises économiques par des cycles Kondratiev (période de 50 ans : 1970-1918 : croissance ; 1918-1945 : crise ; 1945-1975 : croissance ; 1975- ? = crise) : nécessaire dans la reprise économique (après-guerres) mais à l’inverse, dans les phases dépressives. Il y a finalement un développement

compensation de Sauvy) ; destruction et création selon les innovations de produit ou de procédé, selon l’investissement de capacité ou de productivité, selon les effets sur la durée du travail  les effets de la productivité se font sentir à long terme (cycle Kondratiev et Schumpeter). B conséquences sur la structure des actifs (déclin des agriculteurs, plus récemment des ouvriers, montée des classes moyennes ; féminisation des emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations

compensation de Sauvy) ; destruction et création selon les innovations de produit ou de procédé, selon l’investissement de capacité ou de productivité, selon les effets sur la durée du travail ⇒ les effets de la productivité se font sentir à long terme (cycle Kondratiev et Schumpeter). B conséquences sur la structure des actifs (déclin des agriculteurs, plus récemment des ouvriers, montée des classes moyennes ; féminisation des emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans

le cycle puis la contraction suscite de nouveaux besoins et c’est la reprise. Un nouveau cycle commence. Complément La durée des cycles économiques est variable. Les économistes ont cherché à établir une typologie qui peut se résumer comme suit (les noms donnés aux cycles sont ceux des économistes qui les ont mis en évidence). • Le cycle de Juglar (français) : c’est le cycle majeur ou cycle des affaires. Sa durée est de 6 à 10 ans. Il a été reconnu en 1860 et connaît les 4 phases. • Le cycle Kitchin