Cycles de négociations commerciales multilatérales

Les accords régionaux commerciaux développent-ils toujours le commerce ? INTRODUCTION Le 7 février 2011 a été notifié à l’OMC l’entrée de l’Albanie dans l’accord Européen de libre échange (AELE). Ces accords commerciaux régionaux en évolution constante sont devenus ces dernières années un élément dominant du système commercial mondial. Il est possible de définir les ACR comme des coopérations économiques et commerciales entre des états qui appartiennent à une même aire géographique. Cependant

opté à nouveau, dans une décision adoptée en 1971, pour l'approche des dérogations. Toutefois, pendant les négociations de Tokyo (1973-79), il a été constitué à la demande des pays en développement un "groupe-cadre" chargé de trouver une solution juridique plus permanente pour les préférences commerciales. À la suite des négociations, l'on est parvenu dans le cadre du cycle de négociations de Tokyo à un accord que l'on a appelé depuis la "clause d'habilitation". Cet accord n'a pas modifié le texte

nombre de dérogations, sans que l’on risque une sanction. L’OMC apportera, elle, son institution compétente pour les litiges. Il n’y a pas de périodicité dans les négociations : il existe cependant des cycles. Ces cycles vont devenir de plus en plus longs, et de moins en moins rapprochés. Il y a eu depuis 1947 huit cycles de négociation : 1. Genève : 1947. Il a réuni 23 pays, qui ont parlé de tous les produits. Il en est ressorti 45 000 concessions tarifaires, portant sur la moitié des échanges

d’Amérique latine appellent au lancement de la CNUCED : Conférence des Nations unies sur le Commerce et le Développement. Créée par l'ONU en 1964, la CNUCED cherche à affirmer la cohésion des pays du Sud autour d’une revendication majeure : des échanges commerciaux rééquilibrés, ce qui suppose l’accès des pays du Sud aux marchés du Nord et l’amélioration des termes de change. En effet, les pays du Tiers Monde considéraient que les principes libéraux fixés par le GATT ne répondaient pas à leurs problèmes spécifiques

POST-BALI 11 Reflexions sur l’ « accord de Bali » Antoine BARBRY OMC 13 Bali et le futur du commerce multilatéral Sofia Baliño 17 Dernier Mot L’OMC entre intérêts commerciaux et logiques politiques : quelles leçons peut-on retenir de Bali ? Cheikh Tidiane Dieye ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE 20 L’Afrique de l’Ouest et l’UE s’entendent sur un accord commercial POST BALI 23 Paquet de Bali : l’OMC sauve-t-elle sa peau en sacrifiant les PMA ? 25 Sur le fil 26

(Un espace hétérogène qui varie lentement (Au centre : une ville Kiste dominante (3 zones hiérarchisées. • La dynamique du système-monde moderne selon WALLERSTEIN : - Economie-monde et empire-monde - DIT et création des périphéries - Les cycles d'hégémonie : (P°, commerce, finance (successions hégémoniques et guerres mondiales Braudel : il s'est intéressé à l'Histoire de la Méditerranée du 16° au 19° siècle et notamment à l'époque du souverain espagnol Philippe 2 qui détenait un empire

progressé de sorte qu’aujourd’hui de nombreux droits de douanes sont très faibles comparativement à ce qu’ils pouvaient être 50 ans avant. La mise ne pratique des principes contenus dans les accords du GATT s’est fait à travers des cycles de négociations multilatérales (round). Ces rounds ont permis l’abaissement continu des droits de douanes, la diminution des pratiques de mesures non tarifaires et la libération progressive. Depuis la ratification des accords de Marrakech, les parties contractantes

des années 30 qui avaient provoqué une contraction du commerce international). Lq création du GATT a joué un rôle prépondérant dans la réintégration rapide des pays vaincus dans le jeu des échanges internationaux et à contribué par négociations commerciales multilatérales à relancer le commerce international. Dès 1944, avec la conférence de Bretton Woods, un système monétaire international est reconstruit sur de nouvelles bases. Parant aux défauts du Gold Exchange Standard de 1922 (conférences de

rapport est une contribution du Conseil d’analyse économique au débat sur la mondialisation. Ce n’est certes pas la première fois que nous traitons des matières qui s’y rapportent : plusieurs rapports antérieurs ont éclairé les enjeux des négociations commerciales, proposé des parades à l’instabilité financière, ou évalué les politiques de développement. Ce n’est pas non plus la dernière. De nouveaux travaux ont été engagés, qui s’attacheront à éclairer tel ou tel des aspects de l’interdépendance internationale

autre coté créatrices de flux. Elles permettent une collaboration, et donc une spécialisation accrue des différents pays membres qui accroît le commerce international. Elle permet une meilleure entente et une connaissance accrue des partenaires commerciaux qui apporte confiance et facilité dans les échanges (Il est par exemple plus aisé d'organiser un échange avec les allemands que les chinois). Enfin le développement de certains secteurs protégés peut finalement se révéler profitable pour certaines