Cymbale

sont développés: l'un est rythmique, exposé par la flûte, l'autre mélodique énoncé par le violon seul et le dernier par la citation du Dies irae, originaire du chant Grégorien. Cette citation sonne inhabituellement à la trompette, accentuée par les cymbales. Ces trois motifs sont valsés. Le thème A se développe sous la forme de variations et le thème B est traité en fugue et qu'à un certain moment, les deux se superposent. On peut aussi dire que l'emportement de l'orchestre, dues aux cuivres expriment

m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et

adopte une forme classique chez Reich, ABCBA avec un premier et un dernier mouvement rapide, et un mouvement central plus lent. Les sons joués en direct sont assemblés en général à un instrument classique (comme les bois pour les klaxons, ou les cymbales pour les bruits de freins). Les voix sont doublées par plusieurs instruments, elles sont utilisée d'un point de vue rythmique, dans une approche comparable au human beat box des rappeurs.

pour iet mariageâ et les enterrements. Tous donnaient lieu à speciacles; ils duraient plusieurs jours; les théâtres-jouaient du matin au soir; gla' âi"t"o"., animaux savants et funambules Dans le mima règne Ie Dionysos phrygien, I'efféminé. Cymbales, flûtes et tambourins pimentaient de leur musique énervante des « sketches » à exhibitions. Les femmes ntont jamais paru sur la scène antique, sauf dans le mime (l). À l'époque romaine, Ie théâtre brille encore, mais d'un éclat factice : tragédie-pastiche

de progression vers le surhomme. - PARTIE B (2’23’’-3’20’’) : Le tutti orchestral exprime la chute des dieux par des mouvements très dynamiques descendants mis en relief par la puissante expression des instruments de percussions (Timbales et Cymbales). - REPRISE DE LA PARTIE A (3’21’’5’18’’) : On sent que le combat n’est pas encore gagné. Mais la reprise du thème joué par tout l’orchestre à l’unisson (4’02’’) est prometteur. La chute des dieux cette fois ci est irréversible (5’03’’), et l’ascension

Tout d’abord, nous pouvons constater que cette scène a tout d’une scène de tragédie dramatique. En effet, le soleil, sa chaleur et sa lumière sont omniprésents dans cet extrait: «toute une plage vibrante de soleil», «La brûlure du soleil», «les cymbales du soleil». Or le soleil, répété huit fois dans le texte, a dans de nombreux genres et notamment dans le théâtre, une portée tragique qui est comme une annonce de ce qui va s’ensuivre. Sa chaleur étouffante et sa lumière éclatante ont une connotation

place centrale en particulier dans les trois dernières strophes. Il y a d'autres figures qui renvoient à l'univers du cirque comme le charlatan, le nain et l'acrobate qui est désigné par une périphrase au vers 15 "un homme pendu sonne en mesure des cymbales". Chaque strophe compte au moins un personnage du nom du cirque. La présence de ces figures croit de plus en plus dans les deux dernières strophes. Ce phénomène pourrait correspondre à l'observation des éléments d'un tableau ou à la découverte

L'œuvre adopte une forme classique ABCBA chez Reich avec un premier et un dernier mouvement rapide, et un mouvement central plus lent. Les sons joués en direct sont couplés en général à un instrument classique (comme les bois pour les klaxons, ou les cymbales pour les bruits de freins). Les voix sont doublées par plusieurs instruments, mais contrairement aux premières compositions de Reich, elles ne sont pas à proprement parlé déphasées, mais utilisées d'un point de vue rythmique, dans une approche comparable

à la fin du VIe siècle avant J.-C.). 2. Evocation de la vie musicale au temps des anciennes civilisations / lyre, flûte en bois, sistre, clochettes à main. 3. Evocation de la vie musicale au temps des anciennes civilisations / aulos, tambours, cymbales.

par l’un des comédiens, comme le fait très souvent tout au long de la pièce, Henri. C’est aussi grâce à l’espace scénique que certains instruments existent car c’est à partir de la scénographie qu’ils ont été créés comme par exemple, l’arbre à cymbales, ce qui ajoute à la musique une touche originale. Des boucles rythmiques et polyrythmiques, à la fois simples à comprendre et complexes à apprivoiser, permettant à la musique, constante, d’accompagner la tension. On peut trouver dans ce travail des