Dalmatie

menée par les Anglais en 1804 , Napoléon a établi une nouvelle monarchie héréditaire avec comme empereur Napoléon I. Il a continué ses triomphes militaires, conquérant les armées dans Ulm et l'Austerlitz autrichiens et russes, prenant Venise et la Dalmatie pour le royaume de l'Italie, et plaçant un certain nombre d'états allemands sous le commandement français dans la confédération du Rhin. En 1806 il a effacer une menace prussienne à sa puissance dans la bataille d'Iéna-Auerstadt, et en 1807 ses

tout cas, c’est un formidable atout pour entretenir le mythe de Venise. Depuis 999, date de la première célébration, Venise se remémore ce jour de l’Ascension où sa flotte, guidée par le Doge Pietro Orseolo II, est partie de son port pour libérer la Dalmatie. La victoire donne naissance à une coutume : chaque année, désormais, le Doge, bien installé dans un fastueux navire devra jeter dans l’eau une bague, symbole de la puissance et de la domination de la ville sur la mer, et ce, devant l’église de San

expédition. Celle-ci est confiée à de simples chevaliers. Pour le transport, on fait appel aux navires de Venise. Mais les Vénitiens exigent des chevaliers, en guise de paiement, qu'ils s'emparent pour leur compte de la ville chrétienne de Zara en Dalmatie et rétablissent sur le trône de Byzance un empereur à la solde de Venise. Le pape a beau protester et excommunier les Vénitiens, rien n'y fait. Au lieu d'aller combattre les infidèles, les croisés s'emparent de Byzance le 12 avril 1204 et mettent

comme celle-ci, ce volet des discussions entre alliés sera volontairement ignoré. L’Italie, après s’être jointe tardivement aux alliés au courant de la guerre, tient à se faire attribuer les terres qu’elle désire. Le Trentin, Trieste, l’Istrie et la Dalmatie sont les zones réclamées par l’Italie[11]. Bien que ses revendications soient soutenues par les traités de Londres et de Saint-Jean-de-Maurienne, de 1915 et 1916 respectivement, qui lui assuraient ce qu’elle désiraient contre une aide militaire au

écrivain grec du IIe et IIIe siècle après J-C. Issu d'une famille sénatoriale, il occupa d'importantes charges tout au long de sa carrière : il fut sénateur sous Commode, préteur sous Pertinax, consul sous Sévère Alexandre, ainsi que gouverneur de Dalmatie et d'Afrique. En 235, après avoir franchi toutes les étapes du Cursus Honorum, allant même jusqu'à devenir membre du consilium (le conseil) impérial, il quitta le monde de la politique, et se retira à Nicée, la cité dont il était originaire, où il

| |Proconsulaires |Proprétoriennes |consulaires |prétoriennes |équestre |Cas particulier | |Afrique |Achaïe |Dalmatie |Aquitaine |Alpes Grées |Egypte | |Asie |Bétique |Germanie Inférieure |Belgique |Alpes Maritimes | | | |Chypre

géographie. 2) Le processus des guerres 3) Le Kosovo 1) Avant 1991 : 280000 km² 22 millions d’habitants. Pays de hauts plateaux de calcaire → pays aux vallées profondes. Au sud l’adriatique. Sur la côte ouest : Dalmatie. Au nord : l’Autriche, la Hongrie, Bulgarie, Roumanie, Grèce, Albanie. Pays crée juste après la guerre par Clémenceau en 1919 pour démanteler l’empire des Hasbourgs. Région du nord : Slovénie Région du sud : Macédoine.

Première Guerre mondiale, n'a pas obtenu toutes les terres promises : si le Trentin et la Vénétie julienne (Gorizia, Trieste, l'Istrie et le Quarnaro) sont devenus italiennes en 1919 (par le traité de Saint-Germain-en-Laye), ce n'est pas le cas de la Dalmatie et des colonies allemandes. Mussolini mène en réaction une politique de conquête, occupant Corfou en 1923, annexant Fiume et le Dodécanèse en 1924, l'Éthiopie en 1935-1936 et l'Albanie en 1939. Cela inquiète la France et le Royaume-Uni, d'autant

cas de l’Italie est différent : alliée à l’Allemagne et à l’Autriche-Hongrie avant la guerre, elle rejoint en fait le camp de l’Entente en 1915, notamment contre la promesse d’obtenir, en cas de victoire, les « terres irrédentes » (Trentin, Istrie, Dalmatie). Or, elle n’en n’obtient qu’une partie à Versailles et les Italiens en conçoivent une frustration et l’impression que les « grands vainqueurs » ont ignoré leurs revendications et leur sacrifice. C’est le thème de la « victoire mutilée », selon l’expression

contre le régime républicain bravé d'avoir bradé l'empire. Pas d'unité et pas de projet politique commun. Mais certaine influence dans l'opinion. En Italie : les nationalistes considère que deux provinces littorales de la Croatie, l'Istrie et la Dalmatie, devraient revenir à l'Italie comme l'avait promis la France et l'Angleterre. II. Les déséquilibres économiques et les tensions politiques. A l'origine, il y a un certain espoir d'un retour à la prospérité. La guerre avait entrainé un certain