Dalmatie

recrutés essentiellement parmi les Serbes, et les organise en unités de Tchetniks. De l'autre, de petites unités de partisans mobiles et pugnaces dirigés par Josip Broz, dit Tito, secrétaire général du parti communiste yougoslave, opèrent en Bosnie, en Dalmatie et en Croatie. Bientôt, ces dernières unités, qui résistent avec succès aux offensives de l'armée allemande, tandis que les troupes de Mihailovic se montrent passives et entretiennent des relations douteuses avec l'adversaire, apparaissent comme

représentant les Serbes, les Slovènes et les Croates. Ces slaves du sud vivant en Autriche-Hongrie accepte d’unir leur destin à celui de la Serbie qui renonce à ses grands projets d’élargissement. Fin octobre le royaume de Croatie, Slavonie et Dalmatie (Diète ou assemblée officielle de Croatie) profite du principe d’autodétermination pour rompre avec le royaume de Hongrie et l’Empire d’Autriche. Il se déclare indépendant mais adhère à l’Etat souverain des Serbes, Croates et slovène. Le conseil

République de Venise. À la veille de la Première Guerre Mondiale, des accords sont signés avec l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie. La France et l’Angleterre en profitent pour attirer l’Italie dans leur alliance et promettent qu’en cas de victoire, la Dalmatie et l’Istrie deviendront des territoires italiens. En 1919, les Italiens sont déçus, car ils ne reçoivent pas la souveraineté sur les territoires qui leur ont été promis. * Économie : [33/2, p.80] Salaires réels et prix de gros en Italie

du St-Esprit, qui opéraient les dons de l’Esprit sous une base régulière. Ainsi, en moins de trois siècles, le christianisme se propagea à un rythme effreiné. On retrouvait ainsi des églises en peu partout dans l’Europe ( Espagne,Gaulle, Italie, Dalmatie, dans la Grèce actuelle), dans la Turquie actuelle ( Mysie,Phrygie,Galatie,Cilicie,Cappadoce), en Afrique du Nord,etc. John Strange, dans la première édition de l’Atlas Biblique nous dit ceci : « Durant le règne de Constantin le Grand (306-37)

devant le tribunal de l’Inquisition et qui est interrogé sur les croyances cathares. Les hérétiques dualistes du Moyen- Age ne furent pas seulement appelés les Cathares ; ils reçurent souvent des noms différents selon les régions. En Bosnie, Dalmatie, Italie du nord ils étaient appelés « Patarins », dans le nord de la France, « Publicains, dans le midi « Albigeois «. Ces noms ont été donnés par les ennemis du catharisme. Eux mêmes s’appelaient « bons chrétiens, parfaits ou bons hommes » 

Lors du conflit, différents traités avaient été signés et marquait la volonté pour les puissances du vieux continent de maintenir l'équilibre continental. En effet le traité de Londres le 26 Avril 1915 accordait à l'Italie le Trentin, l'Istrie et la Dalmatie. Les accords de Sykes-picot les 4 mars et 16 mai 1916 prévoyaient le partage du Proche Orient : la France obtient le Liban et le nord de la Syrie, la Grande Bretagne reçoit la Mésopotamie et le reste de la Syrie. Ces traités seront rejetés catégoriquement

dépens de l’AutricheHongrie. Elle réclamait plusieurs territoires autrichiens où on parlait italien, en particulier l’Istrie (région de Trieste) et le Trentin, dans les Alpes. Elle réclamait également la Dalmatie. Bien, que dans le camp des vainqueurs, les traités de paix lui refusent la Dalmatie, et ne lui donnent que l’Istrie et une partie du Trentin sans la ville de Fiume (aujourd’hui Rijeka en Croatie). Celle-ci est en effet placée sous mandat de la S.D.N. L’Italie exprime vivement sa frustration

aux Turcs. Dans les Balkans, les Hongrois s’allient aux Serbes et les Normands reprennent leurs offensives : en 1185, Thessalonique, la deuxième ville de l’empire est prise et pillée. Les Italiens, qui n’acceptent pas la domination byzantine sur la Dalmatie deviennent hostiles (c’est une des causes de l’expulsion des Vénitiens de Constantinople et du massacre des marchands italiens en 1182). Byzance refuse le passage de la troisième croisade et perd Chypre, prise par Richard Coeur de Lion. A la fin

Romanie rayonne dans l’Empire byzantin et en Asie Mineure, peut-être à Philadelphie en Lydie ; celle de Mélenguie, difficile à identifier, aurait eu pour centres Melnik et Moglena. La dernière Église citée au concile de Saint-Félix-deCaraman, celle de Dalmatie, sur le littoral croate, se répand ensuite à l’intérieur dans les régions de Bosnie et de Slavonie. Au milieu du XIIIe siècle, Raynier Sacconi énumère toutes les Églises comme des centres actifs de propagande dualiste. La doctrine Quelle que

soviets », avec dans l’idée de faire la révolution. L’État est trop faible pour pouvoir intervenir ce qui suscite la peur et la colère des patrons. - Les nationalistes sont furieux des traités de paix : tous les territoires qu’ils espéraient obtenir (Dalmatie, ville de Fiume) ne leur sont pas attribués. Ils ne reçoivent aucune des colonies allemande et ottomane. C’est pourquoi ils développent le mythe de « la victoire mutilée ». - Enfin, face à cette situation révolutionnaire, l’État est incapable de