Damnatio memoriae

loi n’évoque ni Caligula, Néron ni les trois empereurs qui ont entraîné la descente de Rome avant l'arrivée au pouvoir de Vespasien. En effet Néron reçoit la damnatio memoriae, qui se caractérise par la volonté d’oublier son existence, son impact sur Rome, et les archives le concernant. Tandis que Caligula, lui, n'a pas subi cette damnatio grâce à l’opposition de Claude au Sénat . Cela montre la supériorité de Vespasien qui contrairement à ces derniers réussit à s’ériger en défenseur de la paix de

le Pincio, qui se trouve aujourd'hui dans la Villa Borghèse. Ses derniers mots furent ‘’Qualis artifex pereo !’’, qui signifient « Quel grand artiste périt avec moi ! ». Avec sa mort, la dynastie julio-claudienne prit fin. Le sénat vota sa damnatio memoriae, maudissant sa mémoire. Plusieurs guerres civiles s'ensuivirent lors de l'année 69, année des quatre empereurs. Un artiste ? Néron était proche de la démence. Sa prétention artistique était importante et il n'hésita pas, selon Suétone, à

décide de fuir et se réfugie en province, dans la maison d'un de ses fidèles, ou il se suicide d'un coup de couteau dans la gorge le 9 juin 68. Les amis qu'ils lui restent récoltent de l'argent pour qu'il soit inhumé, tandis que le Sénat vote le damnatio memoriae, annulant tout les honneurs, tout les titres et interdit le culte à sa mémoire. La dynastique des Julio-claudiens prend fin avec le suicide de Néron. 5 Pour conclure, nous pouvons résumer le personnage de Néron avec la phrase suivante, écrite

colosse de Néron : il est retravaillé pour représenter la divinité solaire. Le colosse n'a pas été détruit mais retravaillé pour montrer la divinité sol. Transformation à peu de frais : permet à la population de se souvenir de Néron malgré la damnatio memoriae. Montrer la rupture tout en gardant le souvenir de l'empereur. La continuité avec les Julio-Claudiens. Vespasien se présente comme le restaurateur de la ville, de la paix et comme un nouvel Auguste. Il présente son règne comme

domus fera de lui quelqu’un de détesté, il arrive au trône très jeune manque de maturité et fait son « caprice de roi » . A la mort de Néron on l’enfouit pour faire disparaitre du sol Romain toutes traces de cet empereur tyrannique. C’est la « Damnatio memoriae » On place ensuite les demeure de Titus d’abord et Trajan ensuite. -> Au XVème siècle un romain la découvre par hasard. (Tombé dans un trou sous le mont Oppius, il atterrit dans une salle contenant des fresques) Un nouvel style nait : Le grotesque

part la divinisation de l’Empereur de son vivant et après sa mort (divus) pose un problème de conscience aux monothéistes qui ne peuvent adorer qu’un Dieu. Celle-ci est avant tout morale car il peut aussi être condamné en cas contraire à la damnatio memoriae. Il est intéressant de noter que les romains ont respecté les juifs (certes localisés) mais ils ont persécuté les chrétiens beaucoup plus disséminés dans l’Empire en risquant ainsi de dissoudre la loyauté rendue à l’Empereur. Quant au Cursus

description des événements du règne de Néron avec prudence, dans la mesure où l'on sait que Néron persécuta les sénateurs romains à partir des années 65-66 à la suite de la découverte de deux conspirations. De plus, à sa mort, Le sénat vota sa damnatio memoriae, maudissant sa mémoire, cela influença les écrits qui suivirent. Si on a souvent dépeint le côté tyrannique de Néron, on a souvent occulté l’œuvre qu’il a accompli politiquement à son époque de Renaissance. On constate que sous son règne, l'Empire

sur le Pincio, qui se trouve aujourd'hui dans la Villa Borghèse18. Ses derniers mots furent Qualis artifex pereo !, qui signifient « Quel grand artiste périt avec moi ! ». Avec sa mort, la dynastie julio-claudienne prit fin. Le sénat vota sa damnatio memoriae, maudissant sa mémoire. Plusieurs guerres civiles s'ensuivirent lors de l'année 69, année des quatre empereurs.

est conduite devant Octave, qui la laisse se retirer avec ses servantes, la reine se suicide ensuite en se faisant mordre par un aspic. Le Sénat interdit ensuite aux Antonii de porter le prénom Marcus, le nom de Marc Antoine étant voué à la damnatio memoriæ. Une ascendance mythique[modifier] Marc Antoine prétendait descendre d'Hercule, comme le rapporte Plutarque, dans la Vie qu'il lui a consacrée (§ 5) : « Aussi était-ce une chose qui se disait de toute ancienneté, que la famille des Antoniens

d'un complot mené par son préfet du prétoire, Laetus, son chambellan, Eclectus, et sa concubine Marcia.Empereur considéré comme cruel et arbitraire, il ne fut pas divinisé à sa mort par le sénat, mais reçut à l'instar de Néron ou Domitien la Damnatio memoriae (condamnation de la mémoire). Septime Sévère tenta une réhabilitation limitée puisque sur certaines inscriptions il est qualifié de « frère de Commode » afin de se rattacher, en fait, à l'ancienne dynastie des Antonins et asseoir sa légitimité