Dans La Grotte Verlaine

gouffres et choc des glaçons aux astres. O Douceurs, ô monde, ô musique! Et là, les formes, les sueurs, les chevelures et les yeux, flottant. Et les larmes blanches, bouillantes, - ô douceurs! - et la voix féminine arrivée au fond des volcans et des grottes arctiques. Le pavillon ..... Solde A vendre ce que les juifs n'ont pas vendu, ce que noblesse ni crime n'ont goûté, ce qu'ignorent l'amour maudit et la probité infernale des masses: ce que le temps ni la science n'ont pas à reconnaître: Les

Asie : l’Orient.  Afrique : le Continent Noir. Les planètes :  La planète bleue : la Terre.  La planète rouge : Mars.  L'astre du jour : le Soleil.  La reine des ombres : la Lune. Autres :  Napoléon Bonaparte : le petit Caporal.  Verlaine (poète) : prince de poètes.  Le ministre des finances : le grand argentier.  Les années 1900 : la belle époque.  a planète bleue : la Terre.  La planète rouge : Mars.  L'astre du jour : le Soleil.  Le gouvernement des Etats unis : L’Oncle

La Liberté » 4 L. S. Senghor, Éthiopiques, « À New York » Prolongements 8 S O M M A I R E G. Moreau, Œdipe voyageur T. Chassériau, Andromède… C. Baudelaire, « Parfum exotique » Séquence 11 La poésie symboliste D. G. Rossetti, Lilith P. Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon rêve familier » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Parfum exotique » TEXTE 2 S. Mallarmé, Poésies, « Tristesse d’été » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 C. Baudelaire, Le Spleen de Paris, « Un hémisphère dans

symbolistes ; il obéit globalement aux contraintes du vers traditionnel (longueur fixe), mais remplace la rime par l’assonance. Il s’agit d’une forme intermédiaire entre le vers classique et le vers libre. c) Le vers libre – déjà en germe chez Hugo, Verlaine et Rimbaud - est né dans les années 1880 du désir d’abolir la contrainte métrique (l’exigence d’une longueur fixe et identifiable) qui pesait sur le vers, pour donner à l’expression poétique une souplesse qui l’accorde aux mouvements de la sensibilité

sont l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Les Fleurs du mal connaissent une publication progressive avec une première publication de dix-huit poèmes le 1er juin 1855 dans la Revue des deux Mondes. Le 4 février 1857, Baudelaire remet son manuscrit

fondront les gypates Commentaire Cest un souvenir du sjour quApollinaire fit au bord du Rhin. _________________________________________________________________________________ Lul de Faltenin Louis de Gonzague Frick. Sirnes jai ramp vers vos Grottes tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux Puis battiez de vos ailes danges Et jcoutais ces churs rivaux Une arme ma tte inquite Jagite un feuillard dfleuri Pour carter lhaleine tide Quexhalent contre

exemple, deux ans après avoir signé la « protestation des artistes », Sully Prudhomme prononce un discours favorable à la tour. On put lire ailleurs : « ce lampadaire véritablement tragique » (Léon Bloy) ; « ce squelette de beffroi » (Paul Verlaine) ; « ce mât de fer aux durs agrès, inachevé, confus, difforme » (François Coppée) ; « cette haute et maigre pyramide d'échelles de fer, squelette disgracieux et géant, dont la base semble faite pour porter un formidable monument de Cyclopes, et

Commentaire C’est un souvenir du séjour qu’Apollinaire fit au bord du Rhin. ____________________________________________________________ _____________________ “Lul de Faltenin” À Louis de Gonzague Frick. Sirènes j'ai rampé vers vos Grottes tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux Puis battiez de vos ailes d'anges Et j'écoutais ces chœurs rivaux Une arme ô ma tête inquiète J'agite un feuillard défleuri Pour écarter l'haleine tiède

Commentaire C’est un souvenir du séjour qu’Apollinaire fit au bord du Rhin. _________________________________________________________________________________ “Lul de Faltenin” À Louis de Gonzague Frick. Sirènes j'ai rampé vers vos Grottes tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux Puis battiez de vos ailes d'anges Et j'écoutais ces chœurs rivaux Une arme ô ma tête inquiète J'agite un feuillard défleuri Pour écarter l'haleine tiède

fonctionnant sur des traits phonétiques communs non encore admis à l'époque—, abandon de l'alexandrin — retour aux formes fixes moyennageuses telles qu'elles ont été conservées dans certaines chansons enfantines, choix du vers impair (l'influence de Verlaine est indéniable)—: le seul poème en alexandrins de cette période s'intitule «Mémoire» et transgresse de façon systéma tique les canons de ce vers, aussi bien au niveau de la césure — accentuations relatives des 5ème, 6ème et 7ème