Dans La Maison Natale

d’insalubrité, d’assainissement et de voiries. Si toute la population Grand-Médinoise est aujourd’hui menacé d’expulsion par les autorités étatique, dans la maison ou nous habitons en location nous sommes menacé tous les mois par le propriétaire mais heureusement, mon père trouvait toujours un moyen de s’en sortir. Mon père a quitté son village natal « ….. » Pour tenter d’avoir une vie meilleure dans la capitale (...) Apprenti-ouvrier à ses début, mon a père s’est toujours armé de courage et d’hardiesse

Chantenay, est installé dans un bâtiment sans relation à la famille Verne). Toute la famille aime à se retrouver dans cette maison de campagne. Les vacances de Jules se passent également à Brains, dans la propriété de son oncle Prudent Allotte, « La Guerche ». Ce dernier est un ancien armateur célibataire, qui a fait le tour du monde et est revenu s'installer au pays natal en 1827/1828. Il est maire de Brains de 1828 à 1837. Le jeune garçon aime à faire d'interminables parties de jeu de l'oie avec

nourriture boisson et déserteur.Le dimanche je n'ai pas pris le trajet en bus habituel dans Seattle ou le taco. Au lieu de cela j'ai écrit des lettres à ma famille un professeur et quelques amis essayant d'expliquer ma proposition. Les lettres à la ville natale l'Amérique étaient dures pour écrire.Pire encore à lire bien sûr. Je lui ai expliqué les raisons de mon abandon dans les lettres et j'ai parlé des problèmes de conscience en participant à la guerre. Généralement si j'ai essayé de dire combien il est

cinquante kilomètres plus loin, au grand désespoir de Maman qui se séparait pour la première fois de ses attaches natales et familiales. La petite maison que mon père avait trouvée pour nous abriter tous les quatre se trouvait loin du centre, plus exactement au quartier de la gare, car je ne l’ai pas dit, mais Mascara était une grande ville comparée à Saint-Denis du Sig. Cette petite maison donc, épousait l’angle de deux rues ; je dis « angle » mais je devrais dire plutôt « arc » parce que le mur de

ce moment. Ce capteur émettait un signal ultrasonique qui était utilisé pour détecter des changements dans l'écho et ce système avait beaucoup de fausses alarmes. Les éléments simples de la maison comme un téléphone ou une horloge pourraient changer l'écho et le faire sonner l'alarme. La sécurité dans la maison et les capteurs de mouvement avaient encore beaucoup de chemin pour parcourir. Dans les années 80, le capteur de radar commençait à être remplacé par le capteur de mouvement par des infrarouges

à court d'argent2. Il rejoint Buenos Aires, déçu par la capitale française. Le gouvernement cherchant à favoriser l'évangélisation de la province reculée de Misiones, Quiroga s'installe à San Ignacio, au milieu forêt tropicale, (on peut visiter sa maison). Il y emmène vivre sa jeune épouse, Ana María Cirés, âgée de 15 ans3. Il retourne en 1916 à Buenos Aires, où sont publiés ses ouvrages les plus connus: Cuentos de amor de locura y de muerte (1916), Cuentos de la selva (1918), El Salvaje (1918) et

l'Iran à Betty , il décrit ce pays comme un pays ou seulement des "fous" y vivent. Celui-ci n'entretient que des contacts très étroits avec sa famille qui vit dans ce pays de misère.Un jour Moody arrive à la maison et dit à Betty qu'ils vont aller faire un voyage de 2 semaines en Iran ,son pays natal,pour présenter sa femme et sa fille à sa famille qui ne les ont jamais rencontrée.Betty accepte mais avec une certaine hésitation.Elle n'apprécie guère ce pays et la famille de son mari plus particulièrement

copains, ils souhaitent à leur tour résister à la contrainte.   L’engagement Son premier acte « officiel » de résistance a lieu en octobre 1941 au profit du réseau Hector. Jeune ouvrier menuisier, il doit poser des portes de cellules au sein de la maison d’arrêt de Caen et profite de cette introduction dans le milieu carcéral pour passer des lettres au responsable local du réseau, André Michel, peintre décorateur de son quartier, qui a été arrêté quelques semaines auparavant. Ce dernier sera fusillé

Résumé Il s’agit d’un vieil homme qui s’enfuit de son pays natal avec une valise légère et un nouveau-né. Il s’appelle Linh et sa petite fille s’appelle Sang Diû (Matin doux). Il est tout seul avec le bébé car toute sa famille est morte. Le père de l’enfant était son fils. Un jour il a trouvé le corps de son fils et celui de sa femme et de leur fille à côté d’un cratère. Ils étaient tous morts. Monsieur Linh part avec le bateau pour un pays lointain. Il reste sur le pont arrière serrant l’enfant

le rochefortais Pierre Loti (1850-1923), de son vrai nom Julien Viaud, a cultivé sa vie durant la passion du voyage. De l'Inde à Tahiti, de la Turquie au Sénégal, ses ouvrages, ses dessins, ses articles de presse, ses photographies, mais aussi sa maison, témoignent de la vie et des découvertes de cet arpenteur des océans. L’homme public Elu académicien en 1891, Pierre Loti fut lancé dans les salons parisiens grâce à Juliette Adam. Très vite sa notoriété dépasse les frontières françaises