Dans la solitude des champs de coton

reviendra à la scène parisienne qu’en 1659 (Œdipe). 1653 Condamnation du jansénisme. Fouquet est surintendant des Finances. 1654-1655 Racine poursuit sa scolarité à Paris, au collège de Beauvais. 1655 Pascal se retire à Port-Royal des Champs. 1655-1658 Racine revient à Port-Royal, à l’Ecole des Granges (culture grecque sous la direction de Lancelot, culture latine sous celle de Nicole, culture moderne et littéraire sous celle de Le Maître). 1656-1657 Lettres provinciales de Pascal

prière était finie que le nouveau tenait encore sa casquette sur ses deux genoux. C’était une de ces coiffures d’ordre composite, où l’on retrouve les éléments du bonnet à poil, du chapska, du chapeau rond, de la casquette de loutre et du bonnet de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d’expression comme le visage d’un imbécile. Ovoïde et renflée de baleines, elle commençait par trois boudins circulaires ; puis s’alternaient, séparés par une bande rouge,

subjonctif . L’accord du participe passé . . . . Les homonymes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 ¼ ¿ Le style Champ sémantique et champ lexical . . . . . . . . . . . . . . . . Les figures de style . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 ¾ Les questions de cours 97 Les tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les corrigés

fleur de la noblesse française) et les conséquences calamiteuses de la guerre de Cent Ans. ... à vous d’entrer dans la fête et d’acquérir les premiers rudiments de courtoisie... (p. 33) 1. La magnificence de la cour d’Arthur Un examen rapide des champs sémantiques du luxe, de l’abondance et de la joie donne déjà quelques éléments de réponse. Mais on s’attachera surtout à étudier : – l’emploi massif d’adjectifs et de pronoms indéfinis exprimant la totalité (tout, tous, toutes, chacun, mais aussi

prière était finie que le nouveau tenait encore sa casquette sur ses deux genoux. C’était une de ces coiffures d’ordre composite, où l’on retrouve les éléments du bonnet à poil, du chapska, du chapeau rond, de la casquette de loutre et du bonnet de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d’expression comme le visage d’un imbécile. Ovoïde et renflée de baleines, elle commençait par trois boudins circulaires ; puis s’alternaient, séparés par une bande rouge,

littéraires Livre de l’élève, pp. 12-23 Instructions officielles – Programme des classes de Seconde et Première Les finalités propres l’enseignement du français sont : – la constitution et l’enrichissement d’une culture littéraire ouverte sur d’autres champs du savoir et sur la société ; – la construction progressive d’une conscience historique de la littérature […]. Dans la continuité du Socle, les compétences visées répondent directement à ces finalités. […] Il s’agit de : – connaître quelques grandes

Renart n’a rien d’héroïque et demeure sauvage et instinctive : « l’aert parmi la gole ». Il n’y a donc même pas eu de combat, et le burlesque l’emporte sur l’héroïque. D’autres traits, en revanche, humanisent la scène, mais de façon suspecte : la solitude tragique du « héros » est soulignée par deux vers qui font se répondre à la rime les deux antonymes « ami » et « enemi » : « Renart n’i avoit nul ami, / Tuit li estoient enemi ». Quant à Grimbert, l’ami fidèle qui reproduit peut-être le modèle du

l’Angleterre et la France se disputèrent l’Amérique ; comme chasseur2 à cette époque d’activité qui succéda si rapidement à la paix de 1783 ; et comme un vieux Trappeur3 dans la Prairie, lorsque la politique de la république abandonna ces immenses solitudes aux entreprises de ces êtres à demi sauvages, suspendus entre la société et les déserts, c’est fournir poétiquement un témoin de la vérité de ces changements merveilleux, qui distinguent les progrès de la nation américaine, à un degré jusqu’ici inconnu

sortirent leurs badges et les présentèrent à l'agent de Sagam Sécurité qui se trouvait en poste. Dès leur entrée l'école semblait différente selon elles. La ruelle était beaucoup plus vaste et les arbres avaient disparu. Mais elles reprirent sur le champ leur marque et la réadaptation commença aussitôt. Aissata avait hâte d’être avec tout le monde, elle eut envie de courir à un moment mais elle ne pouvait pas. Elle était encore plus excitée quand un crescendo parvint à elle, ce fut ensuite les échos

horreurs que gardait ma mémoire. Il fit de moi une nouvelle créature en Christ. Tout était nouveau, tout! C'était comme une nouvelle naissance physique aussi bien que spirituelle. Le monde entier me paraissait beau... Tandis que je traversais les champs verts et que j'entrais dans l'épaisseur de la forêt, mon cœur chantait. Je dansais de joie à la vue de tout ce que je contemplais, à la pensée de tout ce que Jésus-Christ avait fait pour moi, de tout ce qu'il me révélait et de tout ce qu'il allait